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❝ AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it ❞

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Alison F. Powell
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Alison F. Powell


TON RAPPELTOUT
QUATRE CENT ANS AVANT:
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MessageSujet: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyLun 30 Déc - 19:35


alison flora powell
I'm under your spell, I'm losing myself
Dans cette partie vous prendrez le temps sous forme de points de nous révéler quelques anecdotes, quelques 'facts' au sujet de votre personnage dans le passé. Parlez nous donc de ses amours, de ses goûts, de son implication dans la guerre etc. La forme est libre du moment que les informations sont présentes. A la moindre hésitation n'hésitez pas à regarder la fiche d'une des administratrices, postées à titre d'exemple.

Dans cette partie vous prendrez le temps sous forme de points de nous révéler quelques anecdotes, quelques 'facts' au sujet de votre personnage dans le  présent. Parlez nous donc de ses amours, de ses goûts, de sa vie à Poudlard etc. La forme est libre du moment que les informations sont présentes. A la moindre hésitation n'hésitez pas à regarder la fiche d'une des administratrices, postées à titre d'exemple.
ALISON : Tiens, encore toi ? Comment ça va depuis le temps ?
OPALE : Ecoute, je sais que tu penses que je ne suis qu’une invention délirante de ton cerveau mais..
ALISON : Non mais je ne t’en veux pas, c’est drôle d’avoir quelqu’un en rêve comme ça.
OPALE : Ça n’est pas censé être drôle. Tu dois comprendre, il y a 400 ans, il y a eu une guerre et..
ALISON : Mais je sais ! Et quoi, tu vas me dire que tu y es morte et que maintenant tu reviens pour me hanter ?
OPALE : En vérité je suis morte un peu après mais là n’est pas la question. Tu dois réaliser que je suis réelle et..
ALISON : Non, que tu l’étais, vu que tu es morte.
OPALE : Arrête de toujours m’interrompre, c’est important. Le fait est que dans une autre vie, tu étais moi, même si tu es un peu stupide actuellement et..
ALISON : Eh, c’est méchant ! Je ne vois pas comment j’aurais pu être toi, c’est ridicule.
OPALE : Ce n’est pas grave, tu comprendras plus tard..
ALISON : C’est vrai que tu es métamorphomage ? Je l’ai vu dans un de mes rêves, ça doit être trop cool, pourquoi je ne le suis pas moi ?
OPALE : Oui c’est vrai. Tu ne l’es pas parce que..
ALISON : Ouais, d’accord. Et le charmant jeune homme avec qui tu étais, c’est qui ?
OPALE : C’était mon fiancé, mais il est mort pendant la guerre quand..
ALISON : Ça devait être triste !
OPALE : Oui, mais il est revenu comme moi, et grâce à toi, je pourrais le retrouver, il faut juste que tu..
ALISON : Et toi, t’es morte comment ?
OPALE : Mais enfin, tu vas m’écouter oui ? J’ai besoin de ton aide !
ALISON : T’es pas sympa comme rêve toi. Je ne peux pas remonter le temps, désolée.
OPALE : Je le sais bien mais..
ALISON : Eh, je ne t’entends plus, t’en vas pas ! C’est bon, je suis désolée, reviens !
OPALE : Tu te réveilles juste, souviens toi que je suis réelle !
comment se passe ta scolarité à poudlard ? C’est plutôt chaotique, en fait. Enfin, le château est magnifique, les gens sont sympas et tout mais je ne sais pas trop comment j’ai fait pour réussir mes buses et mes examens de fin d’année, à chaque fois, c’est tout juste. Je ne sais pas si c’est par manque de travail ou parce que je ne suis pas douée avec mes pouvoirs mais en tout cas, c’est dur. ta famille ne te manque pas trop, t'as emmené des frères ou des sœurs avec toi ? J’ai un grand frère, mais depuis la rentrée, il ne vient plus à Poudlard avec moi car il a fini ses études. Après il y a bien un cousin qui a mon âge mais celui-là, je préférerais qu’il reste à la maison plutôt que de me suivre jusqu’à Poudlard. Mais chez moi, on n’est pas très « famille », on s’aime bien les uns les autres mais c’est tout donc on s’écrit de temps en temps et c’est bien suffisant. et les amis ça s'passe comment, t'as des faces de scrout à pétards que tu voudrais bien déglinguer ? Un cousin squatteur, ça compte ? Non ? Et bien sinon tout va bien alors, quelques vrais amis, c’est le plus important, après je ne suis pas du genre à chercher les problèmes, sauf quand je suis fatiguée ou de mauvaise humeur, ou encore qu’on vient me demander en pleine nuit pourquoi je suis réveillée, là je suis d’humeur à « déglinguer » les gens. allez, fais pas ton troll, je t'ai grillée, parle moi de l'élu de ton coeur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien ? Sans commentaire, vraiment, rien à dire, rien du tout. d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi ? C’est l’odeur d’un savon pour les mains à la pêche que j’ai un jour senti dans les toilettes d’un restaurant japonais lors d’un voyage à Paris, je n’ai jamais pu l’oublier, c’était comme si je l’avais déjà senti il y a très longtemps, sans jamais que je ne comprenne pourquoi. t'es bon en quoi, t'es mauvais en quoi à l'école ? Je suis un peu mauvaise en tout, à dire vrai.. Mais j’ai toujours eu une fascination pour l’Astronomie, et c’est dans ce cours que j’ai le plus de note acceptables, voir même des bonnes. Et j’adore les cours de Sortilèges, c’est vraiment intéressant. Par contre, en métamorphose, c’est vraiment la grande catastrophe. Je suis incapable de métamorphoser quoi que ce soit, c’est horrible. t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie ? Je ne compte pas glander, pas du tout, c’est juste que je ne sais pas quoi faire de ma vie. Je voulais élever des hippogriffes parce que c’est génial comme bête, mais mes parents me l’ont interdit sous prétexte que c’est dangereux donc.. Je me révolte en bossant encore moins qu’avant et pour l’instant je n’ai pas trop de résultats mais j’ai de l’espoir pour l’avenir, ça va s’arranger, on y croit. hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde ? J’ai enfin la parole ? Elle ne m’écoute jamais et continue de nier en bloc mon existence, comme si je n’étais vraiment qu’un rêve qui revient toujours ! Elle se prétend sorcière mais n’est pas capable d’effectuer les sorts les plus simples. Je pense qu’elle devrait arrêter de « profiter de sa jeunesse » et de commencer à s’en faire pour son futur si elle veut en avoir un. Je sais qu’elle n’est pas si stupide qu’elle veut le faire croire.
DERRIÈRE LE MIROIR MAGIQUE :


Dernière édition par Alison F. Powell le Dim 5 Jan - 16:18, édité 5 fois
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Alison F. Powell
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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyLun 30 Déc - 19:35


titre
citation
Tout a commencé en Angleterre, un trente-et-un décembre enneigé. L’Angleterre, ce n’était pas le berceau de cette famille habituée à sans cesse changer de pays. Non, au contraire, ils allaient là où le vent les emmenait, et au moment où ils le voulaient. Opale vint donc au monde en ce jour glacial, et ce n’était pas l’affection de ses parents qui pouvait la réchauffer. Grandir dans l’indifférence de parents qu’elle chercherait toujours à impressionner en vain, c’était son destin, et la seule lueur d’espoir était sa sœur, Marissa. Pendant son enfance, ce fut elle qui s’occupait d’Opale, et elle lui apprit à se forger une carapace pour ne pas se laisser emporter par le froid exemple que leur donnaient leurs parents. Marissa, c’était son modèle, alors Opale acquiesçait, même si elle ignorait vraiment ce que cela voulait dire. Très jeune, son pouvoir de métamorphomage se fit connaître, et Opale adorait voir cette magie qui apparaissait si vite en elle. La première ombre de ce tableau si parfait apparue en même temps que les deux sœurs grandissaient, se développant avec elles, et bientôt, le verdict tomba : Marissa n’avait pas manifesté le moindre pouvoir magique et était donc une cracmolle, une vérité inacceptable pour leurs parents, si fiers de leur sang dont la pureté ne pouvait pas être mise en cause. Pour Opale, c’était son monde qui s’effondrait. Elle ne comprenait pas comment sa grande sœur, son modèle si parfait, pouvait avoir le pire défaut du monde. Une décision fut rapidement prise, et Marissa quitta le manoir familial pour un pensionnat moldu français avec l’interdiction formelle d’essayer d’entrer en contact avec eux. A son départ, Opale ne voulu même pas lui dire au revoir, mais à la perte de sa protectrice, quelque chose se brisa en elle, et elle comprit qu’il ne fallait jamais s’attacher aux gens car l’on finissait irrémédiablement par les perdre.

Lorsqu’elle fut enfin en âge d’étudier la magie, Opale pensait naturellement rejoindre Poudlard comme ses parents avant elle, mais ils en décidèrent autrement, et l’envoyèrent à Beauxbâtons. Leur raison étaient qu’ils n’avaient pas vraiment une bonne réputation en Angleterre et qu’ils envisageaient de déménager en France ; qu’elle y soit déjà serait donc un point positif car changer d’école de magie n’était pas la chose la plus simple qui soit, mais elle compris plus tard qu’ils n’en avaient jamais eu l’intention et que la seule facilité pour eux serait qu’ils n’auraient plus à s’occuper d’elle que l’été. C’est donc pleine de rancœur de d’angoisse que Opale arriva dans ce nouveau pays dont elle parlait difficilement la langue et qu’elle n’avait aucunement envie de connaître. A son premier jour, elle se sentait comme un oiseau en cage, et dès qu’elle tentait d’approcher qui que ce soit, elle se faisait dévisagée comme si elle venait d’une autre planète à cause de son accent. Rapidement, Opale n’en pouvait plus, et cessa d’essayer. Elle restait seule dans son coin, fusillant du regard les malheureux qui osaient croiser son regard, mais dans l’après-midi, un jeune garçon qui devait avoir son âge vint jusqu’à elle pour tenter d’engager une conversation. La demoiselle aurait pu baisser sa garde si au dernier moment elle n’avait pas vu d’autres garçons les regarder en riant, ce qu’elle interpréta comme le signale d’alarme que celui qui voulait lui parler était de mèche avec eux pour se moquer d’elle, et elle pris les devants et l’envoyant voir ailleurs. A peine avait-il fait demi tour qu’elle éclatait en sanglot.

Il s’appelait Albert. Elle l’apprit quelques jours plus tard, lors d’un cours, et elle ne savait même pas pourquoi elle y faisait attention. Heureusement, sa solitude ne dura pas éternellement, et elle finit par rencontrer quelques personnes qu’elle fut honorée d’appeler ses amis. Albert revint plusieurs fois, essayant en vain de lui parler, mais sa fierté l’empêchait d’accepter, gardant toujours en tête ce souvenir cuisant de son premier jour où jamais elle n’avait eu aussi honte. Ainsi, les études d’Opale sont passées, parfois, elle ne revenait même pas en Angleterre pour l’été, ayant cessé de considérer leur maison comme son « chez soi ». A la place, elle allait tantôt chez un ami, tantôt chez un autre, là, elle se sentait vraiment chez elle, et ses amis étaient devenus sa famille. Il y avait toujours Albert, dont elle tombait doucement amoureuse bien qu’elle ne lui ait parlé que quelques fois et toujours en étant gênée par la situation, mais jamais elle ne s’était autorisée à aller plus loin, préférant ne pas se compliquer la vie. Ça aurait pu être parfait si les tensions entre Poudlard et Durmstrang n’étaient pas devenues de plus en plus importantes et qu’ils n’avaient pas fait une réunion à Beauxbâtons. Ça n’était pas leur guerre, mais c’était leur école qui avait été détruite. Ça n’était pas leur guerre, mais c’était eux qui mourraient pour une cause qui n’était pas la leur. Opale haïssait les deux camps, car pour elle, tous étaient responsables de la mort de la plupart des ses amis, les autres s’étant déchirés dans un camp ou dans l’autre. Ça s’était passé tellement vite qu’Opale n’avait plus rien, plus nul part où aller.

Quinze jours après, Opale retrouvait enfin le chemin du manoir de ses parents. Elle avait mis plusieurs jours à se décider à faire un pas vers eux, espérant que dans un instinct paternel ou maternelle, l’un d’eux vienne la chercher, mais personne n’arriva, et craignant la diminution trop rapide du peu d’argent qu’elle avait en sa possession, elle mis sa fierté de côté et alla jusqu’en Angleterre. Une fois chez elle, il n’y avait personne pour l’accueillir, et elle dû attendre plusieurs heures avant de voir qui que ce soit. Elle essaya d’éclaircir ses cheveux grâce à son don de métamorphomage qui avait décidé de la trahir en noircissant au maximum ses cheveux, mais rien à faire, son humeur était trop sombre pour cela. Quand ils arrivèrent finalement, elle s’était attendue à tout sauf à un « Tiens, te voilà toi, nous nous attendiez à te voir débarquer ». Aucun signe d’affection, pas le moindre signe de soulagement et donc d’une quelconque inquiétude. Bien qu’il faisait chaud, Opale se sentait glacée, glacée de l’intérieur. Rapidement, elle apprit qu’ils étaient tous deux engagés à plein temps dans la guerre, ce dont elle se doutait : faire du mal avait toujours était leur passe-temps favoris, quelle que soit la cause, le principal pour eux était de pouvoir user de leur baguette. Mais elle, elle ne voulait pas se battre et participer au massacre dont elle ne comprenait même pas les enjeux. Et puis, elle ne voulait pas mourir. Elle préférait se cacher et laisser les autres s’entre-tuer plutôt que de risquer de mourir avant d’avoir vécu. Malheureusement pour elle, ils n’étaient pas de cet avis et refusaient de la laisser vivre chez eux si elle ne se battait pas. Opale a donc obtenu dix jours pour s’engager ou pour disparaître de chez eux.

Neuf jours. C’est ce dont elle eu besoin pour mettre au point son prochain plan. Opale refusait de rester jusqu’à la fin du délai gracieusement accordé par ses chers parents, l’idée qu’ils la mettent à la porte comme un animal la répugnait. Elle partit au milieu de la nuit, ne voulait pas subir des adieux aussi glacials que leurs retrouvailles, et mis le plus rapidement possible la plus grande distance qu’elle pu entre cette maison et elle. Elle repartit en France, dans l’espoir fou de retrouver sa sœur. Dans des archives, au manoir, elle avait réussi à retrouver le nom de l’institution où Marissa avait été envoyée, et bien que l’aînée de la famille n’y était plus depuis plusieurs années, Opale espérait que là-bas, quelqu’un aurait une trace de Marissa. Sans lui poser la moindre question, une vieille dame lui donna l’adresse de Marissa, et en quelques heures, Opale frappait à la porte de sa sœur. Elle la reconnut à peine, et se demanda si sa grande sœur savait à qui elle avait affaire. Sans pouvoir se contrôler, Opale sauta au cou de son aînée en la suppliant de lui pardonner ses erreurs d’enfants, mais encore une fois, elle se heurta à un mur de glace. Sans délicatesse, Marissa l’avait attrapé par les épaules avant de la repousser brutalement et de lui claquer la porte au nez. Opale était choquée de l’indifférence de sa sœur, c’est vrai, elle avait été cruelle avec elle, mais ça remontait à tellement d’années ! Et puis, Marissa avait quelque part où aller, alors qu’elle, elle était à la rue, elle la trouvait égoïste. Elle fit demi-tour, comprenant que ça ne servait à rien d’insister, réfléchissant à toute allure sur les options qu’il lui restait lorsqu’elle le vit, à seulement une dizaine de mètres d’elle. Albert. Elle ne savait pas comment il pouvait être là, ni même pourquoi, elle savait juste qu’elle était heureuse que ça soit le cas.

Les raisons pour lesquelles elle avait rejeté Albert durant toutes ces années lui paraissaient soudainement bien ridicules au point qu’elle ne s’en souvenait même plus vraiment. Elle se souvenait juste lui avoir sauté dans les bras comme s’il était évident qu’ils s’aimaient déjà depuis plusieurs années, peut-être même que c’était vraiment le cas sans qu’elle s’en soit rendue compte. Opale lui avait directement dit qu’elle ne comptait pas aller se battre pour l’un ou l’autre des camps, et fut comblée d’apprendre qu’il en était de même pour lui. Ainsi, ils allaient pouvoir passer cette guerre sans la peur des lendemains. Vivre à la moldue lui paraissait un bien faible sacrifice à côté de cela, et au début, Opale adorait cette « expérience », car pour elle, ça n’était que l’attrait de la nouveauté qui l’aider à supporter cette vie cachée sans magie. Ensuite, l’amour infini qu’elle éprouvait pour Albert la convainquit de rester, mais pendant les cinq ans qu’elle resta à vivre ainsi, cachant sa véritable nature à tout le monde, déménageant sans cesse, elle avait l’impression d’étouffer de plus en plus. Cette vie tranquille qu’elle croyait vouloir de tout son cœur était devenu son cauchemar, et elle comprit sa première erreur : avoir refusé de se battre aux côtés des autres sorciers pour un monde qui était le sien, préférant rester saine et sauve chez des étrangers. Finalement, Opale réalisait que quitte à choisir, elle préférait une vie courte qui finirait d’un coup plutôt qu’une longue vie de souffrance à mourir à petit feu un peu plus chaque jour. Ce fut un soir début octobre 1618 qu’elle finit par claquer la porte. Albert avait eu beau essayer de la raisonner, elle l’avait traité de lâche car il n’avait pas proposé spontanément de venir avec elle, et elle avait choisi de revenir au plus vite auprès de ses parents pour se rendre utile. Mais à peine avait-elle tourné le dos à Albert qu’elle le regrettait déjà. Elle était juste trop fière pour revenir en arrière et s’excuser.

Moins d’une semaine plus tard, Opale était de retour chez ses parents. Comme la première fois, ils ne semblaient ressentir aucune émotion en la voyant revenir en vie après des années de guerre, mais étonnamment, la jeune femme s’en moquait bien. Ils ne discutèrent pas lorsqu’elle leur dit qu’elle voulait participer à la guerre, et le lendemain, ils commençaient à lui donner des missions et responsabilités. Elle ne savait pas vraiment pour qui elle travaillait, ni même si elle était utile, mais elle s’en fichait un peu. L’importance pour elle, c’était de garder son esprit occupé, de rester toujours en mouvement, et de sentir sa vie s’échapper lors des duels serrés où elle manquait de mourir plusieurs fois par jour. Ironiquement, Opale adorait se sentir en danger en permanence, se dire que ce jour était peut-être le dernier qu’elle vivait. Elle ne comprenait pas les enjeux de la guerre, elle savait juste qu’elle était nécessaire pour rétablir l’ordre dans le monde magique. Elle se moquait bien d’en voir la fin ou non, parfois, elle ne se comprenait pas elle-même.

Un mois et demi après son arrivée, fin novembre 1618, Opale a fait la connaissance d’Ekaterina, une prisonnière dont les jours semblaient être comptés vu comment ses geôliers la traitaient. En la voyant ainsi, cependant, Opale ne pouvait tout simplement pas la considérer comme une mauvaise personne qui mérite cela. Pour elle, c’était ces gens qui se disaient bons, avec lesquels elle était censée être dans cette guerre, qui étaient malsains. Ainsi, Opale avait commencé à aller voir Ekaterina tous les jours, la trouvant toujours dans un état pire que la veille et finalement, elle avait réussi à mettre au point un plan pour libérer son amie, à qui elle s’était attachée si rapidement. Grâce à son don de métamorphomage, elle put en effet mettre la main sur la clé de la cellule d’Ekaterina, et arriva à la faire sortir durant une froide nuit de décembre. Cependant, Ekaterina ne voulu pas partir seule, affirmant à Opale qu’elle serait tuée si elle restait et qu’ils découvraient sa trahison. Opale accepta donc de la suite jusqu’à Durmstrang, même si elle ne comprenait pas comment on aurait pu découvrir que c’était elle la traitre. Et puis, elle préférait rester avec son amie.

Quelques mois plus tard, fin avril, alors qu’Opale était toujours en compagnie d’Ekaterina près de l’école de cette dernière, elle avait vu Albert débarquer. Elle l’avait traité de fou, ils s’étaient disputés, pour la faire taire, il l’avait embrassé, et il l’avait supplié de revenir avec lui en France, en Angleterre.. N’importe où loin d’ici. Elle avait tenté de résister, mais elle ne se sentait pas à sa place ici, et se battre contre des gens de son pays était un supplice. Et puis.. Opale était amoureuse, et avait trop peur pour Albert. Malheureusement, dans un élan de naïveté et de confiance aveugle, et malgré les conseils sages de son amant, Opale n’avait pas pu se résoudre à s’enfuir en abandonnant Ekaterina sans la moindre explication comme elle l’avait fait avec ses parents, et elle était donc allée la trouver un soir. Elle lui avait longuement expliqué qu’elle ne trouvait pas sa place dans cette guerre, et que ici, elle ne pouvait pas vivre avec l’homme qu’elle aimait, elle le choisissait donc, espérant qu’Ekaterina comprendrait, car elle ne voulait pas lui mentir. Opale eu l’agréable surprise d’être comprise par son amie, qui  prétendait qu’elle aurait pris la même décision dans sa situation, et elle fit la bêtise de la croire.

Retourner en France était impossible pour Opale, ça aurait été comme un retour en arrière, et elle ne voulait pas. Elle voulait avancer, évoluer. Ils allèrent donc en Angleterre, près de Londres, en se cachant néanmoins, car Opale avait appris qu’elle faisait à présent parti des indésirables, sa fuite le soir même de la libération d’une prisonnière n’étant pas passée inaperçue. Si elle était restée, peut-être que jamais ses responsabilités dans cette affaire n’auraient été reconnues, mais il était trop tard pour y réfléchir. A présent, les deux camps étaient contre elle, et elle risquait la mort en croisant l’un ou l’autre. Le 15 mai 1619, Albert l’avait demandé en mariage, et même si ce geste n’était que symbolique car un mariage était inenvisageable à cause de la guerre, cela avait été le plus beau jour de la vie d’Opale. Dix jours. C’était tout ce qu’ils avaient eu. Un jour, elle s’était absentée une heure. Juste une heure, et ça avait suffit. Elle avait trouvé une maison en feu à son retour, et en voyant Ekaterina en sortir, transplanant juste après, elle comprit. Celle qu’elle avait pensé être son amie si compréhensive n’était en fait qu’une excellente actrice qui venait d’assassiner son fiancé. Elle se sentait vide, comme si la vie n’avait plus aucun sens. A quoi bon vivre, si c’était pour le faire seule ? La première pensée d’Opale fut d’aller le rejoindre dans la mort, mettant fin à ses propres souffrances, mais elle n’avait tout simplement pas le courage de se relever pour cela. Elle s’était effondrée, et elle ne pouvait juste plus bouger. Comme une coquille vide, elle avait seulement mal. Elle ne se souvenait de rien d’autre. Juste de la souffrance. Une douleur plus forte à chaque seconde qu’elle devait subir sans lui. C’était une torture permanente, comme si elle mourrait lentement de l’intérieur. Et puis, après trois longs jours d’agonie, une nouvelle lueur s’imprégna en elle, une lueur de haine. Elle ne ressentait plus que ça. Un éternel désir de vengeance, de destruction de l’être qui lui avait tout pris. Elle voulait voir Ekaterina souffrir, se tordre de douleur devant elle, la supplier d’arrêter avant d’enfin lâcher son dernier souffle. Elle voulait voir la lueur de vie s’éteindre dans les yeux d’Ekaterina. Cette pensée fut la seule capable de redonner à Opale la force de se relever.

Elle mis près d’un mois à retrouver Ekaterina, près de Durmstrang. Elle aurait voulu la tuer dès la première seconde où elle la vit, mais d’abord, elle voulait une explication. Savoir pourquoi elle n’avait pas pu simplement la laisser partir et être heureuse. Opale regretta aussitôt d’avoir voulu savoir. Ekaterina lui avait expliqué qu’elle avait fait ça pour elles, car l’amour rendait Opale faible et que Ekaterina voulait juste la récupérer. C’est à ce moment là que Opale compris la folie dont était victime Ekaterina, folie qu’elle avait toujours refusé de voir, trop attachée à son ancienne amie. Mais maintenant, le rideau était tombé, et elle voyait enfin la vérité. Envahie d’une haine encore plus forte qu’avant, elle tenta en vain de mettre fin aux jours de son ennemie, mais celle-ci transplana aussitôt, et Opale perdit à nouveau la trace d’Ekaterina. Après quelques semaines de recherches acharnées, la jeune anglaise retrouva à nouveau son ancienne amie dans son pays natale, comme si Ekaterina cherchait elle aussi Opale jusqu’en Angleterre. Et en effet, elle trouva cette fois une Ekaterina plus du tout amicale, cherchant clairement à la blesser. Opale n’était pas préparée à une telle violence dans les attaques d’Ekaterina, et failli mourir de ce duel. Elle eu tout juste la force de changer quelques traits de sa physionomie avant de perdre conscience et de se réveiller plusieurs jours après à Ste Mangouste.

Ce ne fut qu’après plusieurs mois que Opale put enfin sortir de Ste Mangouste, et sa première action fut de se remettre sur la trace d’Ekaterina. Au bout de plusieurs mois, elle commença à se demander si la demoiselle n’était pas morte au combat, et elle sentait ses forces l’abandonner une nouvelle fois, mais elle ne voulait pas baisser les armes avant d’être sûre que son ennemie était détruite. Et puis, la guerre se termina dans un dernier bain de sang où Opale chercha à nouveau en vain Ekaterina, mais jamais elle ne vit son visage dans la foule. Elle envisageait de plus en plus d’abandonner lorsqu’enfin, elle la retrouva. Au début, elle n’en crut pas ses yeux tellement son ancienne amie avait changé. Opale ne lui laissa même pas le temps de la voir et attaqua directement avec le sortilège de Doloris. Elle ne voulait rien laisser au hasard, elle ne voulait pas lui laisser la moindre chance de s’en sortir. Voir Ekaterina se tordre de douleur à ses pieds lui donnait plus de plaisir qu’elle n’en avait eu depuis longtemps, mais son bonheur sadique ne commença réellement que lorsque Ekaterina pris conscience de qui la torturait. Sa vengeance n’aurait pas été complète si son ennemie avait cru mourir car elle avait été du côté des perdants durant cette stupide guerre. Non, elle voulait que Ekaterina sache pour quel meurtre elle était jugée. Durant près d’une heure, Opale lança endoloris sur endoloris, jusqu’à ce que les dommages d’Ekaterina soient tels qu’elle ne criait même plus. Là, Opale s’arrêta, et lui laissa quelques minutes pour reprendre ses esprits. Elle voulait qu’elle soit un minimum consciente de ce qui allait lui arriver, qu’elle comprenne qu’elle était condamnée pour le mal qu’elle avait fait. Qu’elle lui avait fait, tout particulièrement. Et puis, d’un coup de baguette, Opale encercla Ekaterina de feu, rapprochant de plus en plus les limites, pour qu’elle sente la mort se rapprocher d’elle, qu’elle sente la chaleur suffocante, de plus en plus omniprésente dans la fin de sa vie, et finalement, enfin, Opale vit la dernière lueur de vie d’Ekaterina s’éteindre, et les flammes l’engloutirent, réduisant sa vie à un tas de cendres.

Plus d’un an passa après cela sans qu’Opale ne fasse grand chose. Sa vie n’avait plus aucun sens maintenant qu’il n’y avait plus les deux personnes les plus importantes, et elle même si elle l’avait voulu, elle n’aurait pas pu recommencer une nouvelle vie. La purge d’après-guerre avait démarré, et Opale savait que si ses parents étaient en vie, ils l’avaient dénoncé et rêvaient de la voir morte, mais elle n’en était pas blessée pour autant. Elle n’en avait plus rien à faire. Elle était devenue incapable de ressentir quoi que ce soit. Opale se doutait qu’elle finirait par être attrapée par les forces anglaises et que sa mort était proche, et elle ne faisait rien pour y échapper, mais elle n’allait pas non plus se rendre, ne voulant pas être interrogée. Et puis, elle avait peur du néant, de ne plus exister, comme si elle n’avait jamais existé. Personne ne se souviendrait d’elle, et c’était le pire pour elle. Au fil des mois, la jeune femme ne trouvait plus rien pour se nourrir, et refusant de mourir ainsi, elle décida de se rendre à Londres, sur le chemin de traverse. Au bout d’une heure, elle croisa un homme qu’elle avait connu à l’époque où elle vivait chez ses parents, et il la reconnu aussitôt. Il tenta de l’arrêter, mais elle paniqua et lui lança le sortilège de doloris avant d’essayer de fuir. Trop tard, l’alerte était déjà donnée. Elle réussit malgré tout à quitter le chemin de traverse, mais la neige de début décembre la trahissait dès qu’elle tentait de se cacher. Elle aurait voulu être courageuse dans les dernières minutes de sa vie, mais elle était juste totalement tétanisée par la peur, incapable de s’en sortir, incapable de se battre, incapable de bouger. Elle les entendait, ceux qui la cherchaient, sans savoir vraiment où ils étaient. Elle fermait les yeux pour empêcher les larmes de couler. C’était face à la mort qu’elle se rendait finalement compte que la vie valait peut-être la peine d’être vécue. Trop tard. Opale les entendit se rapprocher, ils étaient au moins cinq. Elle sortit de sa cachette pour commencer à courir, le plus vite possible, le plus loin qu’elle le pu. Sa course s’arrêta lorsqu’elle reçut un sortilège de doloris. Elle s’effondra en avant dans la neige, hurlant de douleur. Elle tenta de riposter et reçut cette fois la mort, brutale et définitive, comme si elle n’avait jamais vécu.

❅ ❅ ❅

UC


Dernière édition par Alison F. Powell le Dim 16 Fév - 14:08, édité 15 fois
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V. Ēchṓ Laertiadis
AVATAR : ∞ emilia (lovely) clarke.
PARCHEMINS : 935
AMORTENTIA : ∞ noah ; je m'enivre à deviner ton étoile au ciel, ton sourire au bord des larmes.
PATRONUS : ∞ dragon.
PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.

V. Ēchṓ Laertiadis
she's like the wind.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyLun 30 Déc - 19:38

Aon j'adore ton gif et avatar  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 972262311 
Bienvenue ici chou, et bonne chance pour ta fiche.
Nous sommes là pour toi en cas de besoin  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 972262311 
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Alison F. Powell
PARCHEMINS : 8

Alison F. Powell


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyLun 30 Déc - 20:04

Haan merci beaucoup  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 388342071 
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Dünya E. Leyhan
PARCHEMINS : 62
AMORTENTIA : vide intégral. elle dit que ça sent le savon d'alep une odeur toute simple qui lui rappelle simplement la Turquie
PARTICULARITE(S) : préfète, parle avec un accent turc, se souvient entièrement de sa vie antérieure et a un lien très étroit avec son ancien moi

Dünya E. Leyhan
Hang the rules they are more like guidelines anyway.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 0:06

Zoellaaaaa  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 822517570 on la voit de plus en plus cette fille elle est juste top  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 981630123 
Bienvenue et bon courage pour ta fiche  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1626129382 
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A.V. Diederick
PARCHEMINS : 599
AMORTENTIA : Inconnue
PATRONUS : Chien
PARTICULARITE(S) : Loup-garou

A.V. Diederick
There's something wolfish about him. Not in a sexy way, but in an I’ll-eat-your-grandmother way.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 0:23

BIENVENUE AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 981630123
Je me demande bien ce que ce ptit bout de choux peu donner... Et j'adore être surpris ! AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 295353607
Bref, vivement que tu sois validée alors courage et viens un peu te détendre avec nous, hein ! AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1122333325
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Jagger D. Young
AVATAR : evan peters.
PARCHEMINS : 437
AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas.
PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant.
PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.

Jagger D. Young
VIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 0:45

quelle jolie demoiselle AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 388342071
bienvenue parmi nous AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1122333325 et bonne chance pour ta fiche AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 981630123
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H. Cercei Stonem
PARCHEMINS : 278
AMORTENTIA : COOOOOOORDELIA (achille aussi, mais cordélia quoi.)
PATRONUS : un cygne.
PARTICULARITE(S) : badass.

H. Cercei Stonem
DARK SISSI, BITCH.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 0:49

elle est trop choue. AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1626129382  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 4049476019 
bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche.  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 677674234 
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Alison F. Powell
PARCHEMINS : 8

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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 9:22

Punaise, vous êtes trop gentils tous, merci merci merci  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 972262311  Je sens qu'Alison et moi on va vous aimer  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 981630123 
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Peah Y. Greyjoy
AVATAR : Emma Watson
PARCHEMINS : 451
AMORTENTIA : seeley, qu'elle doit protéger d'elle-même
PATRONUS : un papillon, symbole de transformation (tiens, tiens)
PARTICULARITE(S) : lycanthropie, son fardeau

Peah Y. Greyjoy
WE INSIST THAT IGNORANCE KILLED THE CAT.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 11:51

trop mimi cette petite, je connaissais pas AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 295353607. Bienvenue et bonne chance pour ta fiche AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1626129382
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Alison F. Powell
PARCHEMINS : 8

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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 18:37

Haan Emma  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 388342071  Merci beaucoup  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 4148890816 
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Daegan Greengrass
AVATAR : crystal reed
PARCHEMINS : 159
AMORTENTIA : rohan.
PATRONUS : un renard
PARTICULARITE(S) : elle est particulièrement douée en enchantements et sortlièges

Daegan Greengrass
FRANKLY MY DEAR, I DON'T GIVE A DAMN.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMar 31 Déc - 19:05

bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 388342071 
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Alison F. Powell
PARCHEMINS : 8

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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMer 1 Jan - 9:49

Merci  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1122333325 
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Ulysse G. Knight
PARCHEMINS : 374
AMORTENTIA : une jolie serdaigle un peu loufoque, mais à laquelle il ne peut résister.
PATRONUS : aigle royal.
PARTICULARITE(S) : préfet de serpentard ; gardien de l'équipe de quidditch des verts ; membre des baguettes frétillantes ; grand amateur de rapaces ; chevalier à ses heures perdues.

Ulysse G. Knight
FRANKLY MY DEAR, I DON'T GIVE A DAMN.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyMer 1 Jan - 19:59

Zoella est trop mignonne ! Bienvenue et bon courage pour ta fiche AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1626129382
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Invité
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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyJeu 2 Jan - 9:01

ZOELLAAAAAA. AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 981630123
*répand tous ses feels zalfie*
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ! AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 981630123
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Seán C. MacDonough
PARCHEMINS : 10

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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyJeu 2 Jan - 12:06

Ah que coucou toi. AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 3265981769 AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1122333325  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 3059640336 

Spoiler:

(Sur ce, après avoir déversé tout mon amour, je retourne à ma fiche, ouais ouais.  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 3952669950 )
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Alison F. Powell
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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyJeu 2 Jan - 17:35

Haan merci, c'est beau tous ces messages  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 981630123 AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 388342071 

Seán, j'ai du copier/coller à cause de ton accent à la con, je sens que je vais pas l'aimer lui *sors* Tu vois, j'avais raison d'avoir peur, spèce de petite dictatrice, je t'aime fort fort fort, va faire ta fiche ouais  AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 972262311 AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 3059640336 AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 4045835833 AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 3183081360 AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 1122333325 crazy in love
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V. Ēchṓ Laertiadis
AVATAR : ∞ emilia (lovely) clarke.
PARCHEMINS : 935
AMORTENTIA : ∞ noah ; je m'enivre à deviner ton étoile au ciel, ton sourire au bord des larmes.
PATRONUS : ∞ dragon.
PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.

V. Ēchṓ Laertiadis
she's like the wind.


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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it EmptyVen 10 Jan - 22:25

Délai accordé jusqu'au 17/10 AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it 972262311
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MessageSujet: Re: AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it   AFP ☆ It's uncontrollable and I just can't help it Empty

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