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❝ cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back ❞

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Dünya E. Leyhan
PARCHEMINS : 62
AMORTENTIA : vide intégral. elle dit que ça sent le savon d'alep une odeur toute simple qui lui rappelle simplement la Turquie
PARTICULARITE(S) : préfète, parle avec un accent turc, se souvient entièrement de sa vie antérieure et a un lien très étroit avec son ancien moi

Dünya E. Leyhan
Hang the rules they are more like guidelines anyway.


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MessageSujet: cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back   cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back EmptyDim 5 Jan - 18:13

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- You realize who you're talking to?
- You mean a self-righteous bitch who always sat on her own high horse judging everyone else?


La journée avait mal commencé. D'abord elle s'était réveillée en retard et avait manqué le petit-déjeuner, passant la matinée de cours les yeux sur sa montre, attendant avec impatience le prochain repas et priant les dieux pour que son ventre ne se mette pas à gargouiller en pleine études des runes. Elle n'aurait pas été capable de vivre avec la honte. Quoique peut-être que ça aurait poussé le professeur à se répandre un peu moins en explications inutiles et à les laisser quitter le cours plus tôt. Elle regrettait amèrement d'avoir choisi cette option, là tout de suite, quand c'était la seule chose qui la séparait d'un estomac rempli. Se montrer de bonne humeur et faussement amicale était d'autant plus dur dans un moment pareil et son état ne fut qu'aggravé par le contrôle surprise que leur professeur eut la bonne idée de leur donner à faire quinze minutes avant la fin. Dire qu'elle avait eut envie de bruler le parchemin, le bureau du professeur et l'enseignant avec aurait été un doux euphémisme. Dans des moments pareils, l'impétuosité et l'irascibilité de Natalia étaient des plus forts en elle et lutter contre s'avérait fort difficile. Il lui fallut user de toutes ses forces pour se retenu d'éclater contre le mur la tête du bébé Serdaigle qui lui était rentré dedans alors qu'elle courait presque vers la Grande Salle. Y avait plus de respect pour les aînés putain, les temps avaient bien changé. À l'époque où Natalia arpentait les couloirs de l'école en tant qu'espionne de Freya Romanov au moins les élèves les plus jeunes avaient pour habitude de baisser les yeux devant leurs aînés. Quatre cents ans plus tard toute notion de respect semblait avoir disparu de l'esprit des anglais. Ca n'aurait pas du l'étonner ceci dit. « Pas grave » s'était-elle contentée de grommeler à l'adresse du Serdaigle, ne le pensant clairement pas une seule seconde.  

Malgré son estomac désormais plein, elle n'arrivait pas à retrouver un sourire naturel, si son sourire l'était jamais vraiment et elle traînait des pieds en rejoignant le cours d'histoire de la magie. Elle aimait d'ordinaire cette matière, surtout lorsqu'il s'agissait de parler de la guerre d'il y avait quatre cent ans et ce, même si le professeur était incroyablement biaisé en faveur de Poudlard, mais elle avait du mal à se réjouir de trois heures d'affilées d'un cours double avec les Serpentard. Avec de la chance elle serait peut-être assise aux côtés de Viola une de ses rares véritables amies si on pouvait dire et ça passerait un peu mieux. Mais évidemment, elle n'eut pas cette chance. Elle se rendit vite compte en poussant la porte de la salle, qu'elle avait un peu trop traîné parce que tout le monde était déjà assis et qu'il ne restait plus qu'une place, dans le fond. Elle manqua de faire une crise cardiaque en se rendant compte de l'identité de la personne à côté de laquelle elle allait devoir se placer et hésita à tourner les talons. Est-ce que le professeur y croirait si elle feignait d'être malade? À priori non. Ravalant sa fureur elle esquissa un sourire faux et la tête haute elle se dirigea vers lA place, les yeux fixes évitant le visage de celle qui l'énervait tant. Évidemment une journée qui avait mal commencé ne pouvait pas ne pas mal se finir, ça n'aurait pas du la surprendre. Mais elle n'allait pas donner la joie à madame de montrer que ce que ça lui faisait. Passer trois heures aux côtés de cette pimbêche, de cette garce, de cette miss parfaite, de sa jumelle d'antan allait être une véritable torture. Lâchant son sac au pied de sa chaise elle la tira bruyamment et s'assit toujours sans le moindre regard vers Cordélia. Dünya sortit ses affaires tandis que le professeur commençait son cours avec lenteur. Elle poussa un soupir bruyant repoussant de son souffle une mèche de cheveux bruns qui masquait sa vue. Regard en coin vers Cordélia. Cette garce. La seule maigre compensation qu'elle avait c'était l'idée que ça ne devait pas réjouir la Serpentard bien plus qu'elle. Entre ses dents elle émit un petit son dépréciateur, tout en replaçant ses jolies boucles brunes dans son dos, un air supérieur sur le visage. Elle continuait de penser qu'elle avait été mieux lotie dans cette vie que Cordélia. Et elle continuait de penser qu'un jour elle aurait sa vengeance, même si pour l'instant elle rongeait encore son frein.  Un plan avait commencé à se dessiner dans son esprit toutefois, un plan qui impliquait quelqu'un que Cordélia aimait beaucoup. C'était sa meilleure chance de l'atteindre jusque-là, mais ça ne voulait pas dire qu'elle renoncerait à quelques petits coups bas par-ci par-là quand l'occasion se présenterait. Non elle ne pouvait renoncer à la possibilité d'obtenir une gratification immédiate pour ses efforts contre la vipère. Elle sentit sa joue se raidir, dieu qu'elle pouvait la détester. Il n'y avait toutefois pas de raison que ça ne soit pas une torture pour l'autre aussi. Ouais, y avait pas de raison qu'elle la laisse tranquille. Elle s'apprêta à faire une remarque désobligeante lorsque le professeur prononça un mot, un seul. Romanov. Ses yeux bleus se levèrent immédiatement, le voilà qui parlait de sa mère. Enfin de la mère de Natalia plutôt. La différence n'était pas toujours très claire. Elle ne savait pas si c'était son imagination qui lui jouait des tours mais elle cru sentir la jeune femme à ses côtés se raidir elle aussi. Était-ce parce qu'on parlait de Freya ou parce qu'elle savait elle aussi qu'une critique appuyée de sa mère et de ses idées allait s'en suivre et qu'elle non plus n'appréciait pas? Elle ne pu retenir un regard curieux vers sa camarade, un regard un peu trop insistant puisqu'elle se tourna vers elle.
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M. Cordélia Lysaght
AVATAR : adelaïde (hot) kane.
PARCHEMINS : 190
AMORTENTIA : cercei est l'amour de sa vie, c'est tout. (et ce gars là...)
PATRONUS : un phénix.
PARTICULARITE(S) : brightest witch of her time | animagus sombre louve | leader des sombres phénix | détective.

M. Cordélia Lysaght
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MessageSujet: Re: cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back   cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back EmptyMer 8 Jan - 22:26

dünya leyhan & cordélia lysaght + Fuck you, Fuck you very, very much. Cause we hate what you do And we hate your whole crew, So please don't stay in touch. Fuck you, Fuck you very, very much. Cause your words don't translate And it's getting quite late, So please don't stay in touch + Hateful bitch of a world, it wouldn't ever last(ch. I)


Ce jour là, Téonard n'était pas là. Le brun avait fait passer le message comme quoi il était malade – ce que la Serpentarde savait être un pur mytho de première. Elle savait de source sure que le lionceau était en mission top secrète pour tenter de mettre la main sur un scoop, quelque part au coeur de Londres. Elle ne pouvait pas lui en vouloir de l'avoir abandonnée, après tout, elle était également du genre à prendre la poudre d'escampette quand des affaires l'appelaient en dehors du château. Ce qui arrivait souvent. Elle était donc seule ce jour là en cours de sortilèges, et elle fit une grimace à Emory Delaney, celui-ci l'ayant abandonnée pour s'asseoir à coté d son crétin de meilleur ami, Garrett Watson. Garrett. L'ancien Aleksander Romanov. Son ancien frère ainé. L'homme de fer qui était devenu le crétin de service. Quelle déchéance quand elle y pensait. Nul doute que le norvégien s'étoufferait avec sa propre salive s'il voyait ce qu'il était devenu dans cette nouvelle vie. Cordélia n'avait aucune tendresse pour son ancienne famille, que cela soit Aleksander ou Freya – ou tout du moins, c'était ce qu'elle aimait à croire. A la vérité, et malgré toute la souillure, tous les ratés et toute la rancoeur entre elle et le blond, elle l'aimait toujours, quelque part. Sous les tonnes et tonnes de noirceurs et de regrets d'une vie passée. Mais elle n'était pas prête à s'auto-psychanalyser. Pour l'heure, elle se préparait à passer trois heures seule, ce qui n'était pas un problème en soit pour elle. Contrairement à feu son ancien frère, elle n'avait pas un besoin chronique d'attirer l'attention sur elle et elle s'épanouissait plus que bien dans les ombres. Elle était une ombre. Et elle se complaisait dans cette vie. Elle n'allait pas se plaindre – de toutes les manières, ce n'était pas son genre. Son oeil tiqua cependant quelques secondes quand elle sentit une nouvelle présence dans la pièce et elle n'eut pas la nécessité de relever son regard pour savoir de qui il s'agissait.

En retrouvant tous ses souvenirs, Cordélia avait pris une sorte d'engagement avec elle-même. Elle ne tiendrait pas rigueur aux autres de leur vie passée et s'ils étaient prêts à se racheter, elle effaçait totalement l'ardoise de ce qu'ils avaient pu jadis commettre. Et elle appliquait strictement cette polituqe avec tout le monde, à l'exception de trois personnes. Et Dünya en faisait partie. Rien que sa présence à quelques mètres d'elle faisait grandir en elle des envies de meurtres et pourtant, comme toujours, elle restait d'une froideur imperturbable. Cercei était celle qui s'enflammait toujours, qui tapait du poing sur le table et qui manquait de peu d'étrangler Dünya. Cordélia, elle, se contentait de l'ignorer, de la traiter comme on traiterait un insecte sans aucune valeur, sans aucun interêt. Oui, elle méprisait littéralement Dünya, ne lui accordant aucun crédit comme si elle n'en valait pas la peine, comme si elle n'avait même pas une importance suffisante pour qu'on daigne lui lancer un coup d'oeil. Quand elle vint s'asseoir à coté d'elle – visiblement, Merlin avait décidé d'être joueur aujourd'hui – elle ne tiqua pas et continua à l'ignorer ostensiblement, comme si elle n'existait même pas. Non Dünya n'existait pas et dans trois heures elle pourrait rejoindre Echo et Cercei dans la grande salle pour le repas. Oui, elle mangerait avec les Poufsouffles aujourd'hui – une envie soudaine. Peut être avait-elle besoin de leur gentillesse à toute épreuve et de leur intégrité sans faille pour nettoyer cette partie d'elle qui serait souillée par une proximité aussi longue avec la vipère qu'était la turque. Gryffondor? Son cul. Elle n'était que serpent sous visage fleuri, prête à vous mordre au moindre signe de faiblesse. Mais malheureusement pour elle, Cordélia n'était pas Sofia et elle avait peut être compris qu'essayer de jouer avec la vert et argent ne lui attirerait que bien des ennuis, bien plus encore que de part le passé. Ou pas: Cordélia ne se faisait pas d'illusions, elle savait que tôt ou tard, la rouge et or à coté d'elle passerait à l'action. Mais qu'elle essaye: elle serait là pour rendre le coup au centuple. Fini le temps de la gentillesse, de la demoiselle en détresse, de la princesse niaise. Cordélia n'était rien de cela et si Dünya avait besoin qu'elle le lui rappelle, elle le ferait avec un très grand plaisir. Elle dut cependant tirée de ses pensées quand le professeur parla de sa défunte 'mère' et elle carra quelques secondes la mâchoire. Premièrement, parce qu'elle haïssait qu'on parle d'elle. Deuxièmement parce qu'il racontait n'importe quoi, que Freya n'utilisait pas d'Incendio pour torturer qui que ce soit, déléguant ce genre de choses triviales à ses subordonnés. Morgane que les gens d'aujourd'hui étaient des ignares. Et cela avait le don de l'agacer. Comme le fait qu'on la regarde de manière prolongée. Ainsi, bien qu'elle ne lui jetait toujours aucun regard, que son visage était aussi lisse qu'une statue de marbre et qu'elle grattait toujours calmement sur son parchemin – autre chose que ce cours stupide, bien évidemment – elle prit pour la première fois la parole, d'une voix glaciale et tranchante. "Je sais que tu ne t'es jamais totalement remise de ta ridicule obsession à mon égard mais je te conseille de suivre le cours plutôt que de continuer à me regarder. Dans le cas contraire, je ne me porterai pas coupable de ce qui pourrait t'arriver." Une menace dit d'un ton trop froid, trop calme. Mais une menace claire et évidente et nul doute que la brune a coté d'elle savait qu'elle ne plaisantait pas. Cordélia ne plaisantait jamais quand elle menaçait les autres et mettait toujours ses avertissements en exécution si on venait à lui déplaire. Et Merlin que Dünya lui déplaisait énormément...
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Dünya E. Leyhan
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MessageSujet: Re: cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back   cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back EmptyDim 12 Jan - 17:35

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« Je sais que tu ne t'es jamais totalement remise de ta ridicule obsession à mon égard mais je te conseille de suivre le cours plutôt que de continuer à me regarder. Dans le cas contraire, je ne me porterai pas coupable de ce qui pourrait t'arriver. »Hmm like shut the fuck up. La première chose qui marqua Dünya fut l'égo démesuré dont faisait preuve sa camarade. Quoiqu'elle n'aurait pas du s'en étonner, après tout elle savait Cordélia peu humble et à ses yeux plus à tord qu'autre chose. Ensuite elle pouvait largement se permettre de ne pas prêter attention au cours quelques secondes, après tout ce n'était pas comme si elle ne connaissait rien de la guerre et surtout de Freya. Et si c'était pour écouter les bêtises du prof sur les pratiques de celle-ci, elle préférait trouver une autre occupation. Le ton glacial de la vipère était probablement fait pour l'effrayer, mais elle n'était pas une lionne pour rien et elle ne cilla même pas devant la menace évidente. D'un autre côté il fallait admettre qu'elle était en bonne position pour l'écarter assez facilement. Roulant des yeux elle esquissa presque un sourire vaguement amusé. « Bas oui. » elle leva à nouveau les yeux au ciel « Parce que tu vas m'attaquer en plein cours. C'est clair que le prof va vachement aimer ça, ouais. » Pour accentuer ses propos elle hocha la tête en signe d'approbation, les sourcils levés, l'air profondément débile avec de refermer brusquement son visage et de lui lancer un regard noir. Cordélia la prenait pour une conne de première ou ça se passait comment? Elle avait beau être du genre à n'en faire qu'à sa tête il fallait être complètement idiot ou fou pour attaquer une préfète en plein cours. Et même. Dünya n'avait pas peur. Peut-être que d'autres à sa place auraient craint la jeune femme vu sa réputation, mais pas Dünya. Probablement parce qu'elle était aveuglée par sa haine incommensurable pour Cordélia, mais aussi et surtout parce qu'elle refusait la peur, particulièrement contre son ennemie jurée et parce que de toute façon que personne n'était invincible. Cordélia avait des faiblesses comme tous le monde, il suffisait de les trouver et de les exploiter. Et Dünya avançait doucement, mais sûrement. Posant un coude sur la table et calant confortablement son menton dans la paume de sa main elle fit mine de contempler son ennemie de toujours un air niais sur le visage. « Tu vas faire quoi si je te regarde, hein? De toute façon avec la horde d'admirateurs que tu crois avoir qu'une personne en plus te regarde ça devrait pas faire la différence, non? » Son visage se ferma alors brusquement histoire que l'autre ne se fasse pas de fausses idées sur la portée réelle de ses mots. Poser ses iris bleus sur la Serpentard était loin d'être un plaisir pour elle, ça lui brûlait en fait les yeux plus qu'autre chose. Pour Dünya si le diable avait eu un visage il aurait eu celui de Cordélia sans le moindre doute. Elle n'avait pas eut l'intention de fixer si longtemps sa camarade, elle ne s'était même pas vraiment rendue compte qu'elle la fixait, elle s'était juste montrée un brin trop curieuse. Mais puisque ça semblait fortement agacer Cordélia elle avait une soudaine envie de continuer à le faire. Elle ne lui ferait certainement pas le plaisir de baisser les yeux. Respect oui, mais pas pour quelqu'un comme Cordélia. Ca jamais. Quatre cent ans plus tôt elle ne s'était pas inclinée devant Sofia et elle n'allait pas commencer aujourd'hui. Si son interlocutrice le pensait sincèrement elle se mettait le doigt dans l'œil et profond. « Maintenant si madame veut bien la fermer j'aimerais bien suivre le cours. » fit-elle brusquement toujours sans avoir lâché du regard sa camarade. Avec Cordélia c'était plus fort qu'elle, elle lâchait son air de gentille fille, ou du moins si elle l'arborait c'était avec l'ironie la plus profonde. Elle laissait tomber ses idées de réputation une seconde pour approcher son ennemie telle qu'elle était réellement. Mais ça ne pouvait pas durer trop longtemps et surtout elle n'allait jamais aussi loin qu'elle l'aurait voulu. Surtout devant témoins. Le but n'était pas que la poursuite de sa vengeance personnelle détruise tout. Ca la laissait forcément très insatisfaite comme là, où elle aurait bien aimer profiter du moment pour attaquer la Serpentard. Mais quelque part elle avait déjà tellement attendu qu'un peu plus de patience ne pouvait faire de mal. Désormais elle ne répondrait qu'aux provocations de Cordélia - même si elles étaient souvent incitées par son propre comportement - histoire d'avoir une excuse pour s'éloigner de son attitude habituelle. C'était l'autre la serpentard dans cette vie, l'autre celle qui devait aux yeux des gens avoir le rôle de la méchante. C'était elle la garce reconnue cette fois-ci, pas Dünya qui était tout aussi garce que Natalia certes, mais dans l'ombre et aimée de quasiment tous.
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MessageSujet: Re: cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back   cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back EmptyMer 15 Jan - 1:41

dünya leyhan & cordélia lysaght + Fuck you, Fuck you very, very much. Cause we hate what you do And we hate your whole crew, So please don't stay in touch. Fuck you, Fuck you very, very much. Cause your words don't translate And it's getting quite late, So please don't stay in touch + Hateful bitch of a world, it wouldn't ever last(ch. I)


Pour Cordélia, Dünya était soit aveugle, soit stupide soit complétement inconsciente. Peut être même les trois. Depuis le temps qu'elles se connaissaient – à leurs plus grands regrets – elle aurait dû comprendre que la menace d'un professeur n'était rien pour Cordélia. Haïe du directeur, elle était néanmoins protégée par celui-ci et ses petites entorses au réglement ne lui coûtaient jamais bien cher. Ca aidait d'être une machine de guerre qui exécutait des missions sans broncher, ça permettait de demander parfois quelques petites faveurs. "Oh Merlin, tu es si naïve que ça en est presque adorable." La voix de Cordélia retentit avec une complaisance évidente alors qu'elle la regardait de haut en bas. Soudainement, sans le moindre signe avant courreur, elle posa sa main sur la cuisse de sa camarade et avec ses ongles, elle remonta tout le long de celle-ci, entrainant la jupe dans son mouvement, fillant le collant de la rouge et or, laissant par la même occasion des griffures rougeâtres dont le sang commençait lentement à perler. Retirant sa main légérement tachée de vermeil, elle regarda ses doigts avec un dégout évident avant de les essuyer.. sur la veste de Dunÿa. "Ne crois pas une seconde qu'un professeur serait suffisant pour te protéger." Elle dit, un faux sourire sur les lèvres en reprenant sa plume comme si de rien n'était, comme si elle ne venait pas de marquer sa camarade de ses griffes en guise de menaces. Il était bien candide de croire qu'elle n'attaquerait pas Dunÿa face à une figure d'autorité – pour la simple et bonne raison que Cordélia n'en admettait aucune. Elle détestait ceux qui essayaient de la forcer à adopter un comportement en particulier et n'en faisait toujours qu'à sa tête – au grand dam du directeur de Poudlard qui ne savait plus quoi faire d'elle. Dünya commettait une grave erreur en venant se frotter ainsi à Cordélia. Nul doute que dans son esprit, elle était toujours la douce et timide Sofia, celle sur qui on pouvait marcher et s'essuyer les pieds sans qu'elle ne proteste. Mais ce n'était pas le cas. Cordélia n'était pas Sofia et la Gryffondor risquait de l'apprendre au prix fort. Une nouvelle fois, un ricanement moqueur vint franchir la lippe de la brune alors qu'elle faisait tourner délicatement sa plume entre ses doigts. La jalousie était plus qu'évidente dans les propos de la brune et Cordélia ne savait pas si elle devait en rire ou la prendre en pitié. Elle n'avait jamais compris Dünya – ou même Natalia – avait cette obsession cheloue pour elle et pour Cercei. Pourquoi elles? Parce qu'elle était la fille de Freya Romanov? Allez savoir. Peu importe la raison, Cordélia était persuadée qu'elle était à l'image de la jeune femme à coté d'elle: vaine et stupide. "Il me semble que ton esprit est encore embrumée par la fumette. L'attention whore qui a besoin qu'on la regarde et qu'on l'aime ici, ce n'est pas moi." En clair: c'était elle. Cordélia ne cherchait pas à plaire, bien au contraire. Elle avait de nombreux détracteurs et cela lui convenait parfaitement. Elle n'avait pas besoin de cent cinquante mille fans mais juste de sa poignée d'amis qui lui suffisait amplement. Ils étaient tout pour elle, et elle aurait tout fait pour eux. Un sentiment qu'une personne comme la Leyhan ne devait probablement pas comprendre. Et ce n'était certainement pas la Lysaght qui allait gacher de son précieux temps à le lui expliquer. Une nouvelle fois un ricanement profondément moqueur sortit de sa bouche alors qu'elle regardait Dünya du coin de l'oeil. Cette fois-ci, elle la prenait clairement de haut, comme l'homme regarde l'insecte. Et Dünya valait encore moins que toutes les mouches et chenilles de Poudlard "Il est vrai que tu as besoin de suivre le cours. Tu es si faible que ça en est presque triste... Presque triste et surtout pathétique." Cordélia connaissait la différence de niveau qu'il existait entre elles deux et s'en amusaient grandement. Elle savait que baguette à la main, elle avait largement l'avantage sur l'autre jeune fille. Elle n'imaginait alors pas que c'était pour cette raison que quatre cent ans auparavant, Freya l'avait choisi elle plutôt que Natalia pour porter son Hocruxe. Garde la plus puissante et débarrasse-toi de l'autre, voilà ce que Freya avait pensé. Et voilà comment elle avait semé le fiel et la haine entre deux soeurs qui auraient pu éventuellement s'apprécier. Mais pour le moment, c'était très loin d'être le cas et alors qu'elle jetait un nouveau regard méprisant à sa voisine, Cordélia finit par repousser sa chaise pour poser ses pieds sur le bureau, s'amusant à observer ses escarpins noirs avec un plaisir évident – celui de faire littéralement chier sa voisine.
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MessageSujet: Re: cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back   cordénya ♔ you can tell Jesus that the bitch is back Empty

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