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❝ it is what it is - ros/igor ❞

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H. Cercei Stonem
PARCHEMINS : 278
AMORTENTIA : COOOOOOORDELIA (achille aussi, mais cordélia quoi.)
PATRONUS : un cygne.
PARTICULARITE(S) : badass.

H. Cercei Stonem
DARK SISSI, BITCH.


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QUATRE CENT ANS AVANT:
RELATIONS:
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MessageSujet: it is what it is - ros/igor   it is what it is - ros/igor EmptyDim 2 Fév - 18:26


" Fingertips, northern lights tracing colors right through the sky
Underneath a lullaby, I never felt as blissful as I do here
And my heart sings in a world so incredible, and everything shines much brighter "


Ros brosse ses longs cheveux bruns assise devant sa coiffeuse. Le fameux bal de l'hiver, organisé par la directrice de Durmstrang, pour réchauffer l’atmosphère est passé d'une semaine. Elle s'était affichée fièrement aux côtés d'Igor Hristov sous les regards étonnés des habitants du château et de leurs proches. Elle était vêtue d'une superbe robe blanche qui n'avait pas laissé de marbre le slave et qui lui avait valu quelques commentaires administratifs sur la couture de celle-ci. Un cygne, elle avait l'air d'un cygne accompagnée de son prince. Igor et Ros se côtoient depuis leur tendre enfance, ils étaient passés par tous les stades et surtout par celui des chamailleries. Il n'arrêtait pas de la rendre dingue, il trouvait toujours la parade pour la mettre dans tous ses états. Elle répliquait souvent  en le mettant à mal, elle le faisait passer pour le méchant de l'histoire et s'en sortait blanchi. Il était naturel que tout le monde se mette à parier sur leur relation étant loin d'être passés inaperçus au château. Il y avait une différence d'âge évidente entre eux, Ros était bien plus jeune qu'Igor, ils étaient vivement critiqués. Elle était courtisée par des hommes de son âge dont elle ne prêtait guerre attention et lui, il ne s'engageait jamais de manière officiel avec les filles qu'il côtoyait. En réalité Ros ne s'intéressait pas vraiment aux sentiments et ce que ça engendrait. On disait qu'elle ne l'aurait jamais, qu'ils étaient bien trop différents et qu'il finirait par la laisser pour la première venue. On disait ça, mais on disait aussi qu'ils pourraient former un couple surprenant et qu'ils pourraient en épater plus d'un. Ros n'était pas du genre à se laisser influencer par les "on dit" qui s’avéraient destructeurs lorsqu'on y prêtait attention. Le secret était de laisser le temps faire les choses à leurs places, car ils évoluaient tous les deux de manière différentes. Déjà par rapport à leurs caractères différents, mais aussi par rapport aux stades de leurs vies qu'ils ne franchissaient pas en même temps. A cet instant-même, elle songeait plutôt à cette danse qu'elle avait partagé avec Igor, de ce moment intime, loin de tous. Parce que dans cette soirée ce qu'elle avait le plus apprécié, c'est ce moment où il l'avait rejointe dans sa chambre avant de rejoindre ses amis, où il l'avait faite danser et surtout quand il avait fini par l'embrasser pour tester ses sentiments. Les autres avaient beau dire qu'elle finirait seule et malheureuse, Ros avait pris cela pour une victoire et surtout une belle revanche. Tout au long de la soirée, elle avait arboré un magnifique sourire sans pour autant en faire trop, parce que ce n'est pas dans sa nature de se mettre en avant. Ros était restée simple tout en savourant l'attention que lui accordait Igor. En s'observant dans le miroir, elle voit que quelque chose a changé en elle. En pensant à lui, elle n'est plus agacée ou tiraillée, mais elle se met plutôt à sourire. Ros pose sa brosse à cheveux sur sa coiffeuse et se lève de sa chaise. Elle touche ses lèvres du bout de ses doigts tout en ayant la boule au ventre. Depuis cette soirée, ils ne s'étaient pas parlées, ni accordées le moindre regard. Ils passaient l'un à côté de l'autre comme des étrangers, ils s'évitaient. Au fond, elle ne lui en voulait pas. Ils ne s'étaient rien promis, ils avaient passé une soirée exceptionnel et s'étaient quittées comme ils étaient arrivées. Néanmoins, il lui avait collé un doux baiser contre sa joue et souhaité une bonne nuit, en parfait gentleman. Ros ne se voyait pas s'endormir de si tôt, elle saisie un immense manteau tout en fourrure et le mit sur son dos. Elle franchie le seuil de sa chambre et partie parcourir les couloirs du château pour se changer les idées. Lorsqu'elle avait quelque chose en tête, il lui arrivait de se lever au beau milieu de la nuit et de faire les cents pas pour se vider l'esprit. Elle serait bien allée embêter Sofia, mais cette dernière doit s'être assoupie depuis un bon moment. Et puis, ça faisait plusieurs nuits qu'elle rejoignait son lit pour venir dormir avec elle. Ros voulait la laisser tranquille cette fois-ci. Elle descendit les nombreux escaliers qui l'a séparait du rez-de-chaussée. La jeune femme s'était arrêtée devant une fenêtre observant la neige tombée. Un épais nuage blanc avait  recouvert Dursmtrang dans son ensemble.  L'hiver était de loin son époque favorite. Elle partie en direction des cuisines histoire de grignoter quelque chose. Une fois arrivée à destination, la jeune femme eut un haut le cœur. Igor s'était retourné au même moment et fit tomber ce qu'il avait dans ses mains. " Oooh, c'est toi, tu m'as fait une peur bleue. " dit-elle en posant une main contre son coeur. Il y avait peu de chances pour que ça arrive, mais c'est bel et bien le slave qui se trouvait actuellement devant elle. Ros s'avança vers lui et se pencha pour l'aider à ramasser ce qu'il avait fait tomber. "Une insomnie ?" le questionna t-elle naturellement, leur relation n'a rien d'officielle et est même devenue étrange. Elle se rend compte qu'elle en deviendrait presque timide. Ils n'avaient jamais passés une semaine sans se parler, sans qu'il vienne lui tripoter les cheveux en sachant qu'elle déteste cela, sans qu'elle aille se plaindre auprès du personnel à cause de son comportement en inventant une bêtise à son sujet pour qu'il se fasse sermonner. Non, c'était le silence radio. Elle lui donne le bout de pain qui était sur le sol et se relève. " Je... Je vais te laisser... Bon appétit. " dit-elle en saisissant une pomme qui traînait sur le plan de travail accompagné d'un simple sourire. Elle se tourne à contre-cœur, il ne lui doit aucune explications après tout, les autres avaient bien raisons, elle n'est qu'une fille comme les autres. C'est à ce moment-même qu'elle venait de percuter, qu'elle ne serait pas aussi spéciale qu'elle le voudrait à ses yeux et que peut-être a elle aussi, ça lui fait peur ce changement de situation entre eux. Elle n'avait pas envie de le mettre à mal, elle ne voulait pas le faire culpabiliser. Ros évitait toute confrontation ayant peur de faire mal à son tout petit coeur.
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Achille G Knight
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AMORTENTIA : Marié à l'art de glander
PATRONUS : Un loup sibérien
PARTICULARITE(S) : Sa capacité à toujours éviter les responsabilités

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It's after that we lost everything that we are free to do anything.


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MessageSujet: Re: it is what it is - ros/igor   it is what it is - ros/igor EmptyLun 3 Fév - 14:24


∞  We accept the love we thing we deserve.
Ros&Igor
This is what I believe, right now, in this auditorium, there is someone who is with you, someone who is willing to pick you up, dust you off, kiss you, forgive you, put up with you, wait for you, carry you, love you. So while everything may not be okay, one thing I know is true, you do not have to be alone.

Igor était dans son lit, réfléchissant, les pensées tournant et se retournant encore dans son esprit. Ces derniers temps son sommeil était de plus en plus difficile. Il sentait que quelque chose se préparait et que bientôt plus rien n'allait être pareil. Il avait besoin de bouger, d'évacuer ce trop plein d'énergie qu'il emmagasinait depuis plusieurs jours à cogiter. Ce fut son estomac qui lui offrit une idée de distraction. Il grognait comme un damné, lui rappelant qu'il n'avait pas cru bon d'aller dîner.  Il avait eu mieux à faire. Sauf qu'à cause de ça, maintenant, il mourait de faim. Impossible de dormir avec cette sensation qui lui tiraillait le ventre. Une seule solution s'offrait à lui, quitter sa chambre pour retrouver le chemin de la cuisine, dans l'espoir de se dénicher quelque chose à grignoter, histoire au moins, de tenir jusqu'au petit déjeuner.  

Sans plus attendre, il quitta son lit avant d'enfiler sa cape faite en fourrure. L'hiver était bel et bien tombé sur l'école de sorcellerie slave et il était hors de questions de sortir trop peu couvert, même pour un jeune homme robuste comme Igor. Il régnait un froid mortel dans la région, surtout quand la neige recouvrait la totalité du pays, comme c'était souvent le cas à cette période. Igor prit son temps dans les couloirs, il avait faim, mais pas au point de courir, il préféra traîner tranquillement dans les couloirs, observant le paysage en neigé du domaine de Durmstrang. Paysage qui aurait presque pu le rendre nostalgique. Presque, bien entendu, Hristov n'était pas du genre à s'attarder sur le passé, il préférait aller de l'avant. Et là, ce qui était devant lui, c'était la cuisine. Son estomac gronda un peu plus fort, de sorte à bien lui rappeler qu'il était toujours là. Pratique en cas d'oubli d'un organe vital.

Le brun poussa la porte de la cuisine, où régnait une douce chaleur, preuve que les cuisinières avaient fonctionné peu de temps auparavant. Sauf que maintenant, les lieux étaient vides. C'était à lui de se trouver de quoi se sustenter. Il commença à fouiller dans les placards, il voulait trouver de quoi se faire un sandwich. Il devait bien pouvoir trouver ça dans une cuisine quand même. Finalement, il dénicha du pain et de quoi le garnir. Il allait commencer la confection de son sandwich quand un bruit le surprit et le fit perdre ce qu'il avait dans les mains. Ros. De toutes les personnes de l'école, Igor ne s'attendait pas à tomber sur elle. Prit au dépourvu, il ne savait pas vraiment quoi dire, ni quoi faire. Il devait bien avoir l'air quiche à avoir laissé tomber ce qu'il avait dans les mains. Il lui avait fait peur, ce n'était pas le but. En réalité, il n'avait pas de but pour ça.  Voilà bien une semaine qu'il n'avait pas vu la jeune femme, depuis le bal d'hiver qu'ils avaient passés ensemble. Étrangement, depuis il ne l'avait pas recroisé. Chose plutôt étonnante quand on y pense étant donné qu'en temps normal ils passaient le plus clair de leur temps à se chamailler pour des âneries. Pourtant, Igor n'avait pas cherché à l'éviter, peut-être que son inconscient n'était pas du même avis que lui.

Une semaine auparavant ils avaient passé une très bonne soirée, Ros avait été magnifique dans sa robe blanche et une certaine proximité s'était installé entre eux, surtout lors de l'instant qu'ils avaient partagé peu de temps avant de rejoindre les autres. Un moment hors du temps où, Igor l'avait embrassé. Il avait besoin d'avoir le cœur net, savoir si le sentiment étrange qu'il ressentait ses derniers temps étaient vrais ou si c'était juste un mauvais tour de son esprit. Mais apparemment point de mauvais tour là-dedans. Ros et lui avaient grandit, ils avaient mûrit, évolué et il était normal que leur relation en face de même, ils n'allaient pas rester constamment dans ce jeu puéril de celui qui arrivera le plus à embêter l'autre, surtout qu'Igor commençait à entrer dans l'âge adulte, il avait passé l'âge de ces jeux idiots, mais il ne voulait pas se détacher de l'autre joueuse. Il en était bien trop attaché. Impossible pour lui de savoir comment s'appelait ce sentiment qu'il ressentait, mais il savait qu'il était fort et c'était ça le plus important.

Maintenant, elle était devant lui et il allait devoir faire quelque chose, il pouvait voir sur le visage de la brune qu'elle attendait qu'il fasse quelque chose. Après tout c'était lui le mâle dans cette histoire, c'était lui qui avait fait le premier pas, il allait devoir continuer s'il voulait faire bouger les choses. Totalement absorbé par ses pensées, il ne remarqua pas qu'elle s'adressait à elle et ne comprit qu'une seconde trop tard qu'elle avait décidé de partir. Non, elle ne pouvait pas. Il ne l'avait pas vu depuis une semaine, ce laps de temps avait été bien assez long. En une fraction de seconde il parcourut la distance qui les séparait pour venir attraper le bras de Ros, assez fort pour lui faire comprendre qu'elle devait rester, mais pas assez pour lui faire mal. « Cette cuisine est bien assez grande pour nous deux, tu sais ? » finit-il par dire en la faisant pivoter dans son sens, plongeant son regard dans le sien, un mince sourire aux lèvres. Il ne voulait pas qu'elle parte. Pas tout de suite. Pas maintenant. « Tu ne devrais pas te balader seule dans les couloirs à une heure pareille, tu sais ? » Durmstrang avait beau être une école, on ne pouvait jamais savoir qui peuplait les couloirs et étrangement, il n'avait pas envie qui lui arrive quoique ce soit.
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MessageSujet: Re: it is what it is - ros/igor   it is what it is - ros/igor EmptyMar 11 Fév - 2:18

Ces derniers temps, Ros avait des difficultés pour trouver le sommeil. En général, elle prenait le soin de s'occuper d'elle puis elle sortait pour aller faire un tour, soit dans la chambre de Sofia, soit dans les couloirs de Durmstrang. Une raison à ces insomnies, un prénom qui ne cessait de la tourmenter. Igor. Elle n'a jamais été obsédé ainsi par le jeune homme. Sans doute, elle devait faire face à ses sentiments et à ce qu'elle refoule depuis toutes ces années. Ce qu'elle ressent pour lui,  elle ne l'a jamais ressentit pour quelqu'un d'autre. Parfois elle répondait positivement aux invitations des autres garçons, mais seulement parce qu'il sortait avec d'autres filles. Ce bal avait bousculé leur relation, il leur avait fait prendre une toute autre direction. Ros ne sait pas si elle est prête pour ça. Si elle est prête à changer cette dynamique qu'ils avaient mis du temps à construire ensemble. Elle avait décidé de se rendre dans les cuisines pour assouvir sa faim. La nuit, on pouvait régulièrement entendre son ventre en train de grogner. Souvent, elle n'a pas le courage de descendre et d'aller chercher de la nourriture clandestinement. En général, il fait froid au château et elle est obligé de se blottir dans son épais manteau de fourrure - comme à cet instant précis. Pourtant c'est qu'elle aime le plus dans l'hiver. La lumière et la chaleur d'un bon feu, avoir froid et devoir se réchauffer auprès de ce dernier. Elle trouve que ça a un aspect romantique et attendrissant. De plus, ils ont toujours le droit à ce paysage magnifique recouvert par la neige qui ne manque jamais à son devoir. En rejoignant les cuisines, Ros ne pensait pas qu'elle tomberait nez-à-nez avec Igor. Il avait l'air aussi surpris qu'elle, au point de faire tomber tout ce qu'il avait dans ses mains. Naturellement, elle l'avait aidé à ramasser ce qui était sur le sol. Le coeur de la jeune femme battait à toute vitesse. Une drôle de sensation. Elle ne savait pas comment se comporter, d'un côté son coeur lui cri de réagir et d'un autre, elle veut fuir. Ils ne se doivent rien, il l'a embrassé certes, mais il n'est pas sien. Ils sont juste Igor et Ros. Elle était sur le point de partir, elle lui avait même tourné le dos en lui souhaitant un banal "bon appétit". Elle se sentait stupide, au bout d'une semaine sans se voir, elle ne cherche même pas à pousser la conversation plus loin. Elle entendit Igor se rapprocher d'elle pour ensuite saisir son bras. Imprévisible. C'est surement le détail qu'elle aimait le plus chez lui. Elle ne savait jamais à quoi s'attendre. « Cette cuisine est bien assez grande pour nous deux, tu sais ? » dit-il en l'a faisant pivoter dans le sens inverse, afin qu'elle se retrouve face à lui. Il affiche un mince sourire tandis qu'elle se perd dans ses yeux. La proximité entre les deux jeunes gens est mince. Le coeur de Ros tambourine comme s'il allait s'échapper de son corps. Un frisson parcours son échine et ce n'est pas un frisson de peur, mais plutôt un frisson de bonheur. Il en faut peu à la jeune femme pour l'a rendre heureuse, c'est vrai. Seulement, cette semaine passé sans la présence d'Igor avait été terriblement longue. Elle s'était ennuyé de lui, elle l'avait cherché et avait été déçu de ne trouver que son ombre. Un sourire fini par se dessiner sur ses lèvres, un petit sourire certes, mais c'était un bon début.  « Tu ne devrais pas te balader seule dans les couloirs à une heure pareille, tu sais ? » Il l'a retient et il s'inquiète. Les joues de Ros vont finir par prendre des couleurs s'il continu ainsi. Elle, qui appréhendait cette confrontation, était maintenant rassuré. Il faut dire qu'ils sont assez différents. Ce qui n'est pas une mauvaise chose puisqu'ils s'entendent plutôt bien. « Je le sais. Aurais-tu peur qu'il m'arrive quelque chose ?  »  A cet instant précis, Ros se rend compte qu'elle ressent une certaine attirance pour le jeune homme. Les sept ans qui les séparent avaient toujours été un avantage à ses yeux. Il était plus mature que les garçons de son âge et il avait ce charme indescriptible. Elle se sentait différente à ses côtés.  « Tu sais, je ne suis plus une petite fille, je peux me défendre toute seule. (...) A moins que tu veuilles jouer mon garde du corps attitré.  » dit-elle d'un ton assurée et taquin sur les bords. Durmstrang est une vraie énigme. On ne sait jamais sur qui on va tomber. Ros avait une confiance aveugle envers l'école, mais elle savait aussi qu'il n'était pas prudent de se balader toute seule après le couvre feu. Simplement, si elle n'était pas sortie de sa chambre ce soir, elle aurait loupé l'occasion de tomber nez-à-nez avec Igor... Ce qui aurait été vraiment dommage. Il lâche son bras puis elle recule de quelques centimètres. La jeune femme commence a étouffé sous son manteau. La pièce en elle-même était bien plus réchauffée que le reste du château. Elle le retire puis le pose sur la table qui se trouve juste derrière eux. Ros se retrouve de nouveau face à Igor, mais cette fois-ci en robe de chambre.  Elle n'avait rien d'affriolante étant longue jusqu'aux genoux. Néanmoins elle était proche du corps et laissait apparaître ses formes généreuses. Une tenue plus féminine, mais pas vraiment présentable. Il s'agissait d'une tenue pour aller dormir et non d'une tenue de sortie. En y repensant, Ros se sentait un peu gênée. « Ta semaine a été bonne ? Je n'ai pas eu l'occasion de te croiser une seule fois. C'est dommage. Moi qui pensais que l'on avait passé une bonne soirée... » dit-elle avec une pointe d’amertume. Peut-être lui donnerait t-il une explication censée, peut-être était t-il très occupé au point de complètement l'oublier.
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