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❝ KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. ❞

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Kennedy L. Asbrow
PARCHEMINS : 27
PATRONUS : Libellule.
PARTICULARITE(S) : A été internée à Ste-Mangouste pendant sa sixième année parce que considérée comme « folle. »

Kennedy L. Asbrow


TON RAPPELTOUT
QUATRE CENT ANS AVANT:
RELATIONS:
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MessageSujet: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 2:03


Kennedy Lexine Asbrow
It is sometimes an appropriate response to reality to go insane.
Blue-Mary Dennel (1598-1619) ; Née à Pré-au-Lard ∆ Serdaigle jusqu’au plus profond de toi ∆ Tu t’es battue aux côtés de ton école lors de la guerre ∆ Bonne vivante, tous appréciaient ta joie de vivre, ton optimisme et ta simple présence ∆ D’apparence fragile, beaucoup semblaient vouloir t’offrir leur protection ∆ Parfaite, selon bien des gens ∆ Séquestrée et torturée par Silas Vern Diederick jusqu’à ta mort ∆ Ton nom a fini par être déformé dans les médias, et tu es rapidement devenue pour tous Bloody Mary. Un sinistre jeu de mot entre ton prénom et les atrocités que tu as dû subir ∆ Déjà appréciée de ton vivant, tu fus adorée et quasiment vénérée dans la mort. Un bon nombre de tes connaissances te mettaient sur un piédestal, persuadés de ta grandeur d’âme. Cette adoration que te portaient les sorciers au courant de  ton histoire rendait l’acte de Silas encore plus terrible, encore plus sanglant. Leur amour pour toi n’avait d’égal que leur haine du meurtrier.

Kennedy Lexine Asbrow (1991-…) ; Née à Londres  ∆ En septième année à Poufsouffle ∆ Cette année se passe relativement bien comparée à l’an passé : tu as été internée à Ste-Mangouste durant ta sixième année ∆ Apparemment, tu étais « folle », ce qui est un bien grand mot. Tout ce que tu sais, c’est que tu t’es mise à voir des images horribles, un homme torturant violemment une femme. Cette vision est tellement vive, tellement claire qu’elle te semble réelle. Revoyant toute la scène avec moult détails et précisions, tu n’as pas pu le supporter. ∆ Face à ces visions d’horreur, tu as peu à peu sombré. Tu n’es toujours pas consciente que ce ne sont pas que des visions, mais plutôt des souvenirs ∆ De retour à Poudlard, tu as dû réapprendre à vivre, littéralement ∆ Tout t’émerveille, te passionne. Tu découvres des sensations oubliées depuis si longtemps et le monde semble t’ouvrir ses bras. C’est tout à fait grisant pour toi. Seulement, personne ne semble comprendre ton émerveillement, tous te traitent de « naïve » et de « crédule ». Toi, tu préfères voir cela comme une foi illimitée en la bonté humaine et comme un optimisme débordant ∆ Malheureusement, que tu appelles cela de la naïveté ou de l’optimisme exacerbé, le fait est que tu fais beaucoup trop confiance aux autres, que tu es extrêmement honnête et que certains être malhonnêtes sont parfois tentés d’en abuser. Lorsque cela arrive, tu te sens trahie, blessée, déçue ∆ Dans ces cas-là, tu as de la misère à te contrôler. Ta magie prend le dessus et tu pourrais facilement blesser quelqu’un sans même l’avoir voulu, ce qui te rend plutôt dangereuse ∆ Comme il n’est pas dans ton intérêt de refaire des crises et que tu préférais que cela ne se sache pas pour t’éviter un aller simple à Sainte-Mangouste, tu fais croire à tout le monde que tu te portes beaucoup mieux. Tu ne veux pas attirer l’attention sur ton état ∆ Tu as réussis à te convaincre que tu t’améliorais  dans le contrôle de tes crises. Tu sais que tu ne serais pas capable de faire de mal à quiconque volontairement.
Tu sens son regard sur toi et tu ne peux pas t’empêcher de relever les yeux pour croiser les siens. Vous vous observez. Tu réussi à soutenir son regard quelques secondes, tout au plus. Tu sens tes joues se rosir, tes doigts se crispent sur le livre que tu tiens fermement contre toi. Tu baisses les yeux. Il y avait du sang partout. Tes dents se serrent, crissent sous la pression. Tu te lèves brusquement. Il te suit toujours des yeux. Elle veut crier, hurler, mais il étouffe tout son de sa main, la réduisant au silence. Ses yeux… Ses yeux ne sont plus qu’un abime de douleur, de peur, de terreur. De cris silencieux. D’appels à l’aide jamais prononcés. Tu chavires. Ton cœur bat la chamade. Tu perds l’équilibre, mais tu réussis à te rattraper in extremis à la table devant toi. Tu relèves lentement les yeux, cherchant la source de ton malaise. Il est là, à l’autre bout de la pièce, mais c’est comme s’il était tout proche. Le souffle te manque. Tu sens la magie affluer en toi, et, effarée, tu la repousses. Non ! Il se lève. Le bruit que fait son roman en se fermant résonne dans toute la pièce. Son assourdissant qui te fait recroqueviller sur toi-même. Il lui porte le coup fatal, et elle accueille la mort avec un soulagement perceptible. Dérangeant. Tu te rassois, le sang battant à tes tempes, consciente que tous t’observent aussi. Leurs murmures acerbes te parviennent avec un petit temps de retard. Folle. Ste-Mangouste. Complètement barge. Tes poings se serrent jusqu’à en faire blanchir tes jointures. Tu prends une grande inspiration pour te calmer. La tension redescend. Les gens se désintéressent de ton cas et tu recommences à respirer normalement. Tu ne peux néanmoins pas t’empêcher de faire le saut lorsque tu le remarques, à deux pas de toi, toujours en train de t’observer. Un malaise grandissant te prend au ventre, sans que tu saches pourquoi. Tu recules imperceptiblement, persuadée que s’éloigner de lui est la meilleure chose à faire. « Ça va ? » Tu relèves finalement les yeux, interdite. Tu restes silencieuse quelques instants, puis tu lâches, entre tes dents serrées : « Oui. Ça va. » Tu te lèves et tu t’en vas à grands pas, pressée de quitter ce lieu où une nouvelle catastrophe a failli se passer. Et c’est à ce moment-là que tu t’es dit : plus jamais. Plus jamais de crises, plus jamais de murmures dans ton dos. Tu allais être normale, à présent. Du moins, quand tu auras saisi la définition du mot.
comment se passe ta scolarité à poudlard ? Elle se passe bien. C’est difficile parce que je suis en septième année, donc normalement je devrais être habituée à Poudlard, à ses grandes salles, ses recoins, ses passages secrets, mais à cause de mon année passée à Ste-Mangouste, je dois tout recommencer. Je dois tout redécouvrir, tout réapprendre, tout revivre comme si c’était la première fois. Je suis restée tellement de temps en dehors du château que c’est comme si j’y mettais les pieds pour la première fois. Et quand je dis tout réapprendre, je veux dire avec les sorts, aussi. Les bases sont désormais revenues, heureusement, mais je reste plutôt maladroite avec le reste. Mais bon, on s’y fait. Et puis ce n’est pas si mal, dans le fond, de tout revoir. C’est comme revenir à un endroit particulièrement aimé, mais en vivant exactement les mêmes sensations que la première fois qu’on l’a vu. Émerveillement. Passion. Excitation. C’est fascinant. Alors oui, tout va bien. La plupart du temps. C’est mieux ainsi. ta famille ne te manque pas trop, t'as emmené des frères ou des sœurs avec toi ? Non, ma famille ne me manque pas trop. Poufsouffle, c’est ma nouvelle famille maintenant, du moins jusqu’au congé de Noël. Je leur envoie souvent des lettres, par contre, histoire de garder contact, et j’en reçois en retour. J’ai un petit frère, Stephen, mais il n’a que neuf ans et il n’est donc pas encore à Poudlard. C’est probablement mieux comme ça. Il viendrait sûrement m’embêter et me suivre partout. et les amis ça s'passe comment, t'as des faces de scrout à pétards que tu voudrais bien déglinguer ? Grâce à mon escapade de l’an passé, tout le monde me connaît. Ce qui peut être autant un atout qu’une faiblesse lorsqu’on se fait des amis. Les gens ont des préjugés, je le vois bien, mais cela pousse certains à venir me parler. Ou juste à me détester. Mais bon, l’important ce n’est pas d’être aimé par tout le monde, n’est-ce pas ? Tant qu’il y aura au moins une personne qui acceptera de me parler et de débattre sur la musique moldue et les univers parallèles, ça me va. allez, fais pas ton troll, je t'ai grillé(e), parle moi de l'élu(e) de ton coeur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien ? Eh bien ça va être court, comparé au reste : il n’y a pas d’élu de mon cœur. Et c’est parfait comme ça. Ce n’est probablement pas pour rien que la plupart des chansons parlent d’amour. Enfin, surtout de toutes les affreuses ruptures qui viennent après, ainsi que le malheur et le désespoir que ça amène. Alors non merci, je suis capable de fournir mon propre malheur sans aide extérieure. d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi ? Aucune idée. Si je l’ai déjà su, c’était avant d’être internée. Maintenant, je l’ai oublié. J’ai essayé de tout me rappeler des détails de ma vie avant mon, euh, problème, mais l’odeur de mon amortentia n’est pas apparu sur la liste de choses essentielles à réapprendre. t'es bon en quoi, t'es mauvais en quoi à l'école ? Très moyenne partout, à vrai dire. J’étais plutôt douée, avant. J’étais studieuse, j’adorais apprendre. J’adore toujours apprendre. Il y a tant de choses que j’ignore et tant de merveilles à découvrir et les cours sont une porte à tout ce savoir. Sauf que bon, j’ai redoublé une année parce que je l’avais passée dans un lit d’hôpital et étrangement, relire mes notes d’histoire de la magie n’était pas ma première préoccupation. J’ai réappris les sorts de base, mais je galère avec ceux qui sont un tantinet plus avancés. t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie ? Une chose à la fois. Si j’arrive à terminer ma septième année sans qu’une catastrophe survienne, je vais être vraiment heureuse. Ensuite… Ensuite, on verra. Ce que je sais, c’est que je ne remettrai plus jamais les pieds dans un hôpital, même si au départ la profession m’intéressait. J’ai trop de mauvais souvenirs pour retourner volontairement dans cet enfer à tous les jours pour aller travailler. L’essentiel c’est que je passe mes cours. Le futur, c’est encore loin. Il y a quand même 31 556 926 secondes dans une année. Ça doit probablement être assez pour découvrir ce que je veux faire de ma vie. hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde ? Ce que Kennedy a vécu l’an passé était terrible. En même temps, je dois avouer que je ne suis pas surprise que ce soit les premiers souvenirs dont elle se rappelle, même si j’aurais préféré qu’elle me voit rire en compagnie d’amis chers, qu’elle me voit heureuse. Ma fin… Ma fin était loin d’être agréable. J’aurais voulu lui éviter ça, lui éviter d’avoir à s’en rappeler. Je sais que son internement l’a changé, elle, mais aussi la vision que les autres ont d’elle. Sauf qu’elle est capable de traverser tout cela, j’en suis convaincue. Je veille de toute façon sur elle. L’important, c’est qu’elle se tienne loin de Silas. Elle a peut-être eu des images de ce qui m’est arrivé, mais elle n’est pas obligée de le vivre elle aussi. Elle ne mérite pas ça. Personne ne mérite une fin comme celle-là. Comme je me doute que Silas fera très probablement une bouchée du Serdaigle dans lequel il se cache pour l’instant, je me réjouis que la seule autre chose qu’elle ait retenue de moi soit un malaise insoutenable face à lui. Cela la tient loin de lui. C’est pour son bien. Sa présence semble réactiver mes souvenirs chez elle, et elle l’associe aux tourments qu’elle a vécus à cause de ces images atroces. A.V. est peut-être bien sympathique, mais je ne fais pas confiance à Silas et je ne veux pas que Kenny soit là lorsqu’il réussira à prendre le dessus. J’essaie de la protéger du mieux que je peux, même si ce n’est pas toujours évident. Lorsqu’elle a des émotions très fortes, donc souvent négatives, je suis capable de prendre le contrôle de notre magie pour la protéger. Les résultats ne sont pas toujours jolis et cela n’aide pas sa santé mentale, mais je ne peux pas m’empêcher de penser que c’est toujours mieux ça que de tomber dans les pattes de Silas, sans mauvais jeu de mots.
DERRIÈRE LE MIROIR MAGIQUE :


Dernière édition par Kennedy L. Asbrow le Mer 5 Mar - 4:10, édité 14 fois
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Kennedy L. Asbrow
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Kennedy L. Asbrow


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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 2:04


Past (1598-1619)
Life can only be understood backwards; but it must be lived forwards.


« Blue-Mary Dennel. Ne trouves-tu pas qu’elle a un nom parfait ? » Son mari regarde un instant leur enfant, qui lui renvoi étonnamment son regard avec un calme inhabituel. Puis, il se tourne vers sa femme et lui attrape délicatement le menton. « Elle a les yeux de sa mère. » La femme lui sourit en retour et dépose un baiser sur ses lèvres. Leur premier enfant. Une petite fille. Ses parents voyaient déjà l’avenir qu’elle pourrait peut-être avoir. Son sourire et ses gazouillements les enchantaient déjà et ils étaient convaincus qu’elle serait une grande beauté. Comme tout parent, bien sûr. Ils se voyaient heureux pendant de nombreuses années, avec peut-être un ou deux autres enfants. Peut-être plus. Blue-Mary serait l’aînée, la grande sœur, la référence, l’ancre de ses petits frères et petites sœurs futures. Monsieur et Madame Dennel en étaient persuadés en cette chaude journée d’été où leur première fille voyait le monde pour la première fois. Ils la voyaient grandir, commencer à marcher et à dire ses premiers mots. Pré-au-Lard était un petit village parfait pour élever un enfant, ils en étaient convaincus. Tous les deux sorciers, ils s’imaginaient déjà qu’elle aurait de grands pouvoirs et énormément de potentiel. Peut-être même aurait-elle un poste au ministère. Ils eurent toutes ces pensées, très vite, dans leur esprit. L’image d’une vie parfaite avec leur fille tout aussi parfaite. L’image même du bonheur. Une image fugace. Éphémère.

Cinq ans plus tard, Monsieur Dennel était emporté par la peste et, avec lui, tous leurs rêves d’une famille heureuse.

Tu n’as jamais vraiment connu ton père. Oh, tu as quelques souvenirs, mais tu sais qu’ils sont majoritairement fabriqués de toutes pièces à cause de ce que tu as entendu à son sujet et des photos que tu as pu trouver. Tu te souviens d’un rire, d’une caresse, d’un sourire. Ceux-là, ce sont les vrais souvenirs. Les dernières sensations qui te restent. Les cinq ans de ta vie où tu as eu un père qui se résume à un bruit, une sensation et une vision éphémère du bonheur. Ta mère n’en parle jamais. Elle s’est murée longtemps dans son silence, et au début, c’est ta grand-mère paternelle qui prenait soin de toi. Ta mère se lovait dans son lit et n’y sortait plus de la journée. Elle grognait lorsque tu tentais de venir la voir, elle se tournait lorsque tu secouais son épaule pour qu’elle vienne manger avec tes grands-parents et toi. Jeune, tu ne comprenais pas. Maintenant, tu ne peux pas dire que tu penses qu’elle a pris la bonne décision en te rejetant de sa vie pendant des années. Maintenant, tu peux simplement dire que tu comprends les raisons qui l’ont poussée à le faire, sans les approuver. Tu étais la dernière chose qui la rattachait à ton père, à son mari. Lorsqu’elle te voyait courir dans la maison, c’est lui aussi qu’elle voyait, quelque part en toi, que ce soit dans la façon dont ton nez se fronçait lorsque tu riais ou la manière dont tes sourcils se levaient lorsque tu étais suspicieuse. Tu ne lui as jamais entièrement pardonné sa lâcheté. Tu avais cinq ans. Tu avais perdu ton père autant qu’elle avait perdu son mari. Tu avais besoin d’une mère pour s’occuper de toi, pour te rendre tout l’amour que tu aurais voulu lui donner. En grandissant, ta grand-mère te raconta que Jack Dennel était l’amour de sa vie. Tes parents se connaissaient depuis qu’ils étaient enfants et étaient fait l’un pour l’autre. Les deux familles se connaissaient très bien et c’était autant un mariage arrangé qu’un mariage d’amour. Ta mère n’avait pas connu de vie sans ton père, et tu pouvais comprendre qu’elle avait de la difficulté à remplir le vide qu’il laissait.

Mais abandonner sa propre fille, le dernier legs de l’homme qu’elle a toujours aimé ? Cela, tu n’as jamais pu le comprendre, et c’est pourquoi tu as rapidement compris que si tu n’apprenais pas à t’occuper de toi-même, personne ne le ferait. Tu es donc rapidement devenue indépendante. Tu étais une excellente cuisinière et les marchands des alentours te connaissaient tous. C’était tes grands-parents qui te fournissaient l’argent nécessaire pour que tu puisses vivre convenablement, comme ta mère ne pouvait pas survenir à tes besoins et refusait de se trouver un nouveau mari, ce qui n’était pas très bien vu après autant de temps.

Vous étiez radicalement différentes. Plus tu t’épanouissais et plus elle se renfermait dans les profondeurs de votre maison. Plus tu voulais vivre, et plus la vie semblait quitter ses yeux ternes.

Alors, tu as vécu. À 14 ans, tu t’es retrouvée à Poudlard et tu as rencontré ta nouvelle famille, les Serdaigle, qui t’on accueilli les bras ouverts. Lentement mais sûrement, tu t’y es fait une place, tu t’es imposée tranquillement à la vie du château par ta bonne humeur, ta présence, tes idées, ton leadership. Tu étais partout. Tu participais à tout. Tu encourageais religieusement ton équipe de Quidditch dans les gradins. Tu félicitais toujours les joueurs personnellement. Tu lisais livre sur livre à la bibliothèque, mais tu étais toujours là pour aider ceux qui avaient plus de difficultés avec certaines notions, autant en histoire de la magie qu’en sortilèges. À chaque sourire et à chaque accolade, tu t’éloignais petit à petit du monde de solitude dans lequel ta mère s’était plongée. Tu lui envoyais toujours une lettre par mois, cependant, juste pour savoir comment elle allait et lui dire que tu te portais à merveille. Tu ne recevais jamais de réponses d’elle. La plupart du temps, c’était ta grand-mère qui t’écrivait pour te dire que ta mère avait fait une rechute, ou qu’elle allait un peu mieux, qu’il y avait de la lumière au bout du tunnel. Cela te déprimait ou te rassurait, selon la nouvelle, mais tu ne laissais jamais rien paraître. Personne à l’école n’était au courant de ta situation familiale. Tu n’en parlais jamais, et tu t’arrangeais toujours pour détourner la conversation lorsque le sujet était subtilement amené. De toute façon, ta présence, tes histoires et tes anecdotes faisaient de toi une personne complète et appréciée, et personne ne ressentait le besoin d’entendre parler de ta famille. Ce qui était probablement mieux ainsi. Cela briserait l’image qu’ils se faisaient de toi, la personne que tu étais en dehors de la maison familiale : une fille joviale, loyale et bonne vivante.

Mais en dehors de la personne que tu étais au château, en dehors de ta vie personnelle, il se passait tellement de choses à l’extérieur, dans le monde politique. Intéressée par ce qu’il se passait dans le monde des sorciers, tu as suivi les négociations entre Durmstrang et Poudlard avec beaucoup d’intérêt. Tu espérais, comme tout le monde, que ces tensions s’arrêteraient là, et que la paix durerait. Tu le souhaitais, du plus profond de ton âme, et tu espérais un peu naïvement que tu aurais raison. Pourtant, en 1613, l’impensable arriva : Beauxbâtons fut mise à feu et à sang, tuant de nombreux innocents dans le processus. Et ce fut la guerre. Ce fut la guerre pendant de nombreuses années, et tu t’es battue aux côtés de ton école, bravement, comme tu le pouvais et au mieux de tes capacités. Tu tentais de redonner espoir à tes compatriotes, que ce soit par tes mots ou par ta simple présence. Tu essayais d’aider, autant qu’une jeune adolescente puisse le faire.

Mais, au-delà de la guerre, vous n’étiez que des enfants, au fond. Des enfants qui avaient été obligés de grandir à une vitesse hallucinante et qui ne rêvaient que de revenir à la normale. Alors, malgré les avertissements, malgré les dangers qui rôdaient, tu as décidé de te rendre quand même à ton arbre préféré dans la Forêt Interdite pour y lire un roman à l’eau de rose. Simplement pour oublier la guerre pendant quelques heures, pour être seule pendant quelques temps. Toi qui te précipitais toujours pour aider quiconque dans le besoin, tu avais besoin d’un peu de temps pour toi, pour te permettre de récupérer et pour souffler un peu. Tu refusais de croire que ton quotidien était changé à jamais, et c’est pour cette raison que tu t’es rendue, seule, dans la Forêt Interdite ce jour-là, pour te prouver à toi-même et aux autres que malgré tout ce qu’il se passait, vous ne devriez pas renoncer à vos petits bonheurs quotidiens.

Sauf que tu n’as jamais pu retourner au château pour le dire aux autres.

Tu lisais, riant ici et là à cause des répliques bien senties du personnage féminin de ton roman. C’était une magnifique journée. Le soleil était haut dans le ciel et l’arbre sous lequel tu t’abritais te procurait assez d’ombre pour que tu sois tout à fait confortable. Trop, à vrai dire. Tellement absorbée par ton livre et convaincue qu’il ne t’arriverait rien – personne ne venait jamais par ici, de toute façon – tu ne regardais pas autour de toi. Ce n’était pas nécessaire. Tu étais persuadée que tu avais l’ouïe fine et que tu entendrais qui que ce soit qui tenterait de s’approcher de toi. Ta baguette à portée de main, tu pensais que tu étais inatteignable. Tu avais d’excellents réflexes qui te protégeraient quoi qu’il arrive.

Mais pas cette fois-là.

Tout s’est passé tellement vite. Il est arrivé derrière toi si silencieusement qu’aucune feuille n’a craqué, que la nature n’a pas révélé sa présence. Tu n’as même pas eu le temps de crier. Tu n’as pas eu le temps d’appeler à l’aide. Il t’a assommé de derrière, d’une façon ou d’une autre. Tes yeux se sont révulsés et tu es tombée sur le sol, inconsciente.

C’est la dernière fois que tu as vu la lumière du jour.

C’est la dernière fois où tu t’es sentie en sécurité, heureuse, bien.

C’est la dernière fois où tu t’es sentie aimée et respectée.

Humaine.

Parce qu’à partir de ce moment-là, les derniers jours de ton existence n’ont été que douleur, hurlements réprimés et souffrance abominable. Tu aurais voulu dire qu’il n’avait pas réussi à te briser, mais à quelque part, c’était faux. Ta conviction avait fléchie, tout ton optimiste aussi, dans tes derniers instants, tu n’aspirais qu’à mourir. Tu ne voulais qu’il te laisse partir, enfin, pour que tu puisses arrêter d’avoir aussi mal.

C’est avec regret que nous annonçons le décès de notre bien aimée Blue-Mary Dennel, mieux connue sous le nom de Bloody Mary. C’était une jeune femme extraordinaire, […]

Les articles sur la dénommée Bloody Mary fusèrent de partout. Tout d’abord lors de sa disparition, et ensuite sur les détails de sa séquestration et de sa mort. Des détails sordides, sanglants, violents. Des détails effrayants. Un nombre de plus en plus grand de sorciers apprenaient l’histoire et en voulait à Silas d’avoir osé mutiler Blue-Mary, leur perle, leur bijou. Autant était-elle élevée au rang de sainte que Silas était descendu, devenu la pire racaille possible et l’ennemi numéro un. Sauf qu’ils pouvaient bien le rechercher, ils pouvaient bien l’attraper et ils pouvaient bien lui faire payer, Silas avait quand même réussi à s’insinuer sous leur peau, à s’insinuer dans leurs têtes. Ils étaient atteignables. Personne n’était en sécurité. Et cette simple pensée, cette simple idée pouvait vous consumer. Et ils pouvaient bien brûler Silas tant qu’ils voudraient, cette idée, elle, continuerait d’exister.


Dernière édition par Kennedy L. Asbrow le Mer 5 Mar - 21:35, édité 14 fois
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Kennedy L. Asbrow
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Kennedy L. Asbrow


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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 2:04


Present (1991-...)
Whether it is the best of times or the worst of times, it is the only time we have.


Au début, tout allait à merveille. Enfant unique, tu étais choyée par tes parents qui t’adoraient. Tu as été élevée dans l’amour, le partage et le respect. Mordue des livres, tu en lisais un moins un par semaine, et tes parents se forçaient toujours pour t’en trouver un nouveau à te mettre sous la dent. Et, lorsque l’argent manquait un peu, ton père s’asseyait avec toi et te racontait des anecdotes de son enfance ou des épopées majestueuses dont les héros sortaient tout droit de son imagination. Tu t’endormais la tête pleine de la magie des mots, bercée par le son de sa voix et par les images que ses descriptions suscitaient chez toi. Ton conte de fée personnel se réalisa lorsque tu reçus la fameuse lettre t’invitant à Poudlard, à 14 ans. Tu fus répartie à Poufsouffle sans aucune hésitation, ce qui allait très bien avec ta personnalité. Tu t’y fis d’excellents amis et tu y appris autant sur le plan scolaire que personnel. Normalement, cela aurait dû continuer ainsi.

Normalement.

C’était au début de ta sixième année. C’était une journée comme les autres, avec son lot quotidien de bonheur et de frustration extrême. Tu retournais à ta salle commune d’un pas rapide, les bras chargés de parchemins et de livres divers. Tu avais deux devoirs importants à remettre pour le lendemain et tu étais beaucoup moins avancée dans ces derniers que tu aurais dû. Sauf que tu ne t’es jamais rendue à ta salle commune. Tu n’aurais su dire si c’était l’accumulation de la fatigue et de la frustration de la semaine ou du très innocent bonsoir que tu as reçu d’un certain préfet de Serdaigle passant par-là, mais le résultat est le même. Quelques pas plus loin, quelques secondes plus tard, tu n’arrivais plus à avancer. Tu t’es figée, le regard vague et flou avec un brin de folie. Tous tes livres sont tombés, tes précieux parchemins se sont éparpillés autour de toi. Puis les images ont afflué. Des cris étouffés, des larmes, et du sang. Partout. Et des yeux bleus, d’un bleu froid, cruel, dérangeant. Fous. Il y avait une femme, aussi une magnifique femme avec une longue chevelure blonde en cascade autour de sa tête, comme une auréole. Son visage était crispé de douleur et elle pleurait. Tout son corps tremblait, secoué de spasmes silencieux. Mais elle gardait la bouche résolument close, s’interdisant d’émettre le moindre son. Tu t’es retrouvée à genoux sur le sol, à gémir en tenant ta tête entre tes mains. Tu voulais que ces images cessent. Qu’elles disparaissent. Il y avait trop de sang, trop de douleur, trop d’horreur pour que tu regardes la scène sans te sentir atrocement mal. Tu ressentais la douleur de la jeune femme, son désespoir et son obstination. Tu ressentais sa peur dans chaque cellule de ton corps et sa souffrance, oh, sa souffrance. À présent couchée au milieu de tes parchemins, tu te tordais sur le sol en hurlant. Il fallait que ça s’arrête. Il fallait que tout s’arrête. Alors que tes cris alertaient les étudiants qui passaient dans ce coin de l’école à cette heure-ci, tu t’es rapidement retrouvée avec des spectateurs. Ils te regardaient tous, interdits, jusqu’à ce que tu n’en puisses plus. Jusqu’à ce que toute la douleur et toute la frustration accumulée chez toi explose. Littéralement. Ta magie prenait le contrôle de toi et tu ne savais pas quoi faire pour l’en arrêter. Ta puissance enflait, enflait sans que tu ne puisses rien y faire et le tout fit des catastrophes autour de toi, jusqu’à ce que tu retombes inerte, sur le sol.

Les jours qui ont suivi cet incident sont plutôt flous à tes yeux. Tu n’étais plus l’ombre de toi-même, refusant d’aller à tes cours, refusant jusqu’à te lever. Tu fixais le plafond, tu étais agressive avec quiconque tentait de s’approcher de toi. Parfois, les affreuses images revenaient. Lorsque c’était le cas, tu étais incontrôlable. Tu ressortais toujours de tes crises exténuée, vidée de toute énergie. Vulnérable. Tellement vulnérable. Tes parents ont été appelés et, avec la direction, ils ont décidé de t’interner. Tu sais pertinemment que c’était la bonne décision. Ces images, ces hallucinations, ces illusions, appelez-les comme vous le voudrez, elles étaient imprévisibles et leur effet sur ton comportement était dévastateur. À Ste-Mangouste, tu fus droguée, tu suivis des thérapies, et ce fut l’horreur. Poudlard te manquait. Ta vie te manquait. Tu vivais constamment dans l’attente, dans la peur de revoir cette femme mutilée par un homme horrible aux yeux bleus effrayants. Tes parents venaient te visiter lorsqu’ils le pouvaient. C’était gentil, mais cela ne changeait rien à la situation. Tu étais folle. Tu l’entendais murmuré, chuchoté, articulé, mais jamais dit à haute voix. Folle. Voilà désormais ton étiquette, cella avec laquelle tu devrais vivre toute ta vie.

À Ste-Mangouste, ils ont passé tellement de temps à te faire oublier tes hallucinations, disaient-ils, que tu as fini par en oublier le monde. Et toi-même.

De retour à Poudlard, tu as dû reprendre ta sixième année et tout réapprendre. D’une élève plutôt douée, tu es devenue plutôt médiocre, ayant oublié tous les sorts, même ceux de base. Tu es devenue maladroite avec la baguette que tu maniais pourtant si bien un an auparavant. L’histoire ne fait plus autant de sens qu’elle en faisait et tu réussis toujours à mélanger ce qu’il ne faut pas en potions. Pourtant, cela n’affecte pas ton optimisme. Tu vois le monde sous un jour nouveau. Tu le redécouvres, en fait, avec toutes ses surprises. Tu es capable de discuter pendant dix minutes de la beauté d’une fleur, alors que tu es la seule à la remarquer, la seule à qui cela fait quelque chose. Tu t’excites à rien, on te le dit souvent, mais cela ne t’empêche pas te sauter à pied joints voir de taper des mains lorsqu’on te présente une activité passionnante. Tu fais confiance à tout le monde, et tu crois tout ce que l’on te dit, parce que tu penses que le monde doit être bien sombre et solitaire si on se renferme sur soi-même sans écouter les autres. Ta crédulité et ta naïveté en fond rire plus d’un, mais qu’à cela ne tienne, cela n’ébranle pas ton optimisme sans limite.

Ou presque.

Tu oublies souvent que certaines personnes sont malhonnêtes et pourraient potentiellement te tromper par pur plaisir de voir ta mine déconfite. Tu ne le comprends pas et ne voit certainement pas en quoi cela pourrait avoir un quelconque intérêt, mais le fait est là. Certains abusent de toi. D’autres rient de tes manières. Cela te blesse, te touche, et tu n’y peux rien. Sauf que quand tu te sens trahie et blessée, tu deviens dangereuse. Tu réagis très mal aux déceptions, qui peuplent malheureusement ton quotidien. Ta magie est très instable et prend rapidement le dessus. Tu as beau être naïve, tu n’es pas stupide, et tu sais bien que si tu n’arrives pas à te contrôler, tu retourneras à Ste-Mangouste. Alors, tu fais comme si tout va mieux. Cela marche la plupart du temps, sauf quand tu te retrouves face à face avec A.V.

Il te fait peur, il t’effraie, et tu ignores totalement pourquoi. Tout ton corps se crispe lorsqu’il entre dans ton champ de vision, et tu as l’irrépressible envie de partir en courant. Tu as l’impression qu’il cache quelque chose – pourquoi sinon serais-tu prise de panique en le voyant, puisqu’il a toujours été gentil avec toi ? C’est lui qui met le plus en péril ton précaire contrôle de ta magie. Si tu parviens à la contrôler avec une relative efficacité la plupart du temps, dès qu’il est à proximité, ta magie s’affole, et toi avec. Si tu retournes à Ste-Mangouste, ce serait définitivement de sa faute. Lorsqu’il passe près de toi, tu as parfois quelques flashs plus ou moins intenses dépendant de ton habilité à te contrôler des images qui t’ont fait sombrer en sixième année. Et cela t’effraie à un point inimaginable. Alors, tu le fuis, tu restes le plus loin possible de lui et tu espères qu’il ne viendra pas te poser des questions, parce que tu ignores comment tu feras pour oublier ton envie grandissante de le fuir pendant une conversation entière.


Dernière édition par Kennedy L. Asbrow le Mer 5 Mar - 4:07, édité 5 fois
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PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.

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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 2:34

Bienvenue ici ma belle.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3472734492 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3472734492 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3472734492 
Merci d'avoir pris un scénario, tu fais un grand heureux. KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3265981769
Pour ma part je dirais Clémence, je l'aime bien cette petite.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123 
Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à demander au staff, nous sommes là pour toi, de jour comme de nuit.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 2663297705 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 2663297705 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 2663297705 
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 6:55

je dirai clémence aussi  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3472734492 bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 388342071 
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 8:25

Bienvenue ici  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 822517570 Persos, je vote pour Clémence aussi  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 388342071 
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A.V. Diederick
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 9:55

Moi je vote pas ! KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210
Mais un gros bienvenuuuuuue KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123
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Jagger D. Young
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AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas.
PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant.
PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.

Jagger D. Young
VIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE


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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 10:33

CLEMEEENCE  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3472734492 c'est mon vote KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 295353607
bienvenue ici et super choix de scénario  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123 bon courage pour ta fiche et si tu as la moindre question, on est tous là  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325
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Duncan M. O'Griffin
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AMORTENTIA : il n'a jamais réellement fréquenté qui que ce soit.
PATRONUS : un lynx boréal
PARTICULARITE(S) : il est a demi-naïade, peu de personnes sont au courant si ce n'est personne du tout.

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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 10:42

Clemence pour ma part également, elle est superbe cette demoiselle  crazy in love 
Superbe choix de scénario, bonne chance pour ta fiche, j'ai hâte d'en lire d'avantage ;)
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Kennedy L. Asbrow
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PATRONUS : Libellule.
PARTICULARITE(S) : A été internée à Ste-Mangouste pendant sa sixième année parce que considérée comme « folle. »

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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 12:48

    Clemence it is dans ce cas  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123

    Merci  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3265981769  
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Peah Y. Greyjoy
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyVen 28 Fév - 19:03

Clémence convient parfaitement, ouaip KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 295353607. Bienvenue jeune fille KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1626129382
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Kennedy L. Asbrow
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyMer 5 Mar - 4:12

    Merci ma belle  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 388342071 

    J'ai (enfin *pan*) terminé ma fiche  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3265981769 
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A.V. Diederick
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyMer 5 Mar - 21:15

MA KEKE KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325 Alors j'ai fini les deux premiers posts de ta fiche mais je m'arrête là pour le moment (je poste ce message et poursuivrais ensuite, rassure-toi KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210 ) car il y a déjà un soucis de cohérence... qui est de ma faute.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3770838751 Tu m'as dit ne pas avoir lu ma fiche et j'aurais du te prévenir : Silas était déjà sorti de Durmstrang quand il a agressé Blue. Du coup le passage de la bibliothèque, bien que superbement écrit, ne peut pas être juste KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210 Ca m'ennuie car j'aurais bien aimé tortiller l'histoire comme quoi Silas serait parvenu à percer les défenses de l'Ecole mais, justement, c'est impossible.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1276036350 
Je t'explique : Silas a passé des années à tuer et torturer dans Pré-au-Lard et ses environs, pour le compte de Durmstrang (et surtout pour le sien) afin que ni les villageois ni Poudlard ne se sente en sécurité dans la région. Ca a extrêmement bien fonctionné (à tel point qu'une statue à Pré-au-Lard commémore la mémoire de ses victimes KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210 cf. intrigue 1) mais du coup Poudlard était extrêmement bien protégé, limite reclus sur elle-même... Donc pas possible pour Silas de pénétrer l'enceinte du Château KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210
Du coup Silas devra capturer Blue soit dans la Forêt Interdite, soit à Pré-au-Lard ou ses environs : comme tu veux. Je te laisse corriger ça pendant que je continue la lecture KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325
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Kennedy L. Asbrow
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyMer 5 Mar - 21:36

    C'est ma faute aussi hein : j'aurais dû me donner un coup de pied et lire ta fiche ainsi que toutes les annexes. Et je vais le faire KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 295353607

    C'est moins bon *pan* mais c'est corrigé  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3265981769 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1626129382 
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A.V. Diederick
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyMer 5 Mar - 21:46

Ma KEKE KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325 Déjà je suis content parce que tu as l'air d'être un nocturne comme moi  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 295353607 Et puis t'es réactive, etc... Maintenant je ne te cache pas que j'ai généralement du mal avec les gens qui écrives en disant "tu" pour parler de leur personnage. Comme avec ceux qui utilisent la première personne KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210 Pourtant avec toi ça ne m'a dérangé. KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325 Ensuite j'ai été un peu déçu de ne pas avoir plus d'actions. J'entend par là que ta fiche n'est composée que de descriptions et ça me chatouille un peu KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210 J'aurais adoré lire Kennedy rêver, s’extasier devant une fleur, etc...  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1303162559 En fait, ce dont j'ai hâte, au final, c'est de lire tes RP et de voir Kennedy évoluer avec nous KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325 Du coup je te valide sans hésitation car hormis ces quelques regrets je n'ai rien à dire. Tu écris bien, y a de la fluidité dans tes propos, une ligne conductrice fine (eh oui la fiche n'est pas immense non plus KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3755973210 ) mais suffisamment tenue pour qu'on voit que tu sais dans quelle direction te diriger. Et puis, même si le personnage n'est pas extrêmement développé, j'arrive à voir que tu peux le manier d'une façon intéressante. J'appuie juste bien sur le fait qu'il va me falloir du rêve, de la poésie et de la foliiiie KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123 Hâte de jouer avec toi ma Kéké KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3183081360 En attendant je te laisse caresser l'image d'en-dessous avec ta souris  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 4148890816  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1276036350 
bienvenue
Félicitations, petit padawan, tu es officiellement validé ! Toute ta laïfe, t'as attendu que cet instant pas vrai ?  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 4049476019 Bref, tu fais officiellement partie de la grande famille qu'est Amortentia et on est ravis de te compter parmi nous ! Toutefois, ton inscription (et ton intégration) ne sera que plus complète en faisant les deux-trois trucs obligatoires qui suivent la validation. Pas de soucis, ça dure cinq minutes et après, t'es lâché dans la jungle, bby.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3472734492 
Tout d'abord, il te faudra remplir les registres afin de permettre au staff de savoir qui tu es et ce que tu fais (big brother is watching you.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1023119899 ). N'hésite pas à aller vérifier ça et là si l'équipe administrative a bien fait son job ! Tu peux ensuite aller demander ton rang puis t'es free, bby, il te manque plus que des liens, éventuellement un scénario et des rps ! Entre deux rédactions, n'hésite pas à venir flooder et jouer avec nous ! Et si jamais tu dois partir, passe par les absents, tu serais un amour !
Bref, bienvenue, félicitations, on t'aime, merci.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1467679211 
FICHE PAR LOKIDDLES
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Kennedy L. Asbrow


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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyMer 5 Mar - 21:58

    Promis dans mon prochain RP je m'extasie sur le ciel, les nuages, fleurs et la douceur de l'herbe pendant 300 mots.  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123 KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 388342071 
    Merci mon ptit chou d'amour, mais sache que pour la vie nocturne je n'ai aucun mérite, je suis Québécoise  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 3952669950 Donc je serai toujours réveillée pour t'occuper lors de tes insomnies  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 4148890816 

    Merci et je vais t'harceler pour un rp bientôt  KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 388342071 
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MessageSujet: Re: KENNEDY + you are not alone, dear loneliness.   KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. EmptyMer 5 Mar - 22:06

PARFAIT ALORS ! KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 981630123
J'en étais sûr pour le Québec. Décidément vous êtes parfaits ! KENNEDY + you are not alone, dear loneliness. 1122333325
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