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❝ NJ. ❅ « The snow queen. » ❞

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Nevealyss-Jayne Weiss
PARCHEMINS : 77
AMORTENTIA : Un rossignol au coeur de glace.
PATRONUS : Un Cobra Royal.
PARTICULARITE(S) : Fourchelangue.

Nevealyss-Jayne Weiss
FRANKLY MY DEAR, I DON'T GIVE A DAMN.


TON RAPPELTOUT
QUATRE CENT ANS AVANT:
RELATIONS:
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MessageSujet: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptyVen 20 Déc - 19:42


Nevealyss-Jayne Clelia Weiss
The snake's fangs have the memory of blood.
Sang-pur ❅ Assassinée par son père après son mariage ❅ était une jeune femme vive et talentueuse, mais surtout une fourchelangue redoutable ❅ douce et tendre avec les siens, elle devenait véritablement dangereuse dés lors qu’une menace approchait ❅ la baguette n’était pas son arme privilégiée, elle y préférait les serpents les plus venimeux ❅ elle souffrait en vérité d’une manifestation de sa magie trop instinctive, le bout de bois n’était pour elle qu’une contrainte ❅ s’est placée du côté de Durmstrang très tôt, y ayant fait ses études ❅ son véritable rôle reste flou, on dit qu’elle fut réclamée par les Zephyros de l’eau mais rien n’est moins sûr puisqu’elle fut oubliée des historiens ❅ elle n’a agit pour leur compte qu’une seule fois, via ses serpents ❅ a disparu au début de l’année 1620, sans explications ❅ fut en réalité mise à l’abri par son époux ❅ ne fut jamais condamnée pour ses actes, décédée avant que la justice ne soit de mise ❅ aucun enfant ne naquit de son union trop courte ❅ son frère aîné fut exécuté durant la Purge ❅ son frère cadet, lui, échappa aux représailles, on conclut qu’il avait vécu la guerre sous contrainte ❅ est aujourd’hui reléguée au rang de racontars de bonnes femmes cherchant un conte bien glauque à transmettre à leurs enfants pour leur apprendre à se tenir à carreaux ❅ On ne retient que le nom de Rosenthal, omettant qu’elle était une Weiss ❅ fut enterrée sur l’île de Edgeøya, pigée dans la glace ❅ son corps ne fut pourtant pas retrouvé, gardé en lieu sûr par sa belle-famille ❅ Athalie Rosenthal fut ainsi portée disparue, accusée de traîtrise un temps, déclarée morte quelques années plus tard avant que l’histoire des amants maudits ne fasse son apparition.

18 ans ❅ Fourchelangue ❅ Yeux vairons : bleu à droite, vert à gauche ❅ Sang-pur ❅ Serpentard ❅ on la dit mal répartie ❅ réfugiée dans les études intensives pour oublier sa situation ❅ est réputée intolérante ❅ on dit qu’insensible comme elle est, elle ne peut avoir que des moeurs légères ❅ elle cache son don ❅ on la pense aussi riche que l’est sa famille ❅ est en réalité privée du confort des richesse temps qu’un mariage convenable ne sera pas arrangé (on est un peu arriéré, chez les Weiss) ❅ a un frère aîné et une demi-soeur - le pense, du moins ❅ ignore qu’elle est en fait la fille de celui qu’elle connaît comme étant son oncle ❅ a été formatée pour être forte, froide et combative ❅ est toutefois demeurée fragile malgré les apparences ❅ cache une cicatrice sur le bord de l’omoplate gauche sous un tatouage élégant, fin : un lys ensanglanté auquel est enroulé un cobra royal (lui-même dissimulé sous un sortilège ne laissant apparaître qu’une peau parfaitement normale) ❅ s’isole régulièrement ❅ n’est pas vraiment la fille la plus agréable de Poudlard ❅ n’est souvent vue par les hommes que comme un défi à relever ❅ se laisse souvent submergée par les voix des serpents qui la poussent à l’hystérie (ce qui n’est connu d’aucun camarade) ❅ est allergique à la citrouille ❅ a un sens de la morale très … personnel ❅ voue un culte aux livres ❅ considère que savoir, c’est pouvoir ❅ a hérité de son père biologique ses méninges aiguisées.
ATHALIE ALOYSIA ROSENTHAL ❅ Née Weiss. Elle est le cobra sacrifié de sa lignée, l’héritière vive et mordante dont le visage d’ange fut aussi trompeur que sa langue de serpent. Fourchelangue revendiquée, elle fut éduquée dans la parfaite tradition des siens : la recherche du pouvoir, la froideur des coeurs norvégiens et l’élégance d’une rose épineuse. De sa mémoire il ne reste pas grand chose, à peine un portrait usé par les années. On se souvient d’une demoiselle aux airs d’ange, les mains souillées du sang des ennemis. On se souvient de ses yeux verts mais rarement de son nom. On se souvient d’une tragédie, d’un mariage soldé par l’agonie. Elle succomba en 1620, sur l’île norvégienne de Spitsberg, quelques semaines à peine après une union à la va-vite et une fuite inattendue. Certains n’évoquent cette histoire que comme une légende du nord, une mise en garde pour les jeunes filles un peu trop intrépides, un vieux conte dont l’auteur se serait perdu dans les méandres de l’histoire. Son dernier souffle sous le regard impuissant de l’aimé fut pourtant bien réel et scella la haine indéfectible entre les Rosenthal & les Weiss.

NJ. CLELIA WEISS ❅ Originaires des froides contrées norvégiennes, les Weiss ont migré sur l’île d’Anglesey, au Pays de Galles, après la Guerre. La lignée a perduré bien que le don les associant à l’histoire se soit perdu au fil du temps. Peu de membres ont désormais le privilège magique de naître Fourchelangue, ainsi la tradition familiale veut que tout sorcier révélant ce talent, quelle que soit sa place dans une fratrie, soit automatiquement désigné comme successeur au chef de famille le précédant. Nevealyss, 18 ans, considère ce talent comme un fardeau qui lui a coûté l’amour et ne lui a offert que la violence. Frêle enfant, elle a passé son enfance sous les coups, dénigrée par celui qu’elle pense encore aujourd’hui être son père. Ce passé l’a marquée jusqu’au plus profond de son être puisqu’elle a peu à peu oublié ce que voulait dire « ressentir ». Incapable d’empathie la plupart du temps, NJ fait preuve d’une indifférence notable à la plupart des émotions qui régissent l’humanité cependant, lorsque ses défenses s’effondrent, lorsque son esprit cherche une porte de sortie vers la normalité, elle se retrouve à éprouver chaque sensation avec une violence extrême. Elle est la fille qui ne ressent rien et la fille qui ressent trop à la fois.
comment se passe ta scolarité à poudlard ? « Bien. Parfaitement bien. Je passe mon temps à cacher ce que je suis, à me dissimuler derrière des apparences, mais sinon, je n’ai pas à me plaindre. Mes professeurs n’ont pas grand chose à me reprocher, à part en divination - matière qui selon moi ne vaut pas un clou - et en Vol sur balais, parce que je déteste cette pratique. Rien ne vaut un cheval ailé. Ceci dit je n’en ai jamais approché un. J’évite tout ce qui concerne les animaux, je refuse de trahir mon héritage en me dévoilant trop proche des instincts de la nature. Mon frère se fait passer pour le détenteur du don, je ne voudrais pas gâcher ses efforts pour se faire mousser. La solitude et l’ombre me vont mieux au teint que le feu des projecteurs. Notre talent est mal vu par la communauté magique, quoi qu’il en soit ; déjà qu’on me surnomme Reine des Neiges, je n’ai pas envie de passer pour une espèce de folle adepte des magies noires. Je le suis, certes, mais je ne le revendique pas. J’aime apprendre. Je crois qu’il n’y a pas de limites à la connaissance que l’on peut acquérir. Mon oncle est un chercheur renommé et j’espère un jour l’égaler. »   ta famille ne te manque pas trop, t'as emmené des frères ou des sœurs avec toi ? « Me manquer ? » rire amer. « Ma famille n’est faite que de monstres violents et ingrats. Si je ne me plains jamais auprès de quiconque d’avoir été battue plus d’une fois, je ne le pardonnerais pas pour autant à mon père. Il ne mérite pas plus de vivre que ces meurtriers sadiques qui courent les rues moldues. Il ne mérite même pas le prestige de notre sang pur tant tout son être est souillé de bêtise et de brutalité. Je n’ai que du mépris pour les hommes de ce que vous appelez « famille », mon frère ayant regardé sans broncher les traitements que l’on m’a infligé, ma mère n’ayant jamais réagit à tout cela, comme si elle cautionnait. Je me sens presque plus proche de ma demi-soeur, l’ignorée, la dénigrée. Elle a vécu sous les critiques constantes. On n’a rien. Pourquoi ? J’ignore ce qui me vaut cette haine, j’ignore ce qu’il me reproche à part ma faiblesse face à lui, face aux serpents ; à elle, on souffle la bâtardise, l’illégitimité. Elle fut conçue dans l’espoir qu’elle puisse porter le don puisque je ne semblais pas prédisposée à l’obtenir. Je l’ai déclenché très tard - à 11 ans - elle ne l’a jamais manifesté. Nous sommes toutes deux des souillures à notre manière. Ne me parlez donc pas de manque. Je n’en connais pas la signification. Nous ne sommes plus que trois Weiss à Poudlard, sans compter mon oncle, et c'est bien assez. » et les amis ça s'passe comment, t'as des faces de scrout à pétards que tu voudrais bien déglinguer ? « On ne me connaît que peu d’amis. Je suis de glace, vous vous souvenez ? Exception faite de Castiel Rosenthal et de sa bande, je n’ai qu’un entourage restreint. Des amis, des ennemis ; pour cela, il faudrait que je ne contrarie pas mes camarades par une franchise exacerbée, un sarcasme trop présent et un détachement dérangeant. Je n’aime pas me dévoiler. Je déteste m’ouvrir aux autres. J’ai conscience du fait qu’on raconte pas mal de rumeurs sur moi, je choisis simplement de les ignorer. Qu’est-ce que ça peut faire, qu’ils pensent que je choisis des amants auxquels je fais jurer le silence ? Est-ce que passer pour une poupée briseuse de paix devrait m’atteindre ? Je n’ai eu qu’un homme dans mon lit, c’est plus que récent et je n’ai pas prévu d’en faire une affaire pour le Chouette Hibou. Il y a quelque chose de pratique dans le fait de rester un insaisissable courant d’air glacé. » allez, fais pas ton troll, je t'ai grillé(e), parle moi de l'élu(e) de ton coeur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien ? « Je n’ai pas de coeur, comment pourrais-je avoir un élu ? » Courte pause. « Bien. Mais je vous efface la mémoire après, vous l’aurez cherché. Castiel est l’être qui compte le plus dans ma vie. Il a été mon seul ami, dans des soirées sans se parler, dans ces instants où je me sentais seule sans l’avouer. Je lui ai menti malgré moi, toutes ces années. Il pensait que j’étais une habituée des amours passagères, comme lui. Il doit s’en vouloir. Il doit m’en vouloir. L’étreinte violente n’aurait pas été sa volonté, s’il avait su… nous n’étions pas dans un état normal, quoi qu’on veuille bien en dire. J’avais juré de ne pas lui donner de faux espoirs. Qu’il ne me voit pas, qu’il ne s’intéresse qu’aux beautés accessibles et feu follets m’arrangeait. J’ignore ce qu’il va advenir de notre amitié. Pour le moment, je me contente de le fuir. C’est lâche, je sais, mais face à lui mes barrières de givre fondent comme neige au soleil. » d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi ? « Une fragrance citronnée sur fond de vieux parchemin. Il y a son indéfinissable odeur, aussi ; unique, je la reconnaitrais entre toutes, mais c’est un secret. » t'es bon en quoi, t'es mauvais en quoi à l'école ? « Les potions, la botanique, tout ce qui implique les arts mystérieux des mélanges les plus toxiques. J’éprouve une grande difficulté aux magies positives, métamorphoses et divination ne me mènent à rien. Ne parlons même pas de mon état sur un balai, c’en est pitoyable. Je ne brille pas en Soins aux Créatures Magiques, par choix - si j’assumais mon don, ce serait plus simple, avouons-le. J’ai une prédisposition pour les poisons, les maléfices. Ma magie s’avère cependant capricieuse, ces derniers temps. C’est comme si le contrôle permanent de mes sentiments n’était plus aussi compatible avec mes techniques qu’auparavant. Je suis précise, assidue, persévérante, voire butée. Si je ne parviens pas aux résultats désirés, je me sens frustrée et je peux y passer mes nuits. Je ne supporte pas l’échec, c’est viscéral. » t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie ? « L’Alchimie. C’est mon but. Je suis fascinée par cet art, et si je ne parviens pas à en vivre dans les débuts, j’ouvrirai une boutique de potions, j’imagine. Un petit commerce de créations personnalisées. Mon frère dit que je devrais faire styliste, vu que je suis forcée de rapiécer mes tenues, de les faire moi-même. Peut-être m’y tournerais-je en dernier recours. » hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde ? « Elle est idiote. Cette façon de retenir ses talents naturels, de tenter de taire ses instincts est un véritable sacrilège. Est-ce ma mort qui a entraîné cette éducation que l’on transmet désormais aux fourchelangues Weiss ? Idiot. Perte de temps. « Le contrôle, c’est le pouvoir. » disent-ils. C’est faux ; le véritable pouvoir c’est l’acceptation intégrale de notre lien privilégié avec les serpents, la nature, les mystères. Tout ce qu’elle y gagnera, c’est la folie et la mort. Ce qu’elle pense être sa force est sa plus grande faiblesse. Ca n’est pas parce qu’elle est talentueuse qu’elle survivra. Sans rébellion, elle crèvera comme moi, de la main d’un membre de cette famille ingrate que nous partageons et qui répète un cercle vicieux. La Reine des Neiges est prisonnière d’elle-même, rien de plus. »
DERRIÈRE LE MIROIR MAGIQUE :


Dernière édition par Nevealyss-Jayne Weiss le Sam 21 Déc - 15:22, édité 20 fois
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Nevealyss-Jayne Weiss
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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptyVen 20 Déc - 19:42


tears of a snake.
these violent delights have violent ends
« Les crochets du serpent ont la mémoire du sang. J’ignore si l’Histoire pardonnera mes actes et je ne le réclame pas. J’abandonne cette bataille, pour lui, parce que je veux une famille. Je ne nie pas les morts, l’espionnage, les poisons. Je ne nie pas non plus le plaisir que j’ai éprouvé à satisfaire ma colère. On a voulu m’arracher mon homme, le seul être à qui j’ai offert ma fidélité ; pour cela, ils devaient payer. J’ai les mains sales et je l’assume. Je ne puis pas, toutefois, me rendre aux autorités. Durmstrang a la véritable justice, l’idéologie des vainqueurs. J’ai livré les informations réclamées, à présent je m’efface. Cette île glacée n’attire personne, nous y vivrons en sécurité, le temps que les choses se calment. Je n’ai qu’une prière à la Nature : qu’elle raisonne mon mari, lui qui aime tant donner la mort.. il faut qu’il vive ou j’en mourrais. »
extrait du journal d’Athalie (20 ans) ;
conservée dans le coffre des Rosenthal.


Du sang sur le sol d’ébène. De la haine sur la blancheur pâle d’un visage enfantin. Et le sifflement strident d’un serpent majestueux. De rouge et d’or la brûlure répandue sur les tapisseries antiques, sur l’arbre généalogique. Combien de fois encore faudrait-il qu’il te dénigre ? Combien de fois encore devrais-tu crier sous les coups, l’amertume, les sortilèges ? Combien de pleurs et de supplices ? Hors de contrôle, tu restes prostrée dans le coin du grenier, le bras ensanglanté, les débris de verre brillant encore sur ta peau de porcelaine et la clarté de ta chevelure dissimulant les traits fins de ta tête de poupée. Et le silence au coeur de l’incendie naissant s’impose. L’homme blond au regard d’acier reste muet de cette surprise innommable qui clouerait le plus terrible ennemi sur place. C’est le Cobra qui se dresse, qui déploie ses armes, ses crochets, ses menaces. C’est le Cobra qui de sa hauteur domine l’enfant brisée, défend une maîtresse qui n’en a pas les airs, la connaissance. « Impossible… » se murmure-t-il entre les flammes lentement éteinte par un garçon presque trop détaché. « Impossible… » souffle-t-il, stoppé dans son élan de rage. Ton père ne peut plus te secouer, il ne peut plus chercher à t’éliminer, à éradiquer la honte que tu es, car dans cette langue sifflante et hors de ta propre conscience, tu charmes l’animal d’ombre. Tu charmes et dévoiles un héritage tant désiré, un héritage au bord d’une inévitable extinction. Les Weiss, fiers descendants des mages noirs, des vipères et autres sorciers peu recommandables souffraient d’une terrible perte : celle de ce don pour lequel l’amour avait été à chaque heure offert en pâture au devoir. Et toi, petite chose fragile, tu te révélais héritière légitime ; tu te révélais fourchelang. Sur l’autel de l’honneur, tu serais sacrifiée.

« J’ai pas peur du noir. J’ai peur de l’éclat aveuglant de la lumière. »
- NJ. Weiss.

« Debout. » A terre, tu geins. La douleur te lance dans la main et ta robe déchirée témoigne de la violence ambiante. Il te toise de son incroyable froideur quand ta mère, indifférente, lit. Quand ton frère, épris de jalousie, t’observe. « Debout ! » Tu ne parviens pas à bouger. Le venin te vrille les sens et le Taïpan s’impose en dominateur. Tu n’as pas plus de douze ans et tu voudrais supplier qu’on te vienne en aide, mais d’entre tes lèvres ne demeure que le silence, la crispation de celle qui manque d’air. Les toxines paralysent tes sens et tu conçois la mort comme une délivrance. « Tu es faible, assume, Jayne ! » Tu sais pourtant qu’il ne te laisseras pas sombrer, tu sais que le liquide froid coulera bientôt entre tes lèvres et sauvera ton insignifiante peau. Il a besoin de toi pour sa reconnaissance face au monde, pour son petit prestige personnel. Un fils sans talent et une fille à la santé défaillante n’ont fait que mutiler son honneur.
Mais tu n’as pas ce contrôle dont il rêve, ce contrôle que possède ton oncle. Lazlo Weiss, ce modèle écrasant, ce sorcier érudit, détaché de ce monde, élevé dans cette dureté que tu subis, qui chez toi ne choque plus personne. Les bras parsemés de morsures, tu termines une énième journée posée dans ton lit, apathique, lointaine et triste. Tu sais que tu ne seras jamais à la hauteur et qu’aucune lanterne n’illuminera jamais tes pas dans l’obscurité.

*
*    *
« T’es un idiot. » souffles-tu, ton regard fixé sur le feu brûlant dans la cheminée. L’affection ou la douceur n’étaient plus ton genre, la fillette innocente et influençable avait laissé place à une créature froide, de glace. Pourtant trop jeune pour tant de distance. Douze ans, qu’est-ce, sur l’étendue d’une vie ? A Poudlard, tu étais celle qu’on ne remarque pas, celle à qui l’on ne parle pas, serpent parmi tant d’autres, serpent aux yeux d’ange, d’un bleu d’azur. C’était l’âge auquel les filles commençaient à observer les garçons, l’âge auquel on veut découvrir l’autre.. mais toi tu restais inlassablement seule, indifférente à ces préoccupations futiles. « Donne, j’vais l’faire. » Il n’y a qu’avec lui que tu savais passer du temps sans penser à rien, sans avoir besoin de faire semblant. Lui ne posait pas de questions. Lui acceptait ce silence. Vous n’aviez pas besoin de mots pour vous comprendre. Tu écrivais ses devoirs, l’aidais quand sa scolarité était mise en danger ; quelque part au fond de toi, il s’avérait précieux, seulement tu ne pouvais ni te l’avouer, ni le réaliser. Fermée à toute émotion positive, tu étais vide. Juste vide. Sans valeur et pleine d’une ambition démesurée qui te permettait d’avancer malgré tout, d’avancer même si ton père continuait à te maltraiter, même si ta maison te considérait comme mal répartie. La gamine avec un livre chez ces fourbes de vipères. De ton don tu ne parlais jamais. De tes envies non plus. Tu voulais briller, à n’importe quel prix. Tu voulais briller, redorer le blason familial, quitte à en crever, quitte à finir seule. De toutes manières, c’était ainsi que tu étais persuadée de terminer ton existence : isolée du monde.

« L’espoir est le premier pas vers la déception. Je n’ai pas d’espoir, comment pourrais-je être déçue ? » - NJ. Weiss.

Il ne te voit pas. Il ne te verra jamais. C’est comme si tu évoluais à ses côtés sans qu’il ne te perçoive autrement que comme une enfant. Peut-être parce que tu es immuable, peut-être parce que rien ne paraît t’atteindre. Tu fais l’indifférente, tu le vois tourner autour de ces filles toutes plus belles les unes que les autres. Et tu restes l’intello mordante, la reine des neiges qu’aucun homme ne peut atteindre. Cassante, tu fais comprendre à tes camarades que tu ne manges pas de cette citrouille-la, toi. Pourquoi perdre un temps précieux en flirts passagers ? Tu n’es pas capable de ressentir, ça ne te mènerait absolument à rien. Tes amants sont les mots, tes hommes sont les livres, tes rêves sont d’ambitions, de désir, de pouvoir. Qu’est-ce qui pourrait te satisfaire plus que le regard fier de ce père qui te traite encore comme une erreur ? « Ta tristesse… » Tes billes claires se tournaient instinctivement vers l’animal glissé discrètement dans ta valise, chaque année. Le Cobra noir te sifflait ces mots doux qui te rendaient si sauvage, parfois. Tu finissais par te comporter comme ce reptile, par devenir dangereuse, sans cesse sur la défensive. C’était à lui que tu devais ta survie, que tu devais ta capacité à te relever après chaque chute. Mephaesto, qui t’apprivoisait. Mepheasto, symbole même de ton incapacité à te maîtriser. C’était lui qui te dominait quand ton esprit s’effondrait, quand ton coeur cherchait à imploser, se ridait de failles, se fissurait et te mettait à terre. Il te contrôlait plus que tu ne le contrôlais. « Je ne suis pas triste. » répondais-tu à ce que tu considérais comme une accusation. Tu étais la seule à ne pas voir ta propre tristesse, inapte aux sentiments. « Neve… » Tu lui jetais un regard dur. C’était toi, qui décidais. Toi et nul autre. Formatée jusqu’au bout des ongles, tu n’avais plus qu’un seul mot d’ordre : le pouvoir. Et dés lors qu’il apparaissait dans ton champ de vision, tu te répétais que tes pensées étaient stupides, tu te fermais à l’instar d’une huitre, la perle noire étouffée par la violence des années. Les crochets du serpent ont encore la mémoire du sang. Ton sang qui, à chaque faiblesse, coule sur les orchidées parfaites du jardin familial. « La ferme, Mephea. » siffles-tu, à l’abri des regards. A personne tu n’avais jamais avoué ton secret. Pas même à lui. Ta voix de cristal, claire et douce, n’était à ses yeux qu’un paradoxe à la carapace glacée qui t’entourait. Tu laissais ton frère se prétendre héritier des Weiss, héritier du don terrifiant associé à chaque puissant mage noir, terrible sorcier, ambitieux serpentard. L’ombre t’allait finalement si bien. T’étais bien, lovée dans le silence de la solitude. Tu engrangeais le savoir comme s’il était vital, digne successeur de ton oncle, le génial chercheur en magie ancienne. Ton domaine, cependant, se dévoilait moins noble : potions, empoisonnements, arts obscurs. En divination, trop fermée, tu ne valais pas un clou. En vol, le balais te dominait. Distraite, tu réussissais peu de métamorphoses. Mais aux nobles solutions mystiques, aux mélanges secrets des botanistes et autres magiciens de la fiole, tu n’avais pas d’égal. Volontairement tu feignais la médiocrité en Soins aux Créatures Magiques, pour ne pas te trahir, ne pas montrer cette animalité dormante en ton coeur desséché. Ca n’était pas les études, ton problème, c’était bien ton nom, ta lignée toute entière. Vulgaire marchandise, tu te devais de ne pas attirer les convoitises, alors même que ce visage d’ange que tu arborais t’accordais d’insupportables faveurs. A défaut d’avoir la vie de ton côté, la nature t’avais gâtée. « NJ., qu’est-ce que tu fiches ? Le match va commencer ! » Sortie de tes pensées, comme toujours, tu rangeais tes affaires et rejoignais ce terrain détesté, indéfectible soutien à cet ami pour lequel tu tremblais à chaque lancé de Cognard. Castiel finirait bien par te tuer, à te faire trembler ainsi pour sa survie.

*
*    *
La chaleur d’une peau tendre. La douceur de ses lèvres. Les reflets d’or dans l’obscurité de ses yeux. Son souffle mêlé au tiens. Et ton réveil en sursaut, au beau milieu du dortoir. Tu sens. Tu la sens. Et tu perçois ton propre trouble, le coeur au bord de la tachycardie. Tes yeux vairons scrutent la nuit, ton esprit formulant la prière muette qu’il dorme profondément, qu’il n’ait pas été secoué par cet étrange désir sorti de nulle part, venant de toi, cette insensible amie à l’organe glacé. Il ne te le pardonnerait pas. Il ne le comprendrait pas. Lui, l’homme aux mille maîtresses. Toi, la vierge effarouchée qui passe pour une fille facile à l’empathie plus réduite que celle d’un iceberg. Les rumeurs disent que tu te le tapes, que vous ne l’avouerez jamais. La vérité, c’est qu’une part de toi désirerait que ce soit le cas. Cette part sans nom, sans autre visage que le tien, cette demoiselle en détresse qui n’est pourtant pas toi. Elle n’a pas quitté l’ancestrale lignée des Weiss. Elle renaît de ses cendres dans un corps qui partage son sang d’antan. Athalie n’a jamais eu d’enfants mais son frère, lui, eut une descendance conséquente. Athalie, la douloureuse mélodie d’une tragédie, battue à mort par son propre père, laissée à l’agonie pour que son dernier regard se pose sur celui, impuissant, de ce mari dont elle n’aura que trop peu profité. Il a voulu l’écarter de la guerre, son lys blanc taché de sang. Il a voulu la protéger des autres et d’elle-même, mais de sa langue de vipère, elle en avait déjà tué plus d’un. Pour le prix des vies arrachées, de sa propre vie mutilée, elle n’avait gagné que le droit de recommencer, de faire les mêmes erreurs dans une existence déjà bien partie sur le mauvais balai. C’était quoi, la morale de cette foutue histoire ? Toi, tu n’en savais rien. Tu voyais cette autre vie te revenir en pleine poire, n’importe où, n’importe quand. Tu tremblais de terreur, tu pleurais sans raison, tourmentée par une bipolarité toujours plus grande. Ta magie, déjà instable, perdait tout simplement ses bases. Tu savais te contrôler, la plupart du temps. Et la moindre explosion poussait tout ton être à expulser une magie des plus primitives, aussi brutale que celle d’une enfant faisant un caprice. Oui, ta magie faisait des caprices. Des lampes brisées, des verres explosés, ça n’avait pour toi plus aucun sens. A ton âge, ce genre de choses ne devraient plus se produire. Athalie ne t’a-t-elle jamais soufflé que c’était elle, le problème ? C’était son défaut d’autrefois, ces talents brutaux, sans queue ni tête. Quand ta santé est fragile, quand toute ton existence est régie par le contrôle, elle n’était que vivacité et instincts.

« C’est la vie, c’est pas le paradis. Ca a un arrière goût sucré, pourtant. »
- NJ. Weiss.

T’as fais une connerie. De celles que tu considères comme impardonnables. Vous aviez une règle tacite : ne pas toucher à l’autre. Vous étiez amis, sans ambiguïté, dans tout le silence et la froideur qui vous caractérisaient. Et vous avez franchi le pas dans une crise sans nom, avec une brutalité douloureuse. Il ne pouvait pas savoir. Il ne pouvait pas deviner. Il t’avait trouvée tremblante dans la salle sur demande, sifflant cette langue mystérieuse que tu lui avais cachée, entourée de débris de verres, ton uniforme déchiré, autant que ton coeur émietté. Vous aviez consommé la haine de cette vie sans objectif fondé, sans avenir lumineux. Vous aviez consommé un amour dont vous ignoriez tout. Et tu le fuis. Tu files dans les couloirs comme un vent glacial, un vague courant d’air, flocon de neige insaisissable. Quelque chose a changé. Des bras de Castiel tu n’es pas sortie indemne. Tu te sens libérée du poids mort de la solitude, pourtant prisonnière d’une culpabilité sans nom. Piégée entre les extrêmes, tu prends ton envol pour mieux t’écraser contre la parois rugueuse de la réalité. Athalie se rebelle contre ce mutisme que tu lui imposes, Mepheasto tente de reprendre le dessus, mais c’est d’un pas décidé que tu retournes en cours, résolue à ne pas te laisser sombrer, à ne pas le regarder, pour ne surtout pas pleurer, ne surtout pas faiblir encore une fois pour ses yeux de braise, son âme noircie de vos rêves.

2248 words.

L'histoire est écrite selon la conscience que peut avoir Nevealyss des évènements, d'où le fait que certaines choses soient floues, étant plus intéressantes à développer en rp.


Dernière édition par Nevealyss-Jayne Weiss le Sam 21 Déc - 13:41, édité 14 fois
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V. Ēchṓ Laertiadis
AVATAR : ∞ emilia (lovely) clarke.
PARCHEMINS : 935
AMORTENTIA : ∞ noah ; je m'enivre à deviner ton étoile au ciel, ton sourire au bord des larmes.
PATRONUS : ∞ dragon.
PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.

V. Ēchṓ Laertiadis
she's like the wind.


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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptyVen 20 Déc - 19:44

Bienvenue ici ma demoiselle  NJ. ❅ « The snow queen. » 3472734492 
Superbe avatar  NJ. ❅ « The snow queen. » 981630123 Je trouve que the snow queen va trop bien avec Amanda, et j'ai envie d'aller le voir pour le coup  NJ. ❅ « The snow queen. » 2663297705 
Si tu as besoin d'aide pour quoique ce soit nous sommes ici pour toi  NJ. ❅ « The snow queen. » 3472734492 
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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptyVen 20 Déc - 19:45

TOI.  NJ. ❅ « The snow queen. » 981630123 NJ. ❅ « The snow queen. » 3472734492 NJ. ❅ « The snow queen. » 2625562446 NJ. ❅ « The snow queen. » 1276036350 
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Nevealyss-Jayne Weiss
PARCHEMINS : 77
AMORTENTIA : Un rossignol au coeur de glace.
PATRONUS : Un Cobra Royal.
PARTICULARITE(S) : Fourchelangue.

Nevealyss-Jayne Weiss
FRANKLY MY DEAR, I DON'T GIVE A DAMN.


TON RAPPELTOUT
QUATRE CENT ANS AVANT:
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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptyVen 20 Déc - 20:26

CEYTROPBIENLAREINEDESNEIGES /SBAF/
Ahem, merci pour le gentil mot V.  NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 

TOI  NJ. ❅ « The snow queen. » 4049476019 NJ. ❅ « The snow queen. » 4049476019 - nonceypaslouche => -

J'ai deux petites questions, parce que je suis grave miro ce soir donc j'ai pas vu la réponse, ça m'est sûrement passé sous le nez : y a un formulaire à remplir au préalable pour tenter un don ? & la répartition, c'vous qui la faites ou on doit vous indiquer la maison ? - pastapey,doischangerd'yeux&deneurone  NJ. ❅ « The snow queen. » 949729897
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M. Cordélia Lysaght
AVATAR : adelaïde (hot) kane.
PARCHEMINS : 190
AMORTENTIA : cercei est l'amour de sa vie, c'est tout. (et ce gars là...)
PATRONUS : un phénix.
PARTICULARITE(S) : brightest witch of her time | animagus sombre louve | leader des sombres phénix | détective.

M. Cordélia Lysaght
TRUST MY RAGE


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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptyVen 20 Déc - 20:28

On tape pas ici  NJ. ❅ « The snow queen. » 1348386387 pourtant je suis sous le compte de la vilaine Cordélia ouw  NJ. ❅ « The snow queen. » 981630123 
Pas de de formulaire pour les dons, non c'est open-bar  tongue nous vous faisons confiance, pareil pour la maison. Si tu ne sais pas où envoyer ton personnage, ne le dis juste pas et nous déciderons pour toi sinon c'est comme le membre le souhaite.  NJ. ❅ « The snow queen. » 3265981769 
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H. Cercei Stonem
PARCHEMINS : 278
AMORTENTIA : COOOOOOORDELIA (achille aussi, mais cordélia quoi.)
PATRONUS : un cygne.
PARTICULARITE(S) : badass.

H. Cercei Stonem
DARK SISSI, BITCH.


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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptyVen 20 Déc - 21:54

(amaaaaaanda  NJ. ❅ « The snow queen. » 3183675940 )
Je suis en train de lire le début de ta fiche, déjà j'aime comment tu écris et le personnage semble extra, je vais aller lire la suite.  NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 NJ. ❅ « The snow queen. » 981630123 bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche. NJ. ❅ « The snow queen. » 3350773492
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Nevealyss-Jayne Weiss
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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptySam 21 Déc - 13:30

Au final le personnage est tapé de la cafetière  NJ. ❅ « The snow queen. » 682665979 NJ. ❅ « The snow queen. » 682665979 
Merci pour les renseignements, & faut pas faire de compliments, ça m'fait rougir après & j'ai l'air con, ce serait pas gentil =>

Sinon, je crois que la fiche est terminée, même si j'avoue ne plus avoir d'yeux et donc avoir sûrement laissé passer pas mal de petites fautes, je m'en excuse d'avance  NJ. ❅ « The snow queen. » 2761542443 
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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptySam 21 Déc - 18:00

pour moi, c'est nickel. :(l):j'adore l'histoire de nivea et puis j'ai vraiment hâte d'en savoir plus sur athalie, trop de mystère dans cette fiche haha. :héhé:et j'adore sa relation avec castiel. et puis ta plume (mais c'est pas nouveau, pas vrai ?  NJ. ❅ « The snow queen. » 677674234 ). et aussi ton gif dans ton profil. ET PUIS TOUT.
tu es donc officiellement notre première validée.
comme promis, t'auras peut-être un p'tit quelque chose dans la soirée pour fêter ça !  NJ. ❅ « The snow queen. » 1023119899 
en attendant, profite et motive les autres pour pouvoir rp avec eux.  NJ. ❅ « The snow queen. » 3265981769 et... il nous faut un lien mais tu t'en doutais.  NJ. ❅ « The snow queen. » 4049476019 

(btw je suis désolée pour cette histoire de mozilla, je ne comprends réellement pourquoi ça ne marche pas. NJ. ❅ « The snow queen. » 916266864ça doit venir d'un script, enfin bref, je vais essayer de régler ça le plus rapidement possible. NJ. ❅ « The snow queen. » 1626129382)


bienvenue
Félicitations, petit padawan, tu es officiellement validé ! Toute ta laïfe, t'as attendu que cet instant pas vrai ?  NJ. ❅ « The snow queen. » 4049476019 Bref, tu fais officiellement partie de la grande famille qu'est Amortentia et on est ravis de te compter parmi nous ! Toutefois, ton inscription (et ton intégration) ne sera que plus complète en faisant les deux-trois trucs obligatoires qui suivent la validation. Pas de soucis, ça dure cinq minutes et après, t'es lâché dans la jungle, bby.  NJ. ❅ « The snow queen. » 3472734492 
Tout d'abord, il te faudra remplir les registres afin de permettre au staff de savoir qui tu es et ce que tu fais (big brother is watching you.  NJ. ❅ « The snow queen. » 1023119899 ). N'hésite pas à aller vérifier ça et là si l'équipe administrative a bien fait son job ! Tu peux ensuite aller demander ton rang puis t'es free, bby, il te manque plus que des liens, éventuellement un scénario et des rps ! Entre deux rédactions, n'hésite pas à venir flooder et jouer avec nous ! Et si jamais tu dois partir, passe par les absents, tu serais un amour !
Bref, bienvenue, félicitations, on t'aime, merci.  NJ. ❅ « The snow queen. » 1122333325  NJ. ❅ « The snow queen. » 1467679211 
FICHE PAR LOKIDDLES
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MessageSujet: Re: NJ. ❅ « The snow queen. »   NJ. ❅ « The snow queen. » EmptySam 21 Déc - 18:07

NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 NJ. ❅ « The snow queen. » 388342071 Je dois te faire des bébés pour remercier de la validation ou ça ira ? XD
Merci, mais je crois que t'es pas objective d'abord, c'est pas parfait, ça existe pas le parfait =>
J'vais fouetter mes camarades de chatbox si tu veux mais je suis pas certaine du résultat xD

& of course, le lien  NJ. ❅ « The snow queen. » 3183675940
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