Isadora Calliope Desfleurs ∇ née le 27 mai 1595 à Orange, France ∇ Isadora avait la passion des mots et des beaux livres ∇ Elle était aussi une excellente cuisinière et une grande potionniste ∇ Sa mère l’éduqua très jeune aux vertus thérapeutiques des plantes ∇ La famille Desfleurs n’était pas très fortunée mais tout à fait respectable ∇ Isadora était la quatrième enfant d’une famille qui en comportait sept et la troisième fille, de cette manière elle ne fut jamais réellement inquiétée des convenances et de sa place dans le « beau monde » tant que ses sœurs ainées n’étaient ni introduites en société ni mariées ∇ Sa vie fut on ne peut plus simple et joyeuse jusqu’à l’attaque de l’Académie de Beauxbâtons par Dürmstrang ∇ Elle était une des meilleures élèves de la maison du Tournesol à laquelle elle appartenait ∇ Elle assista lors de l’attaque au meurtre de toute sa famille sans qu’elle ne puisse rien y faire ce qui ne cessera de la hanter par la suite ∇ Elle fut quant à elle sauvée de justesse par Maximilien Simmons, un anglais qui finira par devenir son époux ∇ Elle n’avait d’ailleurs jamais considérée l’idée de se marier avant de rencontrer Maximilien, il fut véritablement l’amour de sa vie ∇ Elle fut répartie chez les Poufsouffle à son arrivée à Poudlard ∇ Ne pouvant rester les doigts croisés elle se fit archiviste et se dévoue corps et âme à la tâche ∇ La politesse lui était une chose indispensable et n’hésitait pas à reprendre quiconque manquait aux règles les plus élémentaires de la bienséance ∇ A la mort de son aimé, et à la fin de la guerre elle disparue, et vécue isolée du monde avec pour seul compagnon un orphelin bulgare qu’elle avait recueilli ∇ Malheureusement pour elle cette adoption lui coûta sa tête puisque lors de la Grande Purge elle fut accusée d’avoir conspirée avec l’ennemi et fut pendu à Londres le 15 novembre 1622 ∇ Avant de partir pour ce qu’elle croyait être son dernier voyage elle prononça des mots qui trouvent encore un écho aujourd’hui « la liberté n’a pas de plus mortelle ennemie qu’elle-même ».

Missy-Joyce Astrid Lockwood ∇ Née le 6 aoüt 1995 à Inverness ∇ On se contente de l’appeler Missy ∇ Son père Alastor Lockwood est le directeur du Chicaneur, c’est de lui que la jeune fille tient sa passion pour le journalisme ∇ Son patronus est une loutre ∇ Sa baguette est en bois d’acacia, contient un crin de licorne et mesure 26,3 cm ∇ Elle fait partie du Chouette Hibou, le journal de l’école ∇ Son arrière-arrière grand-mère, Cécily Lockwood était voyante, la jeune femme est elle même convaincue d’avoir hérité du troisième œil ce qui lui vaut le surnom de la « Voyante Barge » ∇ A vrai dire elle clame cela haut et fort, parce que cela l’amuse pour commencer, mais aussi parce qu’elle enrage de savoir que certains se souvienne de leur ancienne vie et qu’elle n’en a pas la moindre idée ∇ Missy est très fidèle et loyale en amitié, elle ferait réellement n’importe quoi pour ses amis et sa famille ∇ A l’inverse elle est très rancunière et ne pardonne que très rarement, voir jamais une offense ou une trahison ∇ Elle est toujours de bonne humeur ce qui a l’audace d’agacer certains ∇ Elle prend son rôle au sein du journal très cœur, trop peut-être ∇ Passionnée et téméraire elle a tendance à agir sans réfléchir à la portée de ses actes ce qui lui cause souvent des ennuis ∇ Elle adore les livres et quand elle n’est pas occuper à fouiner et à déterrer les secrets de ses camarades, elle passe son temps à la bibliothèque ∇ Contrairement aux apparences Missy est très studieuse quand bien même certaines s’étonnent encore qu’elle ait été envoyée dans la maison de Rowena Serdaigle ∇ Elle adore les potions et est d’ailleurs s’applique d’ailleurs à devenir la meilleure préparatrice de véritaserum du pays ∇ Son rêve contrairement à ce que l’on peut croire n’est pas de reprendre seulement le Chicaneur mais aussi de se hisser à la tête d’un journal un peu plus « sérieux » ∇ C’est un véritable cœur d’artichaut, il peut lui arriver de tomber amoureuse d’une mèche de cheveux, d’une fossette … ; cette attitude dénote plus d’une peur de l’engagement qu’une véritable légèreté.