Brunhilde, ce prénom avait été porté avant elle par de grande reines. Des femmes illustres qui lui mettait la barre haute. et signifiait un sacré défit à relever. Cela ne fut pas pour déplaire à la jeune femme d'ailleurs car les défis ainsi qu'anéantir ses adversaires et résoudre des énigmes particulièrement retorses, étaient, à l'écouter, la raison pour laquelle elle avait été faite, ce pourquoi elle était venue au monde, parmi vous autres mortels. Autant vous dire que cette façon de pensée ne la pas mené bien loin étant donné qu'elle est morte au début de sa majorité sorcière. Mais je vous promets de tous vous raconter de puis le début, depuis les premières heures de sa première vie. J'en fais le serment solennel !

C'était un soir de novembre lorsqu'elle pointa le bout de son nez pour la toute première fois. C'était un jour pluvieux, mais ce ne fut pas une vie heureuse quoique puisse dire le proverbe.
Durant ces premières années, elle n'eut rien a subir. Venant d'une famille de sorciers, elle connaissait déjà tous de ce monde, son existence, ces comptes, ces animaux dit fantastiques, imaginaires, ces histoires etc. Vous voulez savoir comment c'était passé son premier fait magique ? La jeune femme alors petite fille était énervé, elle l'était à cause de son voisin qui faisait toujours des intrusions dans le domaine de ses parents. Pour tous vous dire, la mère était ce qu'on appelait à l'époque une sang-de-bourbe, mais d'une grande famille moldue et le père venait lui d'une famille de sang-mêlé.

Pour en revenir à ce jour-là, celui de ces sept ans où Miss Brunhilde était passablement énervé et en rentrant dans sa chambre elle fit s'éteindre les chandelles. Bien sûr ce n'est pas vraiment ce qu'on peut qualifié de grandiose ou même de brillant, mais quelques jours plus tard elle "explosa" de nouveau en créant des étincelles qui vinrent enflammer les rideaux que la gouvernante remplaça une heure plus tard. Pendant deux ans, ses crises continuèrent, mais ne s’amplifièrent pas. Ni pendant l'année suivante. C'est le jour de ses dix ans que quelque chose de semblable, mais en plus terrifiant se passa. Elle était assise à la place d'honneur à table devant le grand gâteau d'anniversaire qui se liquéfia à la façon d'une bougie, mais ce en bien moins de temps qu'il n'en faut pour dire Quidditch.

Avant d'aller plus avant dans l'histoire personnel de Brunhe', je vais vous en dire un peu plus sur sa famille, son tempérament, son histoire car c'est important pour bien saisir son caractère et tous ce qui la poussa à agir comme elle l'a fait.
Vous savez déjà que sa mère sorcière était une née-moldue, seulement, cette famille était très puissante, avait une influence particulière dans ce monde sans magie. Chaque membre de cette famille avait une fierté féroce et étaient riches, très riches. Leur fierté venait du fait que depuis bien des générations les hommes de la famille s'étaient battu pour les différents Rois et Reines de Grande Bretagne et la galerie des portraits dans le Grand Couloir du cottage était immense et l'on y voyait tous ses hommes en uniforme d'un côté avec au centre, au dessus de la cheminé le portait de Lady Camélia Donghely, la première grande Dame qui avaient remplacé son mari à la guerre, mort sur un champ de bataille. Elle avait prit sa place au commandement, se faisant passé pour lui, s'étant coupé les cheveux etc. Elle était très connu et son histoire était raconté tous les soir à la veillé de noël et encore une fois lorsqu'une Donghely entrait dans l'âge adulte. Voilà pour la famille de sa mère.
Celle de son père, les Baker, étaient des fameux sorciers, mais là encore les plus doués étaient toujours des femmes, ce qui augmentait terriblement leurs mains mise sur la famille et disons le, leurs arrogances. Voilà ce qu'on peut dire sur les Bakers. Es-ce que vous voyez où je veux en venir ? Non, bien entendu, pas encore, ou pas tout à fait. Venez, je vais vous ouvrir les portes de son journal intime pour ce qui est de sa scolarité, de Poudlard et surtout de la guerre.


15 Août 1613
La chouette vole à tire d'ailes, je me trouve dans le sous-sol de la maison avec ma mère. Elle m’apprend certaines propriétés qui est essentiel qu'un élève de troisième année connaisse pour passer ces examens de fin d'année. Ce qui veut dire qu'elle commence à me parler de choses qu'on ne voie qu'au bout de la quatrième année d'étude.
Je n'ai pas encore fait une potion seule, même si depuis le printemps de mes neufs ans, j'ais eut le droit  à avoir des cours, donné par ma mère, pour être une élève brillante dès les premiers jours. Ces cours ont débuté il y a un an et demis et se font dans la plus grande discrétion. Néanmoins, j'ai ma baguette depuis le début du mois d'août seulement. Nos cours sont donc purement théorique.
La raison de ces cours est simple : une descendante Bakers doublé du'une fille née d'une née-modlue se doit d'être prête. Je crois que ma mère a souffert d'être une née-moldue lors de ses premières années d'études à Poudlard et elle ne veut pas que cela recommence pour pour elle m'a donc formellement ordonné de ne pas révéler mon ascendance.

La clochette lié au salon tinte de trois petits coups secs : mon père doit s'y trouver et doit vouloir me parler. C'est à contre coeur que ma mère et moi arrêtons notre leçon et remontons vers le séjour. Nous entrons dans la pièce, ma mère avec un air de mépris sur le visage et moi l'air passablement agacer par cette interruption grotesque.
" Tiens, c'est arrivé ce matin par par hiboux" Il a la voix douce et me souri : il attend une réaction de ma part. Je me contente de lever le sourcil : j'attend la suite "C'est ta lettre d'admission à Poudlard..." Toujours rien de ma part. Bien sûr qu'il s'agit de ma lettre, quoi d'autre, j'ai déjà vu celle de mes parents je sait ce qu'elle contient. Je n'ai donc pas besoin de la lire. Je lève les yeux au ciel et me retourne pour reprendre avec ma mère là où nous en étions. Avant que je puisse sortir de la pièce, il m'attrape doucement par le bras et me fait tourner. "Nous irons au chemin de travers cette après-midi j'imagine." dit-il en se tournant vers ma mère, l'air d'espérer quelque chose. "Impossible !" La réponse fuse. "Brunhild à déjà ça baguette et nous avons encore des tas de choses à voire avant qu'elle ne parte au Collège. Elle ne quittera pas la maison. Mais toi, tu iras." Il faut savoir aussi que ma mère méprise les hommes et que la voyant agir ainsi depuis mon enfance, j'ais tendance à parler à mon père comme à l'un de ses valets qui nous servent. Après une brève pause elle reprit d'un ton tout aussi intransigeant. "Et ne te trompe pas, prends seulement de la haute qualité,ne te fais pas encore avoir..." Son ton est pleins de menace. Nous sortons de la pièce et laissons mon père aussi déprimé et désemparé qu'avant notre venu.

1er Septembre 1614
Le Poudlard-Exprès est déjà dans la gare lorsque j'arrive avec ma mère et mon père. Nous nous disons au revoir, je hoche la tête en direction de ma mère, attrape ma baguette et sert la main de mon père. Je ne sais pas si c'est de partir pendant cette longue durée, je ne rentrerais pas chez moi pour les vacances, mais quitter la maison me fait un pincement au niveau du coeur. N'allez pas croire que je suis totalement insensible, non plus. J'utilise le sortilège "locomotor barda" pour que mes affaires me suivent jusqu'à la cabine où je m'assoie. Il n'y a qu'une autre fille de première année qui me fait signe que je peux entrer, que la place n'est pas prise. Nous engageons la conversation seulement lorsqu'une petite femme passe avec un chariot remplie de friandise. J'ai appris à ne pas manger entre les repas, mais je m'autorise une chocogrenouille. Nous parlons ensuite de ce que nous savons sur Poudlard et le monde sorcier en générale. Elle aussi est une sang-mêlé.

Nous montons maintenant dans les barques et le paysage est tellement beau que toutes les discussions s'arrêtent là. Enfin, jusqu'à ce que nous arrivons sur la berge opposée. A la fin de la promenade, nous arrivons aux portes de notre lieux de vie et nous attendons dans le Hall que quelqu'un vienne nous chercher.
Le Directeur prend la parole, nous sommes dans la Salle Commune et le silence est de plomb, même s'il est quelques fois interrompu par des élèves qui fond partis des murs maintenant et qui nous dévisagent en rigolant. L'adjoint du directeur apporte le Choixpeau Magique et la Répartition commence enfin après qu'il est chanté un poème de sa création. Lorsque mon tour arrive, j'ai du mal à retenir une grimace à cause du piteux état dans lequel il se trouve et je n'ai qu'une envie : l'enlever de la tête pour ne pas que ma coiffure impeccable ne soit gâtée.
Le Choixpeau sur la tête je l'entend parler de ce que je suis, il dit que j'ai une grande volonté et une ambition démesuré, mais pense qu'à Serdaigle je trouverais mieux ma place car je semble être une fille sachant faire fonctionner son cerveau et semble déceler en moi quelque chose de plus qu'il n'arrive pas à formuler proprement, mais qui arrête son choix définitivement. J'irais donc chez ceux qui sont "réfléchis et sage, qui veulent tous connaître et sont des érudits" selon ses propres termes.

Réflexion sur mes années à Poudlard. Été 1616.
Ces dernières années se sont très bien déroulées et les professeurs étaient content de moi, de mes résultats en classe en tous cas, de mon comportement envers certains élèves que je juge fainéant... certainement moins, mais que pouvait-il me reprocher ? de les aider ? même s'il m'arrivait d'utiliser des termes un peu dure ? Ou alors es-ce le fait que j'aime être bonne en tous et que je me bats pour obtenir les meilleurs notes ? Bien évidement, selon les matières je suis à égalité avec d'autres, mais je n'accepterais d'avoir aucune note en dessous d'acceptable et même cette notation je ne l'accepterais que peu de fois en une année : ce n'est pas parce que je suis une sang-mêlée que je ne peux pas être aussi bonne si ce n'est meilleur que les autres.

[...]

Je conçois qu'un journal intime d'une fille normalement constitué serait remplis de ses peines de coeurs, mais je n'ais jamais aimé personne. Les hommes dans ma famille sont faibles. A cause de mon père, lui et ma mère sont mort durant l'été mil six cent quinze. Ma mère voulait que nous nous battions, mon père désirait que nous nous cachions. Pourquoi me dirait vous es-ce arrivé ? pourquoi Durmstrang a décidé de s'en prendre à ma famille ? Je suis entrée à Poudlard : la guerre avait déjà commencer entre les trois plus grandes Ecoles de Sorcellerie d'Europe, et lorsqu'un gardien du Secret meurt, il faut en choisir un autre. J'ai été choisi, malgré mon jeune âge. C'était un milieu de ma première année d'étude car je faisais déjà parti de la Garde et parce que le chef d'alors été persuadé que personne dans le camps adverse ne penserait qu'il s'agissait d'une si petite fille. Ça, s'était la raison officiel, celle que ceux qui était dans le secret connaissait. En vérité il avait sondé mon cerveaux avait compris que ma fierté d'être choisie, faisait de moi la plus apte à remplir cette mission, car elle scellait ma loyauté en vers ma maison, Serdaigle, mon collège, Poudlard, et la Garde.
Malheureusement, un membre de ma communauté fut attrapé par un espion qui avait noté ses fréquentes absences aux heures de réunions. Il l'attrapa et le tortura, c'est ce qui arrive en temps de guerre lorsqu'on ne fait pas assez attention... Encore un homme faible ! Il fut torturé et il cracha l'existence d'un gardien du secret. Il donna mon nom à l'ennemie qui, par légilimencie, connu tous de moi. Il sut aussi qu'il ne pourrait jamais m'atteindre car je ne suis pas sentimentale. Alors il s'attaqua durant l'été à trouver ma famille pour la capturer et pouvoir me soutirer des informations. Leur tentative d'enlèvement à mal tourné dans le sens où, vous le savez mes parents sont mort en se défendant. J'ai emporté ma jeune sœur loin de la bataille qui se déroulait chez nous. J'avais un devoir moral en vers elle qui était de dix ans ma cadette et ne comprenait pas encore tous les enjeux de cette guerre. Elle avait donc vécut sept années avant la mort de nos parents. Les professeurs consentir à la cacher, à la protéger au coeur du château puisqu'elle n'avait nul par où aller. J'étais sa seule famille, mes oncles et tantes ayant trépassés aux débuts des affrontements.

Les années qui suivirent furent dure, mais je l'ai aimais, car c'est au pied du murs que l'humain se montre dans toute sa cruauté et aussi, paradoxalement, sous son meilleur jour. Pour ma part, j'invente des plans où l'on peut perdre quelques personnes, mais toujours afin de garder la plus grande partie en vie.


Ce sont les derniers mots qu'elle écrivit dans sont carnet, caché parmi tant d'autres objets à l'intérieur de la salle va-et-viens. Pour finir son histoire et vous éviter ainsi de rester dans le flou. La jeune femme grandi et vécu seulement pour servir la Garde et Poudlard, elle était la gardienne du secret et le resta jusqu'à sa mort. Ces lors de sa dernière année à Poudlard qu'elle fut capturé par un espion qui avait été envoyé pour la trouver et lui faire craché le morceau. Elle était déjà faible lorsqu'il arriva au beau milieu de la journée, elle sut à ce moment-là qu'elle perdrait le duel, elle remarqua également une ombre près d'un murs écroulé dont elle était persuadée qu'il n'était pas dans son camps. Elle était plus faible, mais elle avait encore sa baguette, sa volonté, même si elle sentait les attaque mentale du l'homme qu'elle avait en face d'elle et plus que tous, elle se savait capable de pouvoir être plus rapide que son adversaire pour un dernier sortilège. Un fin filament alla de sa tempe à sa baguette qui semblait aspirer un liquide argenté. Le sortilège qu'elle s'était infligé était sans appel : la voilà quasiment amnésique, car elle s'était évanouie au milieu de l'enchantement.
L'homme, Edvar Clauss l'amena au camp de Durmstrang où plusieurs experts s'acharnèrent à comprendre les brides de pensées qu'elle laissait échapper à sa vigilance toujours en éveille. Ces souvenirs étaient confus, flous, sans queux ni têtes.
Au final, elle mourut, tuée de dépit par ses adversaires, trois mois avant la fin de la guerre. On ne sait pas grand chose de sa soeur hormis que, cachée dans la Salle va-et-viens, elle n'avait rien subit de la guerre et ces tourments, si ce n'est la perte de toute sa famille. On dit qu'elle fut une enfant, une adolescente et plus tard une femme, très douce et toujours juste.