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| | ❝ Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] ❞ | |
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Auteur | Message |
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InvitéInvité
| Sujet: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 22:36 | |
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Emory Aloys Delaney citation Dans cette partie vous prendrez le temps sous forme de points de nous révéler quelques anecdotes, quelques 'facts' au sujet de votre personnage dans le passé. Parlez nous donc de ses amours, de ses goûts, de son implication dans la guerre etc. La forme est libre du moment que les informations sont présentes. A la moindre hésitation n'hésitez pas à regarder la fiche d'une des administratrices, postées à titre d'exemple.
Dans cette partie vous prendrez le temps sous forme de points de nous révéler quelques anecdotes, quelques 'facts' au sujet de votre personnage dans le présent. Parlez nous donc de ses amours, de ses goûts, de sa vie à Poudlard etc. La forme est libre du moment que les informations sont présentes. A la moindre hésitation n'hésitez pas à regarder la fiche d'une des administratrices, postées à titre d'exemple. | C'est ici que commence réellement l'écriture de la fiche. Il s'agit d'une mini-présentation de votre personnage, mais sans que nous vous imposions une forme particulière pour le faire. Vous êtes totalement libre sur cette partie, du moment que vous écrivez au minimum vingt lignes, alors lâchez vous! Une page de journal intime, une interview ou juste une simple introduction feront l'affaire. C'est votre choix, donnez-nous envie d'en savoir plus sur votre personnage et de nous plonger dans sa vie, dans son passé et son présent. |
| comment se passe ta scolarité à poudlard ? écrire votre réponse ici ta famille ne te manque pas trop, t'as emmené des frères ou des sœurs avec toi ? écrire votre réponse ici et les amis ça s'passe comment, t'as des faces de scrout à pétards que tu voudrais bien déglinguer ? écrire votre réponse ici allez, fais pas ton troll, je t'ai grillé(e), parle moi de l'élu(e) de ton coeur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien ? écrire votre réponse ici d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi ? écrire votre réponse ici t'es bon en quoi, t'es mauvais en quoi à l'école ? écrire votre réponse ici t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie ? écrire votre réponse ici hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde ? écrire votre réponse ici | |
- DERRIÈRE LE MIROIR MAGIQUE :
< pseudo prénom Memoriam/Gaëlle âge 22 ans comment avez vous connu amortentia ?Je passais par PRD pour une demande pour un PV et ma souris m'a mené vers Amortentia ** présence Un peu tout les jours malgré mon emploi du temps rpgique chargé. des commentaires sur le forum ? Il est juste trop magnifique. Le contexte, les scénarios, les liens... Tout. Sérieusement, je crois que je suis tombée amoureuse d'Amortentia (Il porte bien son nom, tiens x) ) et d'Emory aussi. avatar Colin Morgan autre chose ? tu veux un parrain, une marraine ? ça serait peut-être utile, en effet ^^"
Dernière édition par Emory A. Delaney le Sam 18 Jan - 15:57, édité 5 fois |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 22:37 | |
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titre citation Je suis né dans la ferme familiale en Ecosse. Nous vivions dans un village reculé où les gens se connaissaient entre eux pour la plupart. Il n’était pas rare de recevoir la visite des différents habitants plusieurs fois par semaine. Pour eux, nous étions une famille tout à fait normale. Ce qu’ils ignoraient, c’était que j’étais un sorcier. C’était notre secret. « Tu dois me promettre de rester prudent avec tes pouvoir, Ezekiel. La plupart des gens ne sont pas comme ta mère. Ils ne comprendraient pas. » Je devais avoir huit ans quand il m’a fait faire cette promesse et je compris très vite que c’était la règle à respecter qu’importe le prix. Généralement, j’aidais mes parents à la ferme, je m’occupais des animaux et ensuite, je partais dans ma cachette secrète pour maîtriser mes pouvoirs. Tous les dimanches, je disparaissais quelques heures pour revenir avec un grand sourire. Mes parents savaient pertinemment où j’étais. Et même, s’ils ne faisaient pas réellement partie du même monde que moi… Je sentais qu’ils étaient fiers, qu’ils avaient compris que j’étais apte à faire de grandes choses. Ma mère qui avait des dons en médecine m’inculqua les bases moldus. Les soins magiques, eux, je les apprenais dans des vieux grimoires que mon géniteur avait reçus de son père et ainsi de suite. Bien vite, je fus passionné par tout ça et il m’arrivait de me rendre au village voisin pour soigner les malades et les blessés légers. J’affectionnais cette sensation d’être utile aux autres, de voir leurs expressions soulagées. ****** J’observai toujours le hibou, qui avait pris possession de mon armoire, avec stupéfaction. Le volatile avait déposé une lettre sur mon lit, mais je ne l’avais toujours pas ouverte. Si un jour, on m’avait dit qu’un hibou m’apporterait le courrier, déjà si rare à notre époque, je crois que j’aurais éclaté de rire. Pourtant, il était bien là. J’avais beau me frotter les yeux. Il était toujours là à manger ce que j’avais mis sur l’armoire. Mes yeux retombèrent sur l’enveloppe et je me décidai à la lire, attiré par le symbole étrange à son dos. Je décachetai le tout et découvrit l’existence de l’Ecole de Sorcellerie Poudlard. Alors, je n’étais pas le seul. Il y en avait d’autres et cette école existait pour me le prouver. Fébrile, je rangeai la si précieuse lettre dans une commode tout en regardant le rapace quittait la chaleur de mon foyer. Au même moment, j’entendis la voix de ma mère « Mon chéri, ton père a besoin de toi à la ferme. Viens l’aider, s’il te plait » Je répondis par l’affirmative tout en pensant que le jour de mes treize ans… Je vivrai ailleurs. Mon cœur se serra à cette pensée. J’allais quitter le nid bien plus tôt que prévu. ****** Poudlard promettait nombre de choses. Je sentais que ma vie allait changer dans ce château. Tout semblait sorti d’un autre univers et bientôt, je considérai cette école comme ma seconde maison. J’envoyai régulièrement des lettres à mes parents pour les tenir au courant de ma vie. Je tâchai d’envoyer le hibou tard le soir pour qu’il arrive en pleine nuit dans la maison familiale. Histoire que personne ne surprenne cet étrange manège et qu’il arrive malheur à mes géniteurs. Je fus réparti à Poufsouffle où je m’entendis rapidement avec tous les étudiants de mon année ainsi que les plus âgés. Il y avait toujours une bonne ambiance qui régnait dans la salle commune. J’étais le premier à lancer des blagues quand l’atmosphère semblait plus sombre. Nous aurions, tout le temps, une fois adultes de nous morfondre, de repenser à notre adolescence et à toutes ces choses qu’on aurait jamais pu faire. Du moins, c’est ce que je croyais. J’étais loin de m’imaginer que dans une autre école, de sombres plans se mettaient en place pour plonger le monde dans le chaos. La guerre… Tout le monde connaissait ce mot. Tout le monde savait que c’était synonyme de peur, de désespoir, de morts… d’horreur. Ça paraissait tellement irréaliste. Et pourtant… C’était notre destin à tous. ****** Tout commença à Beauxbâtons. Territoire neutre dans cette guerre. Il fut mis à feu et à sang par les Slaves. Ils n’étaient coupables de rien, juste d’être indécis. J’ai rencontré Briséis pendant cette bataille. On n’avait pas prononcé un mot que déjà, la jeune fille avait gagné mon respect. Une princesse guerrière, voilà à quoi je pouvais la comparer. Elle n’avait pas de pitié pour ses ennemis et les dragons qu’elle contrôlait sans donner à cœur joie. Heureusement qu’elle était dans le même camp que moi. « Je ne te connais pas mais, sache que tu m’as impressionné pendant la bataille de Beauxbâtons. Dommage que tout le monde ne sache pas se battre comme toi. » Grâce à elle, j’ai pu connaître mon premier vol sur un dragon. Une expérience plutôt unique et inoubliable en son genre. Il n’était pas rare qu’on se voit régulièrement ensuite. On était devenus très proches, au point que les gens pensaient que notre relation dépassait le cadre de l’amitié. Il n’en était rien… ça n’a jamais été que de l’amitié doublé d’une admiration sans faille. Une femme courageuse et inébranlable. « Comment ça elle a disparue ?! » Je n’arrivai pas à croire cette nouvelle. Briséis… Ma Briséis avait été capturé par l’ennemi. A l’heure qu’il est, elle devait subir des tortures toutes plus horribles que les autres. Un destin qu’elle n’aurait jamais dû connaître… J’avais ordonné des recherches toutes plus poussés les unes que les autres. Rien, elles ne donnaient jamais rien à mon plus grand désespoir. J’avais perdu ma moitié. Le jour de sa disparition, je me rappelle avoir très mal dormi. Mes pensées étaient uniquement dirigées vers ma meilleure amie. Je maudissais mon impuissance de ne pas avoir su la retrouver. Ce jour-là, une partie de moi mourut et je fis la promesse de retrouver le seul et unique responsable de tout ça… et de le tuer. Cet homme ne méritait pas ma clémence. Par la mort d’Aleksander, je vengerai celle de la jeune femme. ****** A force de voir la violence augmenter encore et encore, l’idée de faire quelque chose de concret pour défendre Poudlard germa dans mon esprit. J’étais tellement sûr de mon coup que j’eus du mal à trouver le sommeil pendant un bon moment, trop excité par cette perspective. Il fallait montrer à nos ennemis qu’on n’avait pas peur d’eux, qu’on pouvait riposter à n’importe laquelle de leurs attaques. S’ils créaient des armées de leurs côtés, j’avais décidé que je ne resterai pas les regarder sans rien faire. C’est ainsi qu’après avoir tergiversé pendant des heures avec moi-même, je me décidai à en parler avec quelques personnes dont Nathaniel. Je m’étais toujours bien entendu avec lui, dès les premiers jours et j’avais envie de lui réserver un poste spécial en gage de mon amitié. « J’ai l’intention de créer un groupe pour lutter contre nos ennemis. Un groupe exclusivement composé des gens de notre maison parce que c’est avec vous que j’ai vécu le plus de choses et ça me ferai énormément de mal de vous voir tous disparaître sans que je n’ai pu faire quoique ce soit. » « Tu vas finir par me faire pleurer, Zeke, avec ton monologue. » Se moqua mon interlocuteur en me regardant droit dans les yeux. Je souris à sa remarque. C’est vrai que je tombais un peu dans le mélo, là. Je repris mes esprits, inspira un bon coup et déclara solennellement. « J’aimerais que tu sois mon second en quelque sorte. Le vice-président des Soldats du Sable. Je te fais confiance et je suis sûr qu’on pourra aller très loin ensemble. » Pendant un long moment, il resta silencieux avant d’acquiescer. La légende des Soldats du Sable pouvait commencer. ****** « Tu sais, Isadora, je t’ai toujours considéré comme l’une des filles les plus intelligentes que je connaisse. Tu sais tout sur tout et je t’admire pour ça… » La jeune fille resta me regarder déblatérer un nombre incalculable de compliments avant de rigoler doucement, me surprenant. Je ne comprenais pas ce que j’avais dit de drôle mais, la réponse vient bien vite « Tu n’as pas besoin de dire autant de jolies choses à mon sujet pour me demander quelque chose, tu sais. Je serai ravie de t’aider à augmenter ton savoir. » J’aimais beaucoup la jolie rousse. Je me rappelle la première fois où elle a débarqué à Poudlard dans notre maison. Elle semblait un peu perdue. Je l’ai pris sous mon aile et une amitié se forma très vite entre nous. A la manière de Briséis, cette fille avait toute mon admiration mais pas du tout pour les mêmes raisons. C’était sa mémoire phénoménale, son intelligence que j’étais sous le charme. Dès que j’avais besoin d’un détail, d’informations confidentielles ou de quoique ce soit d’autres… Isadora avait réponse à toutes mes interrogations. C’était une bibliothèque vivante à elle toute seule et ses notes dans les différentes matières le prouvaient aisément. Je m’étais attaché à elle et pendant la guerre, je fus encore plus protecteur qu’auparavant envers sa personne. La perdre n’était pas envisageable. « Isa, il faut que tu fuies. Ils viennent te chercher. Je t’en prie, pars ! Je ne vois pas que tu meures. Ils ont perdu la tête. Ne les laisse pas te capturer… » La guerre était finie mais, l’horreur continuait encore et toujours. Les survivants, gagnés par la peur, avaient décidé de faire une chasse aux potentiels mages noirs et aux soi-disant alliés de Durmstrang. Je me savais en sécurité mais, Isa’ ne l’était pas. Bien au contraire. J’avais appris qu’un groupe viendrait la chercher le lendemain pour l’exécuter. Le climat qui avait découlé du conflit de l’école russe et de Poudlard était encore pire que pendant la guerre. Je ne voulais pas entendre les cris de souffrance de la jeune femme quand elle serait amenée sur le bûcher ou à cause de je ne sais quelles tortures. Pourtant, malgré tous mes efforts, malgré toutes mes supplications… Je voyais bien que mon amie n’était pas décidée à s’en aller, à disparaître. Elle connaissait le sort qui l’attendait. Elle n’avait pas peur. Comprenant que tout ceci serait vain, je la serrai dans mes bras une dernière fois avant de lui promettre qu’on se retrouverait dans une autre vie. ******
Dernière édition par Emory A. Delaney le Lun 20 Jan - 11:39, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 22:37 | |
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titre citation « Monsieur, vous avez pu aller voir votre fils en Argentine ? » Mon interlocuteur me regardait avec un grand sourire avant d’acquiescer. Il m’annonça qu’il était devenu dragonnier comme il en avait toujours rêvé. Immédiatement, je m’imaginai, adulte, en train de chevaucher un de ces immenses dragons. Ça devait être tellement bien comme travail… Je me retournai vers ma mère qui s’affairait derrière le bar avant de lui demander avec tout le sérieux dont j’étais capable du haut de mes sept ans. « Maman, tu crois que je pourrais dresser des dragons, moi aussi ? Tu penses qu’on peut en adopter un pour que je m’entraîne ? » Aussitôt, des éclats de rires suivirent ma réplique innocente. J’adorais écouter les récits de tous ces sorciers qui s’arrêtaient au Trois balais. Je rêvais d’une vie aussi grandiose, aussi palpitante. Je partais dans mes mondes imaginaires petit à petit. J’aimais bien l’ambiance dans le bar familial. Ça respirait la magie, l’amour, la joie et tous ces trucs qui vous collent un sourire perpétuel sur le visage. C’était toujours comme ça chez les Delaney. Une envie de faire plaisir et une tolérance à toutes épreuves. Alors que je continuai à écouter les sorciers et sorcières en essayant de mémoriser tout ce qu’ils me racontaient avec enthousiasme, ma mère me rappela que je n’étais pas dispensé de mes entraînements de magie. Les bases pour éviter que je fasse sauter un truc dans la maison ou que j’assomme quelqu’un avec un énorme bouquin à cause d’un sortilège de lévitation accidentelle. Toutes ces manifestations magiques que j’étais très loin de maîtriser en somme. La sécurité avant tout et c’est avec une moue ennuyé que je parti à l’étage. ****** Un bruit de chute alerta ma mère alors que le bar était exceptionnellement fermé. D’une nature inquiète, elle ne mit pas longtemps à appeler mon père. Un mauvais pressentiment avait pris possession de son corps. Intuition qui s’avéra juste quand elle me vite, allongé dans le jardin, mon balai étalé plus loin. C’était de ma faute. J’avais supplié mes parents de m’acheter un balai à mes dix ans, après avoir vu un match spectaculaire de Quidditch. J’étais un passionné de ce sport. Je recevais même un magazine spécialisé dans le domaine. Alors, forcément, j’avais voulu tester le vol sur un balai. Un ami de mes parents était venu exprès me donner des conseils. J’avais écouté attentivement ses paroles et pourtant… Ce qui devait être une journée inoubliable se termina à l’hôpital Sainte-Mangouste. Les médicomages se disaient confiants même si ils parlaient de séquelles. « On aurait jamais dû le laisser monter sur ce maudit balai… Il aurait appris à Poudlard, de toute manière… Je m’en veux tellement… » Ma mère avait horreur de ce sport. Elle le trouvait dangereux et cataloguait tous les joueurs d’inconscients en mal de sensations fortes. Ce n’était pas mon accident qui allait la faire changer d’avis. C’était une femme aussi têtue qu’un hypogriffe. Quand elle ne voulait pas faire quelque chose, elle ne le faisait pas. Le genre de personne à rester camper sur ses positions quoiqu’il se passe. Je sorti de la clinique quelques jours plus tard. Je suivais toujours le Quidditch mais, monter sur un balai me donner des sueurs froides. J’avais mis quelques temps à faire le deuil de mon souhait de devenir un joueur célèbre. Ce n’était plus possible. Je trouverai autre chose. ****** J’avais treize ans. La neige commençait à fondre sous les rayons du soleil. J’aimais bien l’hiver. A vrai dire, j’aimais la plupart des saisons mais, la dernière saison de l’année me semblait mystérieuse, féerique. Je devais être le seul à penser ça mais, qu’importe. J’avais prévenu mes parents que j’allais faire un tour et c’est là que je la vis. Je me souviens de la sensation de mon cœur en chute libre quand je la vis. . Briséis. Le phénomène des âmes-sœurs, vous connaissez ? Et bien là, c’était exactement pareil. Je n’avais jamais vu cette fille auparavant et pourtant, j’avais l’impression de la connaître depuis toujours. En même temps, rien de plus normal quand on savait à quel point on était liés dans une vie antérieure. Elle semblait perdue, effrayée… Comme un petit animal égaré. N’écoutant que mon cœur, je m’approchai de la jeune fille. « Je m’appelle Emory. Je ne veux pas te faire peur, et encore moins te faire mal… Tu veux bien venir avec moi ? Je n’habite pas très loin d’ici et tu risques d’attraper froid en restant ici » Je dû m’armer de patience avant que la dénommée Echo n’accepte de me suivre. A ce moment, j’ignorais à quel point elle allait m’être précieuse… Mes parents ne posèrent pas beaucoup de questions en me voyant revenir avec quelqu’un. Ils savaient que je me souvenais nettement de ma vie passée. Aussi, pensèrent-ils, que cette demoiselle avait un lien avec l’homme que j’étais quatre cent ans auparavant. Il n’y avait qu’à voir comment je me comportais avec elle. Les débuts furent difficiles. Je ne voulais pas la brusquer alors, j’attendais encore et toujours qu’elle s’ouvre un peu. Je me rappelle lui avoir offert une peluche. Un dragon qu’elle avait immédiatement adoré. C’était déjà un bon point. J’étais plutôt content de mon coup. Plus les jours passaient, puis les mois… plus j’en apprenais sur elle. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle n’avait pas eu la vie facile. Tout ceci me révoltait. Je ne sais pas si c’était à cause du lien qui datait de très longtemps ou simplement, à cause des traitements qu’elle a subie… mais une colère sourde bouillait en moi et j’étais persuadé que si j’avais un des responsables de son état devant moi… Je l’aurais pulvérisé. A cet instant, je me fis la promesse de protéger Echo jusqu’au bout. Je serai son gardien. ****** Il y a certaines amitiés qui commencent étrangement. Ce fut le cas pour Garrett. Tellement différent de sa vie antérieure. Il a débarqué dans le compartiment qu’Echo et moi avions pris, espérant secrètement n’avoir aucune visite. La blague. J’aurais dû y penser à deux fois avant de faire une prière aussi stupide. Je suis dans le Poudlard Express, futur première année. Dans la logique des choses, première année veut dire étudiant paumé qui ne connait personne alors, le but, c’est de se faire des amis dès le départ. Après, je ne sais pas si c’était le but de ce garçon en venant ici mais, après avoir eu la même sensation que quand j’ai rencontré Echo… Moi, j’étais décidé à l’avoir pour ami ou du moins, connaissance amicale. « Je t’accorde la permission de rester dans notre compartiment malgré le fait que tu as terrorisé mon chat en débarquant comme une furie. Je m’appelle Emory et voici, Echo. Enchanté ! » Je suivis ma tirade d’un grand sourire. Au mois, j’avais fait original comme entrée en matière. Pendant tout le trajet, on parla de tout et de rien. Une amitié venait de naître pour le pire et le meilleur. Je sentais à l’intérieur de moi-même que le dénommé Garrett n’avait pas eu un rôle très positif dans la guerre d’il y a 400 ans, mais je m’en fichais. Je n’avais pas besoin des intuitions d’Ezekiel pour savoir si oui ou non je devais haïr ou apprécier cette personne. Je le faisais moi-même. « Ça te dérangerais à ce point d’arrêter de faire chier les gens, Garrett ? » L’interpellé leva les yeux vers moi, une lueur d’agacement dans les yeux. « Par les gens, tu veux dire Echo, non ? » Echo ou le sujet sensible par excellence. J’étais du genre surprotecteur avec elle et je ne supportais pas le comportement de Gary envers elle. J’avais beau lui faire des remarques à ce sujet. Rien n’y changeait. A croire que c’était quelque chose avec lequel il ne pouvait pas lutter, à croire qu’il se sentait obligé de l’emmerder. Il ignore tout du passé d’Echo, je suis sûr qu’il ne se rend même pas compte qu’en l’attaquant comme ça… Il lui rappelle des mauvais souvenirs. Je soupirai… Était-ce moi qui en faisais trop ? C’est vrai que j’avais tendance à voir le mal partout dès qu’on s’approchait de la poufsouffle, mais la réputation de coureur du blond le précédait. Je ne tenais pas à ce qu’il lui brise le cœur. « Tu sais, elle a vécu des trucs difficiles pendant son enfance. Alors essaye de faire attention. Je la considère comme ma sœur. Comme la sœur que je n’ai jamais eue. C’est tout. » Il lança un « tu t’inquiètes trop » à mon encontre mais, je restais sur ma position. Tout en ayant conscient que quoique je fasse, quoique je dise… Rien ne changerait. Il faudrait que ce soit Echo qui l’envoie promener pour que ça marche… et ça, ça ne risquait pas d’arriver. ****** « Je ne veux pas qu’une nouvelle guerre, calquée sur celle d’il y a 400 ans, éclate. Il faut qu’on trouve quelque chose pour lutter contre cette énorme épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Et je crois que je vais avoir de besoin de toi, Cordélia. » Cette idée me trottait dans la tête depuis un bon moment. Cette peur viscérale de voir la quasi-totalité de l’école s’entretuer pour une guerre qui n’avait jamais été la nôtre. Ce serait juste un moyen pour l’autre camp de se venger. Je devais être l’une des rares personnes à être conscient de ça. Certains élèves de Poudlard n’avaient même pas encore réalisés qu’ils n’étaient pas vraiment seuls dans leurs têtes. Il fallait que je parle de mes craintes à quelqu’un et la Serpentarde semblait le choix le plus judicieux. J’aimais beaucoup la brune. Je voulais la connaître dès que je l’ai vue. Ce qui n’était pas son cas à elle, vu le nombre de fois où elle m’avait rembarrée. Autant dire que j’étais loin de m’imaginer qu’on serait aussi proches quelques mois plus tard. La jeune femme sembla réfléchir à la proposition pendant un long moment. Quand elle ouvrit la bouche, Cordélia me proposa de créer un groupe. « Evidemment, on ne choisirait que des gens ayant conscience de leurs vies antérieurs. Ce serait trop long à expliquer dans le cas contraire. Il faudrait choisir les membres nous-même. » Je l’écoutais, complètement fasciné. A croire qu’elle avait déjà réfléchi à ce qu’impliquait le retour de nos ancêtres et qu’elle n’attendait qu’un signe pour m’en parler. « Et ce merveilleux projet où on va jouer les professeurs, t’as un nom qui claque en tête ? » La réponse fusa immédiatement « Les sombres phénix » Professeur… Voilà une carrière à laquelle je n’avais pas pensé. Je me vois bien dans le rôle, d’ailleurs. J’étais assommé, complètement sous le choc. Quel genre d’amie pouvait vous demander un truc pareil ? « Tu devras me tuer avant que la directrice prenne possession de mon corps ou ce sera Echo qui en paiera le prix. » C’était soit Echo, soit Cordélia. Soit je tuais la Serpentarde, soit… Non, en fait, je n’arrivais même pas imaginer tout ce qu’endurerait Echo dans le cas contraire. Ce n’était pas à cause que mon ancêtre s’appelait Ezekiel Morgenstern qu’il fallait me confier la vie des gens. C’était lui le héros. Moi, je n’étais qu’un étudiant qui avait eu la bonne idée de naître quatre cent ans après lui, ignorant qu’une vieille folle avait jeté un sort ancestrale sur le monde entier. J’avais remarqué que Garrett n’arrêtait pas de me fixer, interloqué. Heureusement pour moi, il ne chercha pas à savoir ce que c’était. Du moins, pas pour le moment. Manquerait plus que lui aussi vienne m’annoncer qu’il préférait que je le tue plutôt que se faire contrôler par ce mégalo d’Aleksander. Quel bordel… J’avais plus qu’à prier les dieux de toutes les religions pour que cette guerre n’ait jamais lieu. Je ne tenais pas avoir le sang de ma meilleure amie sur les mains et je tenais encore moins à ce que mon sœur de cœur subisse les pires tortures. Ce serait bien trop dur à supporter. L’ambiance était excellente dans la salle commune mais, je n’arrivais pas à profiter de celle-ci. Sans un mot, je parti directement dans le dortoir, priant pour que personne ne vienne avant que je ne sois profondément endormi. ****** Encore une fois, j’étais impuissant face à la détresse d’Echo. La raison ? Viola. Une Serpentarde dont le passe-temps préféré était de maltraiter la Poufsouffle. Entre elle et moi, dès le premier regard échangé, on savait que ça ne collerait jamais. On était des ennemis ancestraux, après tout. De toute manière, la verte et argent ne faisait aucun effort pour que j’ai un avis moins négatif sur elle. Dès notre première année, le ton fut donné. Et bientôt, plus personne à l’école ne pouvait ignorer nos rencontres explosives. A moins de vivre dans une grotte adjacente à Poudlard. Je n’arrive pas à croire qu’elle ait réussi à se faire des amis. Ils devaient être sacrément tordus ou sacrément aveugle pour accepter de la suivre. Je n’aimais pas vraiment les conflits. J’avais plutôt tendance à arranger les choses mais, avec la brune… Il était hors de question que j’agite le drapeau blanc. Elle était décidée à me pourrir la vie. Grand bien lui fasse… Mais même les gentils finissent par montrer un côté sombre quand on les cherche trop. J’ai fait une énorme connerie. Cette phrase tournait en boucle dans ma tête. J’étais encore abasourdi par ce qui s’était passé. « Eh, les mecs ! Vous êtes au courant de la dernière rumeur qui court à Poudlard ? Un truc de grand malade… » A l’entente de la phrase, mon cœur s’arrêta. Ce n’était pas possible, ils ne pouvaient pas être au courant. On avait été discret, pourtant… Des sueurs froides coulèrent dans mon dos alors que j’écoutai attentivement la commère des Gryffondor, au point d’attirer le regard suspicieux de mon meilleur ami sur moi. En même temps, quoi de plus normal ? Je n’étais pas vraiment connu pour ma passion pour les potins. Sauf que là, ma vie dépendait de ce qui allait sortir de la bouche de ce troisième année. Après un long silence, il parla d’un énième couple qui s’était formé et d’autres trucs complètement inutiles. Je m’autorisai à respirer en me tournant vers Garrett avec un immense sourire angélique. Je me promis à moi-même de ne jamais ébruiter le fait que j’avais couché avec cette vipère brune. Jamais. Ce serait l’apocalypse si ça venait à se savoir.
Dernière édition par Emory A. Delaney le Sam 18 Jan - 18:11, édité 11 fois |
| | | AVATAR : evan peters. PARCHEMINS : 437 AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas. PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant. PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.
Jagger D. YoungVIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 22:40 | |
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| | | AVATAR : ∞ emilia (lovely) clarke. PARCHEMINS : 935 AMORTENTIA : ∞ noah ; je m'enivre à deviner ton étoile au ciel, ton sourire au bord des larmes. PATRONUS : ∞ dragon. PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.
V. Ēchṓ Laertiadisshe's like the wind.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 22:40 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 22:46 | |
| ça, c'est de l'accueil ou je m'y connais pas x) Non mais ce PV, il était forcément pour moi. En plus avec Colin Morgan et tout ces liens de grands malades Je suis tombé amoureuse d'Emory. Il est topissime Brefouille, je vais tâcher d'être à la hauteur de vos attentes (qui semblent énorme xD) Je vais gérer. Bon, après, c'est pas sûr que je lance la machine ce soir... Parce que là, on approche de minuit et ça risque d'être un sacré massacre ^^" Mercii encoooore !! Vous me motivez ** |
| | | AVATAR : ∞ emilia (lovely) clarke. PARCHEMINS : 935 AMORTENTIA : ∞ noah ; je m'enivre à deviner ton étoile au ciel, ton sourire au bord des larmes. PATRONUS : ∞ dragon. PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.
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TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 22:49 | |
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| | | PARCHEMINS : 61 AMORTENTIA : Célibataire, mais mon coeur bat pour quelqu'un PATRONUS : Un panda PARTICULARITE(S) : Ta joie de vivre, ton optimisme et ta capacité à remonter le moral avec quelques farces ...
Dylan FisherI'LL WIN YOU WITH MY RAINBOW KISSES AND UNICORNS STICKERS.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 13 Jan - 23:08 | |
| Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche :) Réserve moi un lien surtout, c'est certain qu'on se trouvera quelque chose |
| | | PARCHEMINS : 555 AMORTENTIA : L'amour? ça existe ça? PATRONUS : Un apaloosa PARTICULARITE(S) : Emmerdeur de première classe. Flemmard de seconde zone. Fêtard invétéré.
Ciaràn O. MaxwellJe suis un gros vilain pas beau, lancez-moi tous des cailloux! Bouh bouh moi!
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 9:06 | |
| EMOOOOOOOOOOOOOOORY J'aime ce perso (en fait c'est Echo qui nous a fait aimer ce perso vu qu'elle attendait son Emory avec trop d'impatience ) Donc oui, oui je confirme, tu étais très attendu mais je ne peux que plussoyer cet avatar et ce choix de pv ! Alors welcome here et réserve moi un lien |
| | | PARCHEMINS : 44 AMORTENTIA : elle n'y attache pas grande importante. du moins, la plupart du temps. PATRONUS : un cougar. PARTICULARITE(S) : ancienne dirigeante de la marche de l'est et des eurus de feu ; actuelle présidente du pouvoir des cinq. la torture, c'était sa plus proche compagne, et elle ne semble pas envisager de la délaisser.
Viola N. DyfrigFRANKLY MY DEAR, I DON'T GIVE A DAMN.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 9:52 | |
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| | | AVATAR : Emma Watson PARCHEMINS : 451 AMORTENTIA : seeley, qu'elle doit protéger d'elle-même PATRONUS : un papillon, symbole de transformation (tiens, tiens) PARTICULARITE(S) : lycanthropie, son fardeau
Peah Y. GreyjoyWE INSIST THAT IGNORANCE KILLED THE CAT.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 12:17 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 14:40 | |
| En même temps, je vous comprends parce qu'Emory, il claque ** C'est presque étonnant qu'il soit toujours libre... Enfin, je vais pas m'en plaindre. Au moins, je peux tenter ma chance Pour les réservations de liens, c'est sans problème. Je vous garde une place au chaud. Je vais finir par crouler sous les liens mais, c'est pas grave... J'aime ça (Avec des rps qui font évoluer le truc, c'est encore mieux x) ) VIOLAAAAAAAAAAAAAAAAAA Il déchire trop notre lien en prime. C'est trop l'éclate un truc pareil ** Brefouille, j'arrête là x) En fait, le Greyjoy... C'est en référence à Game of Thrones ? Bref. MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII tout le monde ! Je vous aime déjà, tiens Je vais tout donner pour cette présentation de fou ** Votre forum, il mérite de durer super longtemps (Le temps qu'on case Viola et Emory... et dieu seul sait que c'est carrément mission impossible x) ) Au passage, c'est possible de réserver ce cher Emory ? Je l'aime tellement... |
| | | AVATAR : ∞ emilia (lovely) clarke. PARCHEMINS : 935 AMORTENTIA : ∞ noah ; je m'enivre à deviner ton étoile au ciel, ton sourire au bord des larmes. PATRONUS : ∞ dragon. PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.
V. Ēchṓ Laertiadisshe's like the wind.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 15:37 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 15:43 | |
| C'est pas bien la jalousie, moi je dis u_u Et puis, t'es l'Echo adorée d'Emory, la seule et unique hein. Alors c'est tout pourri d'être jalouse comme ça. A croire que tu lui fais pas confiance.... Que c'est moche u_u
J'avoue que pour une famille toute pourrie, les Greyjoy, ils font fort. Surtout le fils qui va finir en pièce détaché avec ce taré si ça continue. M'enfin, il avait pas qu'à trahir les Stark, na !
Brefouille. Merci de me réserver le scénario, c'est super sympa ** Je te réserve un rp de la mort qui tue pour me faire pardonner quand je serais validée (enfin, si j'ai pas fait un HS avec le personnage avant xDDD) |
| | | AVATAR : adelaïde (hot) kane. PARCHEMINS : 190 AMORTENTIA : cercei est l'amour de sa vie, c'est tout. (et ce gars là...) PATRONUS : un phénix. PARTICULARITE(S) : brightest witch of her time | animagus sombre louve | leader des sombres phénix | détective.
M. Cordélia LysaghtTRUST MY RAGE
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 15:52 | |
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| | | PARCHEMINS : 555 AMORTENTIA : L'amour? ça existe ça? PATRONUS : Un apaloosa PARTICULARITE(S) : Emmerdeur de première classe. Flemmard de seconde zone. Fêtard invétéré.
Ciaràn O. MaxwellJe suis un gros vilain pas beau, lancez-moi tous des cailloux! Bouh bouh moi!
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 16:07 | |
| Comment elle est trop jalouuuuuuuse |
| | | AVATAR : adelaïde (hot) kane. PARCHEMINS : 190 AMORTENTIA : cercei est l'amour de sa vie, c'est tout. (et ce gars là...) PATRONUS : un phénix. PARTICULARITE(S) : brightest witch of her time | animagus sombre louve | leader des sombres phénix | détective.
M. Cordélia LysaghtTRUST MY RAGE
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 16:11 | |
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| | | PARCHEMINS : 555 AMORTENTIA : L'amour? ça existe ça? PATRONUS : Un apaloosa PARTICULARITE(S) : Emmerdeur de première classe. Flemmard de seconde zone. Fêtard invétéré.
Ciaràn O. MaxwellJe suis un gros vilain pas beau, lancez-moi tous des cailloux! Bouh bouh moi!
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 14 Jan - 16:26 | |
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Dernière édition par Ciaràn O. Maxwell le Mer 15 Jan - 22:45, édité 1 fois |
| | | PARCHEMINS : 134 AMORTENTIA : un mélange de fruit d'été comme le melon, l'abricot et la pastèque et de treize dessert, c'est bizarre, mais changeant, ça me définit parfaitement, sinon autant dire qu'elle est fleure bleu la petite ! PATRONUS : Ornyx PARTICULARITE(S) : doué en potion • Empathe
J. Gwaine CymruSmiles can be catching.
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mer 15 Jan - 22:13 | |
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| | | InvitéInvité
| | | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Ven 17 Jan - 13:08 | |
| Garett Adoré !!! J'ai cru que tu allais jamais me souhaiter la bienvenue u_u ça aurait été indigne du meilleur ami d'Emory, moi je dis. M'enfin, l'erreur est réparé, tu es là ** |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Ven 17 Jan - 16:31 | |
| trop de feeels par ici dis donc en tout cas bienvenue ici et bon courage pour ta fiche y'a une super ambiance dans l'coin donc je suis certaine que tu vas vite t'y plaire |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Ven 17 Jan - 20:19 | |
| C'est l'effet Emory, c'est pour ça x) Et en effet, je m'y plais déjà. Il est juste énorme ce forum Par contre, très chères admins adorées, j'essaye de finir ma fiche pour Lundi... mais, sinon, ce serait possible d'avoir un délai ? Parce que j'y tiens à mon Emory adoré... ** |
| | | PARCHEMINS : 278 AMORTENTIA : COOOOOOORDELIA (achille aussi, mais cordélia quoi.) PATRONUS : un cygne. PARTICULARITE(S) : badass.
H. Cercei StonemDARK SISSI, BITCH.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Lun 20 Jan - 19:53 | |
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] Mar 21 Jan - 19:26 | |
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| Sujet: Re: Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] | |
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| | | | Emory - Il n'y a pas de fatalité, ni de destin. Il n'y a que des choix bons ou mauvais. [40%] | |
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