S’appelait alors à l’époque Ménécée Theobald Valfroy. • Etait élève de Beauxbâtons, fût un temps, chez les Lys. • Nourrissait une passion pour la lecture, et passait certaines nuits entières à lire des bouquins sur tout et n’importe quoi. • S’avérait être un puits de connaissances, un grand stratège, un bon manipulateur, parlait couramment six langues (ses parents voyageant tous les ans), et calculait n’importe quoi avec une vitesse déconcertante. • S’intéressait plus que raison au travail des moldus. • Avait du mal avec les rapports sociaux, n’a jamais trouvé aucune satisfaction à être entouré d’autrui. • Ne s’est jamais intéressé à personne, non pas par égocentrisme, mais par pur désintérêt, n’en voyant aucunement l’utilité. • Etait lui-même persuadé d’avoir un problème émotionnel, sentant bien ne pas réagir comme ses pairs. • Se comportait en individualiste affirmé, et n’avait pas peur de dire quand on lui posait la question n’avoir aucun ami. • Paradoxalement, ne souffrait absolument pas de solitude, préférant au contraire éviter le plus possible la présence des autres élèves qu’il a toujours jugés comme moins intelligents que lui. • N’a jamais été timide pour autant, n’ayant pas même sa langue dans sa poche. • N’a jamais eu aucune relation amoureuse, n’a même jamais ressenti d’amour pour personne. A l’inverse des familles aux mariages arrangés, son père l’a toujours laissé tranquille de ce côté là. • Fils d’un pseudo alchimiste et d’une pseudo enchanteresse, sa famille a toujours été perçue comme excentrique, et cette réputation l’a suivi à son arrivée au château. • Se sentait toujours obligé de corriger quelqu’un qui faisait une faute, de faire la leçon, ou d’étaler sa science, ce qui avait le don d’agacer à peu près tout le monde. • A manqué de se faire agresser plusieurs fois à cause de son comportement hautain, mais a toujours su trouver une échappatoire, conscient de n’avoir aucune chance dans un duel avec qui que ce soit. • A toujours eu tendance à tout rationnaliser, trouvant son bonheur dans les sciences en tous genres, refusant de croire aux superstitions et aux légendes infondées. • Etait réellement mauvais dans tout ce qui touchait aux arts, ou dans tout ce qui demandait un minimum d’interprétation, ou tout ce qui ne pouvait pas rationnellement s’expliquer. • N’a jamais réussi à monter à cheval ni sur un balais ou à lancer un sort puissant, ce qui a toujours su le frustrer grandement, étant pourtant un élève excellant sur le plan de la théorie. • Aspirait à devenir un grand théoricien de la magie. • Ne s’est pas senti une seule seconde concerné par la guerre qui s’immisçait lentement en Europe au point où il n’en avait même pas peur, jusqu’à l’attaque de son école qui l’a forcé à réagir. • Comptait rester neutre et ne pas s’impliquer dans des histoires qui ne le concernaient pas, mais a été forcé de choisir un camp. • A donc été contraint de rejoindre Poudlard en vue de retrouver sa cousine, scolarisée là-bas, et ne pouvant pas cautionner les actes des slaves. • A somme toute réussi à faire preuve de témérité pendant la guerre, y compris lorsqu’on menaça se s’en prendre à sa cousine, en se proposant comme « espion » pour Durmstrang, et jouant un double-jeu, ce qui a eu pour effet de surprendre bien des gens, tout le monde le croyant être un lâche (y compris lui-même). • A pu, miraculeusement, échapper à la mort durant la guerre, et durant la purge. • Même s’il se pensait insensible, la perte de sa cousine durant la purge fut pour lui un grand choc émotionnel, étant la seule personne dont il eut jamais été relativement proche. • A pu trouver une place dans le ministère une dizaine d’années après la fin des évènements, et a eu une longévité surprenante, bien que finissant seul sans même avoir un seul enfant. • Ne s’étant jamais vraiment posé la question du bonheur, il considère, malgré les évènements, avoir eu une vie plutôt heureuse.

Possède une personnalité presque similaire à celle de son passé. • A du mal à comprendre les réactions d’autrui, et ce depuis tout petit, prenant un recul impressionnant sur toutes choses. • Se moque de ce que pensent les autres de lui, et par la même est dépourvu de tout altruisme ou de toute compassion. • Se faisant, est complètement égoïste et individualiste, non par pure méchanceté, il s’agit juste d’un trait dominant dans sa personnalité. • Moqué par la plupart des élèves de l’école à cause de son comportement, subit des brimades à longueur de temps. • Est absolument lâche et fait tout pour éviter les conflits quand ils se présentent. • Est plus attaché à sa sœur de seize ans qu’il ne veut l’admettre. • Est complètement indifférent du sort des autres en général, tant que ça ne le concerne pas. • Se moque par la même occasion de tous les ragots et de tous les potins qui circulent dans le château. • Paradoxalement est prodigue de bons conseils lorsqu’on lui en demande. • Est d’une franchise extrême, et n’hésitera pas à vous dire que vous avez une tête de cheval si vous en avez une, ce qui lui attire beaucoup d’ennuis. • Se moque purement et simplement de son apparence physique. • S’exerce secrètement à lancer des sorts, métamorphoser des objets ou entraîner sa magie, relativement faible par rapport aux autres, ce qui le gêne tout particulièrement. • N’a jamais réussi à invoquer correctement un Patronus, et ne connaît pas sa forme, ayant seulement une vague idée de ce qu’il peut représenter. • Rêve de devenir le nouveau grand scientifique du siècle. • Est habité par un esprit de compétition, et veut être le premier partout. • N’est absolument pas digne de confiance. Mieux vaut ne pas lui dévoiler un secret, étant incapable de tenir sa langue et ayant du mal à comprendre la notion de « secret ». • Est profondément malhonnête, n’hésite pas à voler ses camarades s’ils disposent de quelque chose dont il a besoin. • N’a aucune notion de ce qui est correct et acceptable dans une société. Même s’il n’a rien d’un individu primitif, il est profondément politiquement incorrect, sans se rendre compte de la portée de ses actes ou de ses dires. • Se fiche des conventions. • Parle anglais, gallois, français, espagnol, italien, gaélique, celte et russe. • N’est pas vraiment attaché à qui que ce soit, n’a pas vraiment d’amis mais s’en porte très bien. • A tout le temps le nez dans un bouquin. • A pleuré exactement huit fois dans sa vie, la dernière fois étant il y a trois ans lorsqu’il s’est retrouvé dans la forêt interdite suite à un pari entouré de bestioles peu sympathiques. • Porte systématiquement deux montres, au cas où une tomberait en panne. • A un mauvais feeling avec les animaux de manière générale, n’en possède d’ailleurs pas. • N’a jamais eu de relation, n’a même jamais embrassé une fille, et s’en réjouit, n’ayant absolument pas envie d’être confronté à ce qu’il considère être un poids ou une épreuve. • S’amuse sans cesse à démonter des petits objets, à étudier leur fonctionnement. • Est imbattable aux échecs. • Est très stratège et particulièrement bon menteur. • Ne manque pas de confiance en lui, et n’est pas timide. • Se sent mal à l’aise dès que quelqu’un fait preuve de gentillesse envers lui. • Est d’un naturel paranoïaque, et se demande toujours où sont les pièges, y compris quand quelqu’un fait preuve de bonté à son égard. • Est sans cesse sur ses gardes et suspicieux, n’a de manière générale confiance en personne. • N’est pas dérangé par la solitude. • N’aime pas rester dans la nature, a une peur bleue des insectes, de la faune et de la flore, se sent perpétuellement agressé. • Se fait quelques fois payer par d’autres élèves en échange d’un devoir fait. • Est une tête de classe en ce qui concerne la théorie. Est d’ailleurs particulièrement captivé par l’histoire de la magie. • Refuse de croire aux histoires du ministère concernant la guerre. • Evite d’emprunter un escalier du château en particulier, qui le met mal à l’aise sans qu’il puisse dire exactement pourquoi. • N’a aucun souvenir de sa vie précédente, mais sent qu’il se passe quelque chose bien qu’il essaye de se persuader du contraire. • A le sentiment de perdre pied, et de ne pouvoir plus faire confiance à son intellect et sa rationalité.