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| | ❝ allez viens, j't'emmène au vent (seeley) ❞ | |
| Auteur | Message |
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AVATAR : shiloh fernandez PARCHEMINS : 6 AMORTENTIA : la fille loup mais s'amuse avec une autre PATRONUS : un aigle PARTICULARITE(S) : Je vous ai déjà parlé de mon don incontesté pour le Quidditch ?
Seeley B. Lysaght
| Sujet: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Dim 23 Mar - 20:53 | |
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seeley blake lysaght « Il avait l'innocence d'un enfant terrible. » Né le cinq juin mille cinq cent quatre vingt dix-sept. ҩ De nature serviable. ҩ Fin observateur. ҩ Rusé. ҩ Amusant. ҩ Joviale ҩ Si mauvais acteur que s'en devient parfois ridicule ҩ Mature. Taquin ҩ Tendre ҩ D'une gentillesse incontestable et d'un loyauté à toute épreuve ҩ Rassurant ҩ Brave ҩ Têtu ҩ Fin stratège ҩ Insolent ҩ Orgueilleux ҩ Réactif ҩ Solitaire ҩ Tendance maniaque ҩ Jeune garçon d'origine paysanne, il évolue au milieu d'une fratrie aussi pauvre que nombreuse, ne trouvant pas sa place au milieu de ses pairs. Petit timide à la silhouette fragile, il devient vite la cible de ses frères qui le choisisse comme souffre-douleur ; il ramasse à la pelle coups et insultes qui le conforte dans son manque de confiance en lui. Il ne porte d'intérêt que pour son frère Aymric, seul individu lui ayant apporté une once d'amour familial et de considération. Puis, c'est comme un nouveau souffle, une fenêtre ouverte ; Poudlard l’accueille et lui offre une nouvelle famille, des repas chauds et un avenir. Il sent son cœur s'attendrir pour finalement tomber fou amoureux et devient un jeune homme fougueux, ayant foi en tout et en n'importe qui. Il clame sa foi en Poudlard à qui veut l'entendre, trop jeune pour être réaliste, pas assez pour être heureux par la guerre qui se prépare et qui l'entraînera loin de sa future femme et toute perspective de bonheur. Fou de rancoeur et de désespoir, il s'insinue dans les couloirs sombres de Dumstrang afin de venger son frère tué au combat pour mourir à son tour lors du combat final, dans les bras de son amour déchu, de son histoire impossible.
< Dix-neuf ans ҩ Irrévocablement hyperactif ҩ Fiable ҩ Franc ҩ Impulsif ҩ Lunatique ҩ Ne dort pas plus de huit heures et le fait savoir à toute la chambrée d'une voix bourrue et d'une fausseté rare ҩ Profondément bon ҩ Protecteur ҩ Possessif et maladivement jaloux ҩ Branleur fini ҩ A une peur phobique de l'engagement ҩ Immature ҩ Inconscient ҩ Rancunier ҩ Offre ses services au premier abruti venu ҩ Fou du risque ҩ Fatiguant ҩ Vulgaire ҩ Sans-gêne ҩ S'entend généralement avec toutes les maisons ҩ Sociable ҩ Instable ҩ Tactile ҩ Sportif ҩ Arrogant ҩ Fier ҩ Fou de Quidditch ҩ Grande-gueule ҩ Irrespectueux ҩ Tendances je m'enfoutiste. Seeley est de ces garçons que l'on met sur un balai et qui vous ramène trois demoiselles en détresse sauvées d'un dragon furieux. Élevé par un père à la marginalité reconnue qu'il a privé de sa bien-aimée par sa venue au monde, il se tait et se recroqueville dans son enfance un peu fade et un peu pâle jusqu'à l'âge de ses six ans où sa Cordélia vient délier les cordes imaginaires qui l'entravent en prenant son rôle de sœur qui lui appartenait depuis quatre siècles. Inséparables, unis par un lien fusionnel, il font les quatre cent coups jusqu'à leur arrivée à Poudlard où le brun est envoyé chez les Aiglons. Il tombe amoureux de l'amour de sa vie à quatorze ans, étend sa sociabilité et son sourire dans tout Poudlard et découvre la vie étudiante dans tout son ensemble. Lysaght grandit, se prend des baffes, en distribue des tonnes, évolue, mûrit, tombe amoureux, perd l'amour de sa vie, séduit, vole, rit. Rymbaldien à la dérive, survivant à bout de souffle. Lysaght vit. | T'es la réincarnation d'un sourire brûlant, d'une poignée de main un peu rude, de caresses interdites et de cris de rage. T'es ce volcan éteint, cette force tranquille, cette main tendue forte et maladroite, ce rire à gorge déployée des regards outrés. Tu souris à la vie quand elle te crache à la gueule, tu la prends comme une douce amante quand elle te force à abandonner. Et tu cours, tu cours toujours plus vite et tu frappes toujours plus fort. Tu te joues de ta destinée et tu l'attends de pied ferme comme tu l'as toujours fait, comme tu le feras toujours. Parce que c'est comme ça que tu vois ton ciel, grand aigle aux plumes diaphanes, au regard tendre et au cœur perforé par des blessures qui te dépassent, dont tu ne te souviendras sans doute jamais. Tu fus et tu seras un grand guerrier, volcanique, électrique, immature et solaire, ce soldat aux yeux clairs, cet imbécile beaucoup trop fier. Mais putain, t'es surtout un gamin, abruti par un amour qui le consume et des erreurs d'adolescent, de grand enfant qui grandit trop vite. Toi, tu t'y vois toujours assis sur cette balançoire, jouant avec les cheveux de ta sœur, perdu dans tes préoccupations infantiles. Tu te rappelles encore de l'odeur de tes draps, puis de la boue sur le route humide, de ces yeux amers et puis brusquement, de la saveur d'une autre terre, du toucher d'une autre peau, de cette peau, de son essence qui pourrait te rendre fou le temps d'une demi-seconde, l'instant d'un fou allié. Puis tout s'efface et tu retombes dans la quiétude de ton existence reposée sur des regards fuyants et des rires francs. Mec, t'es une hymne à la joie et à la bêtise, aux sourires niais et aux après-midi frais. Tu pues le sable chaud et l'impulsivité, t’empeste l'innocence et l'immaturité. Finalement, t'es juste la réincarnation d'un chien fou, d'un vent du nord, d'un tsunami puis d'un coucher de soleil aussi. T'es le meilleur ami de cette part interdite, caché dans tes entrailles ; t'es piégé, encerclé, emmuré. Corey et Seeley n'ont finalement jamais fait qu'un. |
| comment se passe ta scolarité à poudlard ? Poudlard je l'aime, je lui fais l'amour sauvagement et je lui fais des enfants. J'suis pas franchement c'qu'on peut appeler un bon élève mais j'suis pas un raté non plus ; disons que je me débrouille pour pas sombrer dans les méandres d'un redoublement qui ferait pleurer mon père. D'ailleurs à part le vieux, j'ai à peu près tout ce qu'il me faut : ma soeur je la vois tous les jours, mes meilleurs potes ils dorment avec moi et le Quidditch me tend tous les jours les bras. Tout va plutôt bien de ce niveau là ; j'peux même affirmer que je suis heureux. Ou ce qui s'en rapproche le plus. ta famille ne te manque pas trop, t'as emmené des frères ou des sœurs avec toi ? Ma jumelle crèche à Serpentard mais il n'empêche que je la vois quand je le peux, quand je le veux. Comment te dire, c'est la femme de ma vie Cordélia, c'est l'un des points centraux de mon existence et si elle n'était pas là, j'le serai sûrement pas non plus. et les amis ça s'passe comment, t'as des faces de scrout à pétards que tu voudrais bien déglinguer ? Y a toujours les emmerdeurs, les abrutis, les connards puis tout le reste. Comme Knight et Davenport puis y en a d'autres, y en aura toujours d'autres, ceux que t'as envie de coincer dans une porte en les pliant en quatre pour les donner au calmar géant. allez, fais pas ton troll, je t'ai grillé(e), parle moi de l'élu(e) de ton coeur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien ? Non pas vraiment, puis de toute faon j'ai une copine, je suis HEUREUX et ÉPANOUI, merci. d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi ? Il y a cette odeur de sous-bois et de soleil, puis quelque chose de plus animal, de plus sauvage, d'un peu interdit et de dangereux. Comme un ours. t'es bon en quoi, t'es mauvais en quoi à l'école ? J'me débrouille pour la Défense contre les forces du mal, la Métamorphose et les Sortilèges. Je crains irrévocablement pour l'Histoire de la Magie et les Potions. Voilà. Je vous ai déjà parlé de mon don pour le Quidditch ? t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie ? Je sais pas, je sais plus, je m'en fous. On verra plus tard, demain, dans un ou dans mille ans. hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde ? J'apprécierais le fait que tu bouges ton énorme séant pour récupérer l'amour de ma vie. Merci. | |
- DERRIÈRE LE MIROIR MAGIQUE :
< pops prénom Carole Age bientôt seize ans comment avez vous connu amortentia ? par Peaaaaah présence je prendrai mon temps pour vous rendre des rps de qualité les gars des commentaires sur le forum ? il tue un truc de fou avatar shiloh fernandez autre chose ? tu veux un parrain, une marraine ? quelque chose
Dernière édition par Seeley B. Lysaght le Jeu 27 Mar - 20:16, édité 8 fois |
| | | AVATAR : shiloh fernandez PARCHEMINS : 6 AMORTENTIA : la fille loup mais s'amuse avec une autre PATRONUS : un aigle PARTICULARITE(S) : Je vous ai déjà parlé de mon don incontesté pour le Quidditch ?
Seeley B. Lysaght
| Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Dim 23 Mar - 20:54 | |
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blackbird singing in the dead of night I need another story , something to get off my chest
ALL YOU NEED IS LOVE◄ De la boue, de la fatigue, des cris et des insultes. Il est l'heure de se lever et d'apprendre à encaisser tout ce que t'entends, tout ce qui fait de toi le dernier de la famille, le gringalet, le faible. Va faire ta besogne de petit paysan sans le sou, et encaisse ce que disent tes frères. Accroche-toi à ce que te dis le seul qui t'aime un peu, qui t'aide à te relever. Bientôt sera un autre jour ; tu seras loin de tout, loin de cette existence harassante qui t'écrase chaque jour un peu plus. Allez Corey ; rend les coups, hurle quand ils crient, mord quand ils frappent. Relève-toi. Bats-toi. Petit merle deviendra grand aigle. Seeley. Seeley, réveille-toi, c'est l'heure. L'heure de te lever, de ta laver, de te débarasser de cet air innocent et de ces yeux tirés. Tu sais très bien quelle heure il est, quel jour est revenu te hanter. De toute façon t'as pas dormi, t'as pas pu, tu le peux jamais quand tout revient. La peur, le chagrin, la rancoeur et les remords, les remords d'avoir fait quelque chose qui t'échappe totalement, irrévocablement. Seeley, Seeley, c'est plus le moment de pleurer, plus le moment de te laisser aller à une faiblesse qui t'es refusé. Tu enfiles tes chaussures, tu renoues avec ton aura noir et tes yeux baissés. Tu regardes ton père en coin, tu le laisses se perdre dans les préparatifs de cette journée réglée comme une horloge, une mécanique bien huilée qui te donne envie de vomir. Presque méthodiquement, il enfile sa cape autour de ses épaules un peu voûtées, de son visage brisé. Il redresse la rose blafarde sur sa chemise froissée, range tout ce qui peut l'être comme s'il s'en voulait de laisser une trace de vie derrière lui, surtout aujourd'hui. Alors, il frotte, il range, il essuie, il nettoie. Il dépérit. Puis, finalement, il laisse ses yeux se perdre dans la mélancolie de la photo en noir et blanc, posée sagement sur la cheminée, qui n'attend plus que lui. Il observe les moindres détails, palpe le papier qui se meut sous ses doigts. La blondeur de la femme de sa vie, la fragilité de ses traits, puis la douceur de ce regard qui semble à son tour retrouver son amour, son amant, son ami. Et toi, tu ne bouges plus. T'as pas six ans que t'as très bien compris ce qu'il se passe dans cette maison, dans cette existence fade et grise que t'a construit ton père et qui le ronge un peu plus chaque jour, qui le détruit lentement et sans bruits. La douleur arrive à se cacher insidieusement dans la commodité de votre quotidien, sous des mimiques et des regards fuyants, des lèvres à peine étirées et des heures enfermées. Vous êtes deux âmes en peine, errant dans une enfance à peine entamée et une vieillesse figée. Prisonniers, vous vous empêchez d'évoluer, de grandir, de rire, d'apprendre à vous apprivoiser, à vous connaître, à vous aimer. Les Lysaght marchent seuls dans cette longue journée d'hiver, main dans la main, entre les colonnes de marbre et les fleurs séchées. Ils savent exactement lorsque leurs pieds vont déraper, quand leurs yeux vont se relever sur des mots qu'ils connaissent par cœur, qu'ils ont mémorisé au fil des années. Mais t'as pas envie, bon dieu c'que t'en a marre. De te perdre dans la monotonie de cette journée, de regarder ton père pleurer, d'être seul au milieu de cette tristesse. Alors toi aussi, finalement, tu pleures. Parce que t'es un gamin comme un autre dans une situation dramatique. Parce que t'es oisillon dans un nid vide, protégé par un père qui ne sait plus comment t'approcher. Et puis c'est la rupture. Vous rentrez à la maison, épuisés et silencieux. Vous vous attablez, sans envie, et mangez simplement le gâteau acheté la veille. Joyeux anniversaire gamin. ACT NATURALLY◄ Et puis y a ce sentiment quand t'a trouvé quelque chose qui vaut la peine d'être vécu. Un regard, juste un signe et tout c'que t'as pu vivre s'est envolé. Ils sont là, ils te sourient et tu ris avec eux. L'ignominie de ta vie d'avant, tu t'en souviens à peine ; la guerre qui se prépare, tu veux l'oublier. Juste le temps d'apprécier le fait que t'es né et que tu mérites d'exister.« Cordélia, tu crois que c'est un signe du destin ? J'veux dire, c'est fou quand même. C'est même carrément dingue. » Ses cheveux sombres, tes yeux clairs. Son ombre et ta lumière. Tes doigts jouant avec ses mèches rebelles, les yeux rivés sur le ciel. Tu ne la laisses même pas répondre ; t'es d'humeur pensive et t'es juste là, posé comme une fleur, à sentir l'air frais sur ton visage. Couché, à attendre que le temps passe alors que tu lui cours après sans arrêt, avide de vie et de promesses, de toutes celles que t'as pas pu tenir et de celles qu'on t'a jamais faîtes. Il est loin le petit Seeley à l'allure blafarde et aux yeux éteints ; il est mort le petit orphelin. « Tu sais des fois, j'me demande si c'est pas ma mère qui t'a ramené. Comme un ange, tu vois. Un peu pour nous sauver. » Elle se tait. Peut-être pour pas te blesser, peut-être parce qu'elle a un peu envie d'y croire elle aussi. Ou parce qu'elle en sait plus que ce qu'elle veut bien t'avouer ou peut-être parce qu'elle s'est endormi, simplement. Mais tu t'en fiches. Tu continues, inlassablement : « J'aimerais savoir ce qu'elle aurait pensé de toi. J'suis sûre qu'elle t'aurait adoré. Tu sais, parce qu'elle avait ce truc avec les gens, et puis parce que... fin', tu sais, t'aurais été sa fille quoi. » Ton innocence joue contre toi et tu sais pas si ce que tu viens de dire a envie de te faire rire ou pleurer. Tu raffermies ta prise contre la jeune fille et tu respires l'odeur de ta sœur. Depuis ce soir là, tu l'as toujours su. C't'ait comme une alchimie un peu flippante, un feu de joie dans ta poitrine ; une réaction qui t'avait fait comprendre qu'il n'y avait pas d'autres possibilités existantes. Y avait eu ce picotement dans ta gorge et cette pensée lancinante qui te dirigeait vers la porte. Cette idée de vie ou de mort, de froid et d'impatience qui appartenait à quelqu'un d'autre que toi. Cette chose minuscule, blottie dans des haillons, plongeant dans ton regard comme un reflet de toi-même. Sans la connaître, tu savais qui elle était ; sans lui parler, tu savais ce qu'il se passerait. Ce que tu ferais, qui t'éclairerait. Tu revoies les yeux surpris de ton père quand ils vous a retrouvé dans le même lit, serrés innocemment dans tes draps. Tu clos tes paupières quand tu revoies ses coupures et ses blessures, quand t'imagines c'qu'il lui est arrivé, plus tôt. Tu te souviens des longues nuits bercées par les murmures de vos histoires secrètes, de vos sentiments et de vos rêves dont vous vous êtes promis le secret. Puis tous ces jeux d'enfants, et ces sourires complices, et ces mots qui vous appartiennent à vous et à vous-seuls, cachés dans la péninsule de votre âme. Un nouveau souffle, une renaissance. Tu retrouvais enfin la part qui te manquait, qu'on t'avait arraché en laissant un trou béant dans ta poitrine. Seeley pouvait enfin se réveiller. « Merci. » I WANT HOLD YOUR HAND ◄ « Et tu t'en vas. T'entends encore son cri déchirant dans cette cabane minuscule et tu regrettes de ne pas l'avoir retenu, de ne pas avoir bougé. Mais tu ne changeras pas d'avis ; tu la quittes mais tu reviendras. Et même si t'en es persuadé, c'est la dernière fois que tu la verras.T'as jamais vu de fille aussi belle. En fait, t'as jamais vu de fille comme ça. Avec ses yeux-là, et ses lèvres-là et puis ses mots là, qui te faisaient perdre la tête, littéralement. Putain c'qu'elle était chiante, putain c'que t'étais amoureux. De sa jolie bouche en cœur, de sa curiosité maladive et de ses secrets, de son air pensif et de ses yeux fuyants, parfois. Peut-être que t'aurais pas dû tomber dans l'enfer de cet état, de cet attachement que tu sais définitif mais t'as rien pu y faire, ça t'es tombé sur la gueule comme on se prend une balle ; sans que tu t'y attendes et bon dieu, c'que ça fait mal. Alors tu t'es laissé emporté dans la joie du premier amour et de tout ce qu'il peut apporter ; dans le souffle court des premières déclarations et dans la passion de votre relation qui mêlait continuellement le rire aux larmes, les cris aux armes. Puis aux réconciliations, et à l'insouciance qu'entraînait la jeunesse, qui te promettait le monde et plus encore. T'étais foutrement heureux avec elle ; il n'aurait pu en être autrement. C'est ce que tu croyais, mais Seeley, ça y est, c'est fini. T'as entendu ce qu'elle vient de te cracher à la gueule avant de s'enfuir ? Est-ce que t'as bien senti ton cœur exploser en même temps que ta fureur et ta dignité ? Allez, bouge, fais quelque chose. Reste pas ici, faut que t'ailles la reconquérir où au moins faire semblant de t'en fichtre mais réagis. Réagis ! Tu sais même plus si c'est ta propre voix, tu reconnais plus rien. Tu marches comme un pantin et tu te laisses aller à la colère et à la haine. Tu la détestes. Non c'est pire que ça ; tu veux qu'elle souffre autant que tu souffres, autant que ton cœur saigne et te rappelle tous les jours ses mots qu'elle t'a planté, puis ses pas, et sa silhouette qui disparaît. Puis, non, c'est ridicule, tu l'aimes, bordel, tu l'aimes, qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce qui cloche chez toi, qu'est-ce t'as branlé ? Tu passes des jours dans le noir. Tu parles plus mais tu continues à sourire à tes potes qui ne sont pas dupes, qui ne l'ont jamais été. Mais ils te laissent faire ; après tout, Seeley ne peut pas rester triste éternellement. Seeley c'est la joie de vivre et l'immaturité, c'est la complicité et l'été. Alors tu fais c'qu'on attend de toi ; tu reprends pied ou t'en donnes l'impression et tu continues ta scolarité, tes conneries puis doucement, tes déboires. Tu séduis une fille qui n'avait pas besoin de l'être et tu lui promets de la douceur et de l'amour même si elle sait encore mieux que toi que ce n'est pas vrai, que tu ne pourras sans doute jamais l'aimer. Elle t'en veux pas, puisqu'elle, elle t'aime et que ça lui suffit. Tu deviens un abruti sans t'en rendre compte ; tu perds tes principes pour une histoire de cœur. Au fond, t'en crèverais presque ; t'y laisserais la peau que ça choquerait personne. tumblr
Dernière édition par Seeley B. Lysaght le Dim 30 Mar - 16:15, édité 3 fois |
| | | AVATAR : Emma Watson PARCHEMINS : 451 AMORTENTIA : seeley, qu'elle doit protéger d'elle-même PATRONUS : un papillon, symbole de transformation (tiens, tiens) PARTICULARITE(S) : lycanthropie, son fardeau
Peah Y. GreyjoyWE INSIST THAT IGNORANCE KILLED THE CAT.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Dim 23 Mar - 20:56 | |
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| | | AVATAR : shiloh fernandez PARCHEMINS : 6 AMORTENTIA : la fille loup mais s'amuse avec une autre PATRONUS : un aigle PARTICULARITE(S) : Je vous ai déjà parlé de mon don incontesté pour le Quidditch ?
Seeley B. Lysaght
| Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Dim 23 Mar - 21:05 | |
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| | | PARCHEMINS : 278 AMORTENTIA : COOOOOOORDELIA (achille aussi, mais cordélia quoi.) PATRONUS : un cygne. PARTICULARITE(S) : badass.
H. Cercei StonemDARK SISSI, BITCH.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Lun 24 Mar - 10:55 | |
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| | | AVATAR : Daniel Sharman PARCHEMINS : 365 AMORTENTIA : Volage, incertain, Rohan n'a aucune idée qu'il est destiné à retomber dans les bras de la même fille que par le passé. PATRONUS : Un lynx PARTICULARITE(S) : Son torse... (GROS PRETENTIEUX)
Rohan GarriganMR TOUT NU
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Lun 24 Mar - 12:51 | |
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| | | PARCHEMINS : 136 AMORTENTIA : echo PATRONUS : un lion PARTICULARITE(S) : vice-président des coeurs en fête, attrapeur et nouveau capitaine de l'équipe de quidditch de gryffondor
N. Sloan OswaldCHERI A ECHO, RIEN QU'A ECHO, PAS TOUCHE OU TU VAS MOURIR VOILA ♥
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Lun 24 Mar - 14:07 | |
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| | | PARCHEMINS : 555 AMORTENTIA : L'amour? ça existe ça? PATRONUS : Un apaloosa PARTICULARITE(S) : Emmerdeur de première classe. Flemmard de seconde zone. Fêtard invétéré.
Ciaràn O. MaxwellJe suis un gros vilain pas beau, lancez-moi tous des cailloux! Bouh bouh moi!
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Lun 24 Mar - 14:19 | |
| OMG un Seeley Ce perso était tellement attendu xD. Bon courage pour ta fiche ! |
| | | PARCHEMINS : 131 AMORTENTIA : il le gueule tellement sur tous les toits que même le barman des trois balais le sait. cordélia. PATRONUS : un phoenix. eh ouais mec, tu peux pas test. PARTICULARITE(S) : capitaine & attrapeur de l'équipe des poufsouffles. / mister poudlard. / membre des cœurs en fête.
Perceval J. RosierI'LL WIN YOU WITH MY RAINBOW KISSES AND UNICORNS STICKERS.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Mar 25 Mar - 13:18 | |
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| | | AVATAR : ∞ emilia (lovely) clarke. PARCHEMINS : 935 AMORTENTIA : ∞ noah ; je m'enivre à deviner ton étoile au ciel, ton sourire au bord des larmes. PATRONUS : ∞ dragon. PARTICULARITE(S) : ∞ dragonnière (au don endormi) | tête de turc des autres élèves | bizarre, vraiment très bizarre | membre des licornes de l'arc-en-ciel.
V. Ēchṓ Laertiadisshe's like the wind.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Mar 25 Mar - 19:15 | |
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| | | AVATAR : shiloh fernandez PARCHEMINS : 6 AMORTENTIA : la fille loup mais s'amuse avec une autre PATRONUS : un aigle PARTICULARITE(S) : Je vous ai déjà parlé de mon don incontesté pour le Quidditch ?
Seeley B. Lysaght
| Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Mar 25 Mar - 19:34 | |
| oh mon dieu, quel accueil du feu de dieu cercei : merci beaucoup, ravie que la combinaison te plaise :face:t'as un super lien avec miss cordélia non ? il nous en faudra donc un puis ton avatar, hein, cette robe verte, mon dieu rohan : merci merci merci, j'espère juste pas vous décevoir sloan : accueuilli par un preux chevalier, la classe :face:merci ! ciaràn : merci beaucoup, j'adore le prénom au passage ! perceval : YO POTOOOOOOOOOOOO, J'T'AI MANQUE ? :face:ON FAIT C'QUE TU VEUX QUAND TU VEUX WLH On se réserve des RP de fou alors 8) coco : avec plaisir et comme dit en MP, ce sera un plaisir de jouer ton frère Je prends mon temps pour ma fiche, histoire de bien me baigner dans l'ambiance et l'histoire de tout ces petits loups et j'espère vraiment pas vous décevoir |
| | | PARCHEMINS : 131 AMORTENTIA : il le gueule tellement sur tous les toits que même le barman des trois balais le sait. cordélia. PATRONUS : un phoenix. eh ouais mec, tu peux pas test. PARTICULARITE(S) : capitaine & attrapeur de l'équipe des poufsouffles. / mister poudlard. / membre des cœurs en fête.
Perceval J. RosierI'LL WIN YOU WITH MY RAINBOW KISSES AND UNICORNS STICKERS.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Mer 26 Mar - 16:20 | |
| TELLEMENT SI TU SAVAIS, on était prêt à sacrifier mon jumeau pour implorer les dieux de t'amener à nous dis pas ce genre de choses, si j'te prends au mot, tu risques de le regretter |
| | | AVATAR : evan peters. PARCHEMINS : 437 AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas. PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant. PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.
Jagger D. YoungVIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Mer 26 Mar - 20:09 | |
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| | | AVATAR : shiloh fernandez PARCHEMINS : 6 AMORTENTIA : la fille loup mais s'amuse avec une autre PATRONUS : un aigle PARTICULARITE(S) : Je vous ai déjà parlé de mon don incontesté pour le Quidditch ?
Seeley B. Lysaght
| Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Mer 26 Mar - 21:22 | |
| p'tain un sacrifice humain j'aurai keaffé c'toi qui risque de regretter ma venue bro' YO LES MECS ON EST A TROIS WLH, J'AIME CES ACCUEILS, JE ME SENS AIME, FAISONS NOUS DES CÂLINS VIRILS DE FRÈRES ENFIN RÉUNIS Mais moi j'aime tout le monde wsh, on s'fait des rps comme tu veux mon poulet, quand tu veux, dès que je fais de ma fiche quelque chose de potable je m'offre à vous telle une biche sensuelle. |
| | | AVATAR : Emma Watson PARCHEMINS : 451 AMORTENTIA : seeley, qu'elle doit protéger d'elle-même PATRONUS : un papillon, symbole de transformation (tiens, tiens) PARTICULARITE(S) : lycanthropie, son fardeau
Peah Y. GreyjoyWE INSIST THAT IGNORANCE KILLED THE CAT.
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Jeu 27 Mar - 20:17 | |
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| | | AVATAR : shiloh fernandez PARCHEMINS : 6 AMORTENTIA : la fille loup mais s'amuse avec une autre PATRONUS : un aigle PARTICULARITE(S) : Je vous ai déjà parlé de mon don incontesté pour le Quidditch ?
Seeley B. Lysaght
| Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Dim 30 Mar - 16:35 | |
| j'aime les déclarations d'amour comme ça, FEMME. Je pense avoir terminé ma fiiiiiche s'iouplait mesdames et messieurs |
| | | AVATAR : ∞ aimee (cute) teegarden. PARCHEMINS : 44 AMORTENTIA : ∞ l'amour, c'est pour les naïfs et les rêveurs. PATRONUS : ∞ un sombral. PARTICULARITE(S) : ∞ les dons des redwyne | membre des coeurs en fête.
Astoria F. Redwyne
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | | | | AVATAR : evan peters. PARCHEMINS : 437 AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas. PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant. PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.
Jagger D. YoungVIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS: | Sujet: Re: allez viens, j't'emmène au vent (seeley) Dim 30 Mar - 20:22 | |
| alors mon poto déjà je tiens à dire que j'aime beaucoup ta façon d'écrire tu fais des très belles images et tout, et c'est très agréable à lire par contre, on en a parlé entre nous et il y a quelques trucs qui coince pour la validation : en fait, on aimerait que tu rajoutes une partie sur la vie antérieure de Seeley, en effet, c'est quelque chose de plutôt important et ce serait dommage que tu n'en parles pas Ce serait bien aussi que tu te penches juste un peu plus sur les autres liens de Seeley (notamment... le fameux trio Perceval-Jagger-Seeley/Gabriel-Nathaniel-Corey ) voilà mon chou arrange nous tout ça et fais moi rêver |
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