Poudlard. Pourdlard la magique, Poudlard la magnifique. Mais aussi Poudlard la snob, Poudlard la trop confiante. Cela leur avait pris une dizaine mais ils avaient finalement réussi à rentrer dans le parc du château. Au bien sûr, ils pouvaient pas encore s'aventurer plus loin que le premier tiers de ce dernier, les défenses du château étant encore bien trop puissantes après celui-ci mais c'était déjà un début. Un glorieux début. Pour cette mission, ils n'avaient pas besoin de plusieurs hommes mais d'un seul. Le meilleur de sa famille, le meilleur de sa génération. Un être que même les siens avaient fini par rejeter en raison de la puissance de son don. Alors certes, ils étaient toute une petite équipe cachée dans la forêt mais aujourd'hui, c'était lui le maître du jeu. "On compte sur toi Redwyne, nous laisse pas tomber! L'homme ne sourit pas mais alors qu'il se tournait vers ses camarades, ceux-ci ne purent retenir le frisson de pure horreur qui fut le leur. La mort. Ce mec puait la mort. Ou plutôt les morts, pensèrent-ils tous avec un mélange d'horreur et de fascination. Apolyon Redwyne, le profanateur. Tous le pensaient morts, assassiné par les propres siens en raison de sa monstruosité mais il n'en était rien. Apolyon avait survécu. Visage défiguré d'un monstre sans coeur, peau blafarde de ces cadavres qu'il aime tant, il avance vers le cimetière de Poudlard, son prochain terrain de jeu, sa ressource infinie de soldats.
Ses yeux se convulsent, les iris deviennent d'un blanc nacré effrayant et finalement, la terre gronde. Elle gronde et les stèles se brisent. Du sol, sortent des mains sans peau, puis des os formant des corps assoiffés de sang. Des squelettes dont certains possèdent encore des lambeaux de vêtements, des épées, des tiares sur leur crâne trahissant sans le moindre doute possible de leurs anciennes vies. Des morts de la grande guerre. Des morts prêts à suivre leur nouveau maître dont les désirs sont aussi simples qu'ils sont morbides: faucher le plus de vies possibles parmi les étudiants revenant en courant de Pré-au-Lard, persuadés d'avoir pû échapper au pire. Aux fenêtres du château, ceux restés au château observent avec horreur les non-vivants se rapprocher de leurs camarades. Pour le moment, trop effrayés pour leur propre sort, ils n'osent bouger et tentent du mieux qu'ils peuvent d'envoyer divers objets et/ou sorts derrière leurs murailles pour aider mais ne sauraient faire plus.
Et vous voilà, aux grilles du château et entre vous et celui-ci, ces squelettes enivrés par l'odeur de votre chair, épée et arcs à la main, prêts à vous tuer. Prêt à vous dévorer. Et nul ne sait comment les arrêter, mais nul ne sait où se cache le maître. Et tant que le maître vit, ses créatures ne sauraient mourir une seconde fois.
Citation :
+ Cette intrigue vous met en grand danger face à un premier round, composé de squelettes. Ces squelettes n'ont rien d'ordinaires et sont tous armés et prêts à vous croquer un doigt ou deux. De plus, ils semblent arriver par vague de centaines, et portent pour certains les vestiges de leurs tenues de la grande guerre. Leur maître ne vous est pas visible, caché dans les ombres. + Depuis le château, les autres élèves vous lancent objets et sortilèges pour vous aider Mais ne comptez pas trop sur leur aide pour vous sauver les fesses et c'est seul ou en groupe qu'il vous faudra arriver jusqu'aux portes du château. + merci de privilégier les réponses courtes Exceptionnellement pour le besoin de l'intrigue, vous pouvez ne pas dépasser les 500 mots lors de vos réponses. Vous pouvez aussi faire plus si vous êtes inspiré : il suffit juste de répondre rapidement. + Amortentia fera progresser l'intrigue mais vous pouvez vous aussi rajouter votre grain de sel. + amusez-vous et rendez vous ici pour flooder et décider de qui postera à la suite.
sloth., MARISSA. & Desdémone
Dernière édition par Les Âmes Vengeresses le Mer 8 Jan - 1:26, édité 1 fois
PARCHEMINS : 49 PATRONUS : Une tigre blanc. PARTICULARITE(S) : C'est une Crane ! C'est déjà une spécialité en soit !
Polaris Z. Crane
There is something on your face, oh nevermind it's just jealousy.
Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Lun 6 Jan - 21:15
because all suffering is sweet to me.
that one moment, when you know you're not a sad story. you are alive.
MAY THE ODDS BE IN YOUR FAVOR.
Elle allait enfin pouvoir quitter Poudlard, le temps d'un après-midi. Polaris s'était habillée chaudement, un bonnet vert sur le crâne, et une grosse écharpe baux couleurs de sa maison autour du cou. Elle avait caché sa baguette dans ses éternelles grandes chaussettes, et avait remonté légèrement sa jupe. Après ceci, elle était partie s'acheter tout un tas de sucrerie, qu'elle prendrait plaisir à manger pendant une des nombreuses heures de colle qu'elle aurait dans peu de temps. A force de s’endormir en cours, il fallait bien qu'elle paye. Elle avait aussi pour but de retrouver sa soeur, qu'elle n'avait pas vu de la journée. Clove était bien trop occupée à discuter avec ses pseudo-amies que Polaris n'aimait pas. Les greluches blondes n'avaient jamais été des personnes fiables, mais Clove semblait l'avoir oublié, cherchant compagnie n'importe ou. Quoi qu'il en soit, elle avait sagement acheté tout son bazar, ainsi que quelques livres pour sa lecture personnelle, avait rangé le tout dans son sac et s'était sagement avancée vers le château. Hors, elle ne put faire que quelques pas. Des cris de douleur retentissaient. Elle semblait reconnaître les cris, des cris de peur et de détresse. Polaris était dédaigneuse de nature, fière de famille, mais elle était avant tout lâche. Cela ne faisait plus aucun doute. Alors, elle se mit à courir vers le château, laissant les autres seuls, sa vie en dépendait après tout, bien qu'elle n'est que très peu conscience du danger. Polaris se trouva alors imbécile,pour être aussi irréfléchie, mais avant tout parce qu'elle se trouvait toujours au mauvais endroit, au mauvais moment ! Si vous n'appelez pas ça de la poisse, vous. Sifflant entre ses dents, essoufflée, la jeune rousse se retrouva entourée d'élèves. Ils n'étaient vraiment pas beaucoup, mais elle était rassurée, elle se sentait ... en sécurité. Tu n'es jamais en sécurité, souffla sa conscience. Polaris posa ses mains sur ses côtes, n'entendant rien d'autre que son palpitant qui criait. Il criait tout un tas de chose qu'elle n'écoutait guère, en vu de ce qui arrivait. Des ... Des squelettes, bon dieu ! L'adolescente se frotta les yeux, avant de dégainer sa baguette, en se rapprochant du reste des élèves. « Vous avez tous votre baguette ? » bougonna-t-elle, sans trop connaître ses alliés. Enfin, supposé allié. Qui sait, peut-être la jetteraient»ils aux squelettes comme appât, les bougres ! Polaris remarqua d'ailleurs bien vite que ses ennemis -pour eux, aucun doute- étaient armés, et que certain tiraient des flèches avec leurs arcs ! « Expelliarmus ! » essaya-t-elle envers un squelette qui avançait un peu trop à son goût. Seulement, l'arme de partit pas bien loin, et lui continuait d'avancer. « Quelqu'un n'aurait-il pas une brillante idée ? » Polaris jeta un coup d'oeil sur les élèves, jetant des livres et des pierres du haut de leur fenêtre. Ils étaient donc tous aussi lâche qu'elle, fort bien. Au moins, elle était fixée. Soupirant, Polaris s'apprêtait à reculer un peu plus, quand elle vit la flèche arriver. « Immobulus ! » Polaris aurait aimé l'arrêter, mais c'était être un peu trop demandeuse, je pense. Elle connaissait des sortilèges -ou du moins, Laureline Crane les avait connu, mais chut, c'est un secret- mais ne savait que très peu les manier, ayant perdu le mouvement du poignet. Attrapant du bout des doigts la flèche, elle la jeta au sol, et soupira. Ils étaient tous très mal.
AVATAR : evan peters. PARCHEMINS : 437 AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas. PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant. PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.
Jagger D. Young
VIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE
TON RAPPELTOUT QUATRE CENT ANS AVANT: RELATIONS:
Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Lun 6 Jan - 22:05
maytheoddsbeinourfavor
I GUESS YOU COULD SAY WE'RE PRETTY FUCKED
Il maudissait vraiment Fitzherbert. Non pas parce qu'il était idiot, mais parce qu'il lui semblait qu'il ne tenait véritablement pas à la vie, quand il lui avait clairement demandé de venir lui livrer juste un paquet de cigarettes dans le parc en fin d'après-midi. Déjà, ça n'avait pas été le bon moment quand il avait reçu son hibou (idiot, comme son maître). Au beau milieu d'une sulfureuse petite rencontre avec Cercei, au détour d'un couloir. Il avait alors du interrompre leur rendez-vous pour cet abruti fini... et pour les dix gallions à la clé, aussi. En fait, ça n'en valait que quatre d'habitude, et encore avec des clients peu habitués. Mais il avait envie de le faire payer, et ce, dans tous les sens du terme. Non, en fait, il maudissait Fitzherbert parce que cet enfoiré avait osé lui poser un lapin. Deux heures qu'il attendait planté près de l'arbre, à faire semblant de lire un bouquin débile sur des sortilèges de dernières années (qu'il avait par ailleurs oublié là bas). Deux heures, à se dire qu'il aurait pu finir au pieu avec Cercei, les pieds en éventail, la tête reposée. Deux heures, pour dix malheureux gallions qui, il fallait qu'il se l'admette désormais, ne viendraient jamais. Enfin, jusqu'à ce qui trouve Fitzherbert et lui ordonne de le payer un gallion pour le déplacement. Alors c'est en se dirigeant vers le château qu'il maudissait Fitzherbert. Jusqu'à ce qu'un cri étrange le fasse tourner la tête, interrompant le flot d'idées du comment ce règlement de compte là se passerait, s'il allait opter pour une confrontation pacifiste ou juste s'il allait lui balancer des bombabouses dans la gueule pendant une semaine. Jusqu'à ce qu'un cri trop strident pour venir d'une jeune demoiselle simplement amusée par un de ses copains. Trop effaré. Finalement, il fit demi-tour, traversa un petit banc d'arbres, contourna le lac et découvrit la scène. On aurait dit un de ces mauvais films moldus qu'il avait regardé une fois, de ceux qui ne font pas peur. Une véritable armée de... Qu'est-ce que... En plissant les yeux, il finit par voir qu'il s'agissait de squelettes. Armés. Et qui avaient pas l'air non plus très, très frais. Avec hâte, il rejoignit un groupe de pauvres âmes désespérées d'être dans le parc à ce moment là, sans véritablement regarder de qui il s'agissait, bien trop occupé à zieuter l'armée de morts vivants qui s'approchaient d'eux, comme hypnotisés. Au dessus de leurs têtes, quelques élèves s'étaient joints à eux du château, les aidant. Impedimenta ! Il agita sa baguette avec précision, mais seulement que quelques squelettes à peine ralentirent légèrement. L'instant d'après, une jolie rousse avait fait son apparition. S'ils n'avaient pas été dans cette situation là, il lui aurait bien fait un peu de rentre dedans. Vous avez tous vos baguettes ? Encore heureux que Jagger l'avait. Par ailleurs, peut-être qu'il aurait du lire plus attentivement le bouquin de tout à l'heure. Quelqu'un n'aurait-il pas une brillante idée ? A part déguerpir ? Vraiment, lui qui était sensé être intelligent, sa tête lui semblait bien vide tout à coup. Désolé, tout ce qui me vient là, c'est qu'une tripotée de macchabées arrive et qu'on est pas bien nombreux pour les accueillir, lança-t'il un brin trop cyniquement, avant de lancer un nouveau sortilège. Il allait vraiment tuer Fitzherbert.
PARCHEMINS : 45 PATRONUS : un taïpan à tête noire, il est fourchelang il est évident qu'un serpent soit son patronus. PARTICULARITE(S) : il est fourchelang, très peu de gens sont au courant, mais c'est un bruit qui court sur lui et qui entraîne la crainte.
Abrasax Vanderclov
Some people just need a hug around the neck, with a rope.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Mer 8 Jan - 13:43
Depuis peu, il était devenu président de la guilde des gentlemen de diamant et cela lui prenait beaucoup de son temps, en ce moment, les réunions se faisaient nombreuses puisqu'ils cherchaient d'autres membres à faire entrer et il était de plus en plus difficile de trouver des sang purs de famille influente à Poudlard, à croire que même eux s'étaient acoquiné avec des moldus. Et cela commençait sérieusement à le fatiguer, leur petit groupe lui convenait très bien à lui, il était bien plus simple de créer des relations avec un groupe restreint, mais certains membres n'étaient pas du même avis et il se devait de satisfaire tout le monde. Après une après midi houleuse, il s'était décidé à aller fumer une clope dans le parc loin des regards indiscrets. Et Abrasax s'était retrouvé dans cette putain de sale situation. Lorsqu'il était arrivé et avait tourné le dos au château il était tombé nez à nez avec deux trous vides à la place des yeux et un squelette dont les os étaient maculés de terre. Face à lui se tenait un squelette. Enfin, non, pas un tas d'os mais une dizaine d'entre eux. Il s'était reculé, avait trébuché et avait failli s’écraser sur le sol comme un sombre crétin. Il fallait l'avouer, cette connerie monstrueuse, ça l'avait surpris. Mais il n'était pas seul dans cette situation, un petit groupe d'élève étaient eux aussi présents et tout aussi surpris, la peur marquant leur visage ternes. En jetant un coup d’œil il remarqua qu'ils étaient très peu, même pas une dizaine et essentiellement des jeunes femmes, ce qui n'allait pas jouer en leur faveur. Il avait hérité de ce petit côté misogyne de son père. Et ces sales lâches enfermés dans le château leur lançaient des objets et des sorts de première année qui avaient du mal à atteindre leur cible. Cela ne changeait pas grand chose, autant les laisser crever ce serait plus simple, mais pour se donner bonne conscience ils continuaient, les objets tous plus étranges les uns que les autres tombaient en rafale des hautes fenêtres du château. Son cerveau était en pleine ébullition, il cherchait une solution pour se sauver le cul, parce que celui des autres il s'en fichait pas mal, de toute façon la plupart des élèves de Poudlard ne l'appréciaient pas, et pire le craignaient, ça ne révolutionnerait rien dans sa vie s'il se barrait et qu'il les laissait là. Cependant, il eu l'étrange impression que Nikolaz parlait à sa place, qu'il tentait d'intervenir dans ses pensées et cela le troubla fortement. Il ferma les yeux l'espace de quelques secondes et se recula vivement, un de ces étranges macabés s'approchait dangereusement de lui un petit couteau pointu et rongé par la rouille pointé en sa direction. Non. Il ne pouvait décidément pas se protéger tout seul, autant s'allier. Il ne disait toujours pas un mot, tandis que ses camarades cherchaient une solution à haute voix, il balançait quelques sortilèges corrects, mais il était difficile de repousser les morts qui avançaient inexorablement vers eux. Abraxas quant à lui, se plaça dans le cercle que formait le petit groupe et pointa sa baguette en direction d'un squelette affamé "Petrificus totalus", il se pétrifia et tomba, pour le moment. Ils étaient dans la merde, et dans de la grosse. Chacun d'entre eux tentaient tant bien que mal de repousser la horde sans réellement y parvenir. Ce crétin de Jagger émit l'idée de déguerpir, Abrasax aurait bien évidemment approuvé si ce n'était pas ce cœur en fête qui en avait eu l'idée, et puis c'était débile ils allaient se faire rattraper et se faire déchiqueter, l'idée tombait à l'eau. Ou peut-être est-ce de l'humour, on ne savait jamais vraiment avec lui. Il n'avait toujours pas dit un mot, et Abrasax se décida soudain à ouvrir la bouche. "J'ai peut-être une idée, on pourrait lancer un Priori incantatum pour se protéger le temps de trouver autre chose, mais il serait nécessaire que deux personnes d'entre nous possèdent le même élément dans leur baguette.' En parlant, il s'était distrait et n'avait pas remarqué que d'autres approchaient. "Stupefix" lança t'il un peu décontenancé, à deux doigts de se faire croquer, c'était le cas de le dire. "Plume de phénix dans la mienne, si vous avez une autre idée balancez et vite".
Dernière édition par Abrasax Vanderclov le Mer 8 Jan - 18:20, édité 1 fois
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Mer 8 Jan - 16:26
« Merde qu’est-ce-qu’il fait froid… » Aujourd’hui c’était la première sortie à Pré-Au-Lard de l’année, autant dire que c’était la sortie à ne pas manquer si on voulait se faire des réserves. Du coup, je n’ai pas perdu un seul instant et j’étais dans les premières à partir, ce qui n’est, mais alors vraiment pas mon genre… Les retards, ça me connait. Mais là, rien à faire, je dormirais plus demain, le devoir m’appelait : Zonko, Honeydukes, Gaichiffon, et bien évidemment, Les Trois Balais et ma première Bièrauberre de l’année. Je n’allais quand même pas rater ça ! De mon lit, je jure que je pouvais les entendre susurrer mon nom ! A peine arrivée là-bas que je me suis ruée à Zonko, puis à Honeydukes. Si je m’étais pointée une heure plus tard, je pouvais toujours courir pour avoir exactement les articles que je désirais. Rien à battre, je pousse tout le monde et prend mes trucs. Pas de pitié dans ce genre de magasins, on ne va pas se mentir ! Après avoir effectué tous mes petits achats, largué quelques bombabouses sur le passage de mes tendres amis, ou pas, j’ai décidé de rentrer pour m’enfouir sous mes draps. Je crois que je couvre quelque chose… ou alors c’est ma passion pour mon lit qui essaye de se manifester sous tous les sens possibles ! Ouais ça doit être ça… Emmitouflée dans mon manteau aux couleurs de ma maison, le nez recouvert par mon écharpe rouge, et presque aveugle sous les descentes de mon bonnet, je marchais en direction du château, seule. Mes amis n’avaient toujours pas finis leurs achats – petits joueurs ils se la jouent tranquille et après ils viennent me réclamer mes trésors – et rentrer seule ne me dérangeait absolument pas. A mesure que je m’approchais, Poudlard grossissait… et mon lit se rapprochait. Je commençais déjà à manger mes bonbons, quand j’entendis un cri strident. Il me glaça encore plus le sang que la friandise gelée que je venais de m’enfiler (une nouvelle trouvaille d’Honeydukes, c’était pas mauvais mais super froid). Surprise par ce son, je lâchais le chocolat que j’avais dans la main, et ni une ni deux, je me mis à courir vers le château, alors que les cris se répétaient, toujours un peu plus forts et inquiétants à chacun de mes pas. Le souffle court, j’arrivais sur les lieux du drame. « Mais putain c’est quoi c’délire ?! » Une armée de squelettes avait envahit le parc de l’école. Une armée. De squelettes. Je clignais des yeux à plusieurs reprises, je ne pouvais pas le croire. Une vague de macchabées nous faisaient face, arcs et épées en mains. Tout va bien dans le meilleur des mondes ! J’aperçus à quelques pas de moi un petit groupe d’élèves, tout autant médusés et effrayés que moi. Je me mis à courir vers eux… « Expelliarmus ! » jetant quelques sorts au passage aux tas de squelettes qui commençaient dangereusement à s’approcher de nous. Je regardais à peine mes camarades, bien trop inquiétait par le spectacle qui se dressait devant nous. « Quelqu’un n’aurait-il pas une brillante idée ? » Des idées j’en avais peu, mais des scénarios de notre tragique mort, j’en avais plein. Et tout commença à se bousculer dans ma tête… « Désolé, tout ce qui me vient là, c’est qu’une tripotée de macchabées arrive et qu’on est pas bien nombreux pour les accueillir » De l’humour, dans une situation pareille… C’était parfait. « Très bien, surtout, on ne cède pas à la panique ! » Alors que je prononçais ces mots, j’entrepris un nouveau sortilège, et encore un, et encore un. « Bon ok… j’crois qu’on peut paniquer un tout petit peu en fait… » Ils se rapprochaient de nous par vague de centaines, et clairement, on ne faisait pas le poids, malgré toutes les tentatives de jets de livres et de sorts de nos camarades restés au château, ces petits peureux. « J'ai peut-être une idée, on pourrait lancer un Priori incantatum pour se protéger le temps de trouver autre chose, mais il serait nécessaire que deux personnes d'entre nous possèdent le même élément dans leur baguette. » Mais d’où il sort celui-là ? Je ne l’avais même pas vu. Mais son idée n’était pas mauvaise… « Ventricule de dragon pour moi. »
Dernière édition par Amelia Price le Jeu 9 Jan - 22:00, édité 1 fois
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Mer 8 Jan - 20:00
Il y a des jours où on aurait mieux fait de ne pas se lever. Ou tout du moins de ne pas sortir de cette confortable bibliothèque, au chaud entre ses livres, en sécurité. Eurydice inspirait et expirait lentement, prenant soin de ne pas céder à la panique qui menaçait de la submerger à n'importe quel moment. Des squelettes. De simples squelettes mort vivants. Elle avait vu pire. Tout allait bien. Le squelette le plus proche lui décocha une flèche (ils étaient armés, forcément, sinon c'était pas drôle) qui alla se ficher dans un coin d'herbe près d'elle et Eurydice réalisa que tout n'allait pas bien. C'était même carrément la merde. Elle sortit sa baguette de sa cape et la serra tellement fort entre ses mains que ses jointures en devinrent blanches. Des cris retentissaient tout autour d'elle et la jeune fille se retrouva bientôt au milieu d'un groupe de personnes sans trop savoir comment. Peut-être devraient-ils retourner en sens inverse, vers Pré-au-lard ? Mais la panique régnait peut-être encore plus au village qu'ici. Non, c'était impossible. Elle allait devoir trouver un moyen de passer par ces sacs d'os ambulant. Et Eurydice se maudit de n'avoir pas suivi Azraël lorsqu'ils s'étaient tous les deux enfuient de Pré-au-lard. Lui aurait su quoi faire. Tout du moins mieux que ces crétins qui l'entouraient. Une rousse de Serpentard posa une question stupide à laquelle Jagger Young répondit par une de ses remarques dont tout le monde se foutaient. Un squelette s'approcha un peu trop près d'elle et Eurydice avisa un énorme livre derrière lui qu'un élève du château avait lancé pour les « aider ». « Accio livre », murmura-t-elle et celui-ci, dans l'intention de la rejoindre, passa par le squelette en lui arrachant sa cage thoracique. Il s'effondra par terre, des os éparpiller un peu partout. Pas très solide, visiblement. Le livre devait peser dans les cinq kilos et s'intitulait Tout ce que vous devez savoir sur l'élevage, le soin et l'élevage des dragons asiatiques. Eurydice le balança dans un coin, promettant à je ne sais qui contrôlait son destin de lire cette chose si elle s'en sortait vivante. Elle lança un dernier sortilège d’entrave avant de se tourner vers le reste du groupe. « J'ai peut-être une idée, on pourrait lancer un Priori incantatum pour se protéger le temps de trouver autre chose, mais il serait nécessaire que deux personnes d'entre nous possèdent le même élément dans leur baguette. » Eurydice plissa les yeux. Pas mal. « Ventricule de dragon pour moi. » Voilà qui tombait bien. « Pareil qu'elle. N'empêche qu'il faudra bien trouver un vrai moyen de s'en sortir. », lança-t-elle d'un ton méprisant. « Un moyen de les contourner. Leur envoyer la tête de Jagger, par exemple. Histoire de faire diversion, le temps qu'on arrive au château. J'pense pas qu'ils soient le genre à s’intéresser à plusieurs choses à la fois. » Elle adressa un sourire cynique au Serdaigle mais son cerveau bouillonnait littéralement. Ces squelettes n'avaient pas de cerveau. N'avaient pas d'yeux pour les voir. Bordel de merde, d'où sortaient-ils ?
PARCHEMINS : 49 PATRONUS : Une tigre blanc. PARTICULARITE(S) : C'est une Crane ! C'est déjà une spécialité en soit !
Polaris Z. Crane
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Mer 8 Jan - 20:50
Polaris Z. Crane a écrit:
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Polaris tourna ses yeux bleus vers le petit groupe, ils devaient être six ou sept, point plus. Les autres étaient déjà dans le château, et ne semblait pas apte à dégainer les baguettes pour apporter aide et soutien à leurs camarades. Ils sont lâches, cria une voix dans sa tête. Des voix retentissaient, depuis quelques temps. Elles disaient des choses qu'elle n'aurait jamais pensé elle seule. Aussi était-elle obligé de les écouter, car plus elle les faisait taire, plus les voix augmentaient, retentissaient au fond de son être en écho. A part déguerpir ? Polaris leva les yeux au ciel, tournant ses petits yeux vers le garçon, en esquissant un sourire moqueur. T'es un marrant, toi. murmura-t-elle, avant de se tourner vers un squelette et de lancer un bref sortilège pour le repousser. Désolé, tout ce qui me vient là, c'est qu'une tripotée de macchabées arrive et qu'on est pas bien nombreux pour les accueillir. Polaris se glissa à coté de lui, et le poussa légèrement d'un coup d'épaule comme pour le secouer. « Réfléchis ! » puis, elle tourna la tête vers la voix qui s'éleva. en découvrant un autre garçon qu'elle n'avait pas encore vu. J'ai peut-être une idée, on pourrait lancer un Priori incantatum pour se protéger le temps de trouver autre chose, mais il serait nécessaire que deux personnes d'entre nous possèdent le même élément dans leur baguette. Polaris se mit alors à réfléchir, en continuant de jeter quelques sorts. « Ou un Protego... Si on le fait à plusieurs, ça peut marcher, non ? » Polaris hésitait. Peut-être aurait-elle dût écouter en cours, au lieu de dormir. La jeune Crane lança un dernier Stupéfixavant de se recevoir ... un livre sur la tête. Elle grogna, et se tourna vers le deuxième garçon. « Un poil de licorne ... Mais ... On pourrait peut-être essayer de faire un feu... Un foutu squelette, ça doit brûler, non ? » Puis, une voix retentit, une voix féminine qui prenait un ton énervant, méprisant. Elle parlait visiblement du même ingrédient que la jeune brune. « Pareil qu'elle. N'empêche qu'il faudra bien trouver un vrai moyen de s'en sortir. » Or, Polaris avait sans doute plus de fierté et de dédain une cette fausse blonde. « Un moyen de les contourner. Leur envoyer la tête de Jagger, par exemple. Histoire de faire diversion, le temps qu'on arrive au château. J'pense pas qu'ils soient le genre à s’intéresser à plusieurs choses à la fois. » Polaris resta ébahie. Elle ne savait pas qui était le dit Jagger, a vrai dire, ni même l'identité de cette jeune fille, mais elle trouvait inadmissible qu'elle propose d'envoyer la tête d'un de ses alliés juste parce que madame pense pouvoir mieux s'en sortir. Merlin seul savait comme Polaris détestait ce genre de personne. Alors, elle baissa un instant les yeux, avant de relever doucement la tête et de grogner un petit mot incompréhensive. Si ses yeux avaient été des poignards, la pauvre aurait été transpercée de toute part. A tout problème sa solution. Si tu ne connais pas le processus, extermine ... « La source ! » Pour une fois, les voix semblaient enclines à l'aider ... Parfait. « Il y a forcément une source. Un de mort, dix de retrouvés, il y a forcément quelqu'un ou quelque chose qui les crée. Si on trouve quoi, on sait comment en finir. Ou du moins, on peut essayer. » Polaris dû arrêter de parler à certains instants, pour jeter quelques sorts, dont certains silencieux. Puis, elle se mit à songer. A son lit douillet, à ces filles, qu'elle regardait de la fenêtre, riant aux éclats. Ainsi, elle songeait avoir déjà vu la jeune et méprisante blonde, dont elle fut prise de pitié. Une pitié malsaine. Elle devrait avoir honte de se comporter ainsi. Et puis, elle songea à la jeune fille qui avait ait quelques remarques. Elle, elle ne connaissait pas son nom, mais elle lui inspirait bien plus confiance qu'à cette pseudo-blonde détestable.Que disait-elle ! Pseudo-blonde ? Une vraie blonde, avec le caractère de garce qui va avec. Elle songeait à ce qu'elle avait acheté aujourd'hui,aux livres qu'elle avait choisi ... et puis, elle eut une idée qui rejoignait sa première idée que personne n'avait visiblement écouté. Elle songea alors à la prise de parole, mais se renfrogna, redevenant la gentille fille muette et solitaire qu'elle était. La jolie rousse réajusta son bonnet sur son crâne, l'air visiblement lointaine, effacée. Les Crane étaient souvent craint, en raison de leur réputation qui n'était plus à refaire. Le monde de la magie les connaissait et les reconnaissait, et ce, depuis la grande guerre, ou la Rose et la Lys avait péri dans des conditions tragiques pour l'une, et exécrables pour l'autre. Ainsi, elle songeait à son héritage, à tout et à rien, qui lui permettrait de se tirer en vitesse de ce lieu ou elle était avec un garçon cynique mais marrant, un autre qui semblait être aussi vivant que ces squelettes, une pauvre greluche narcissique et une petite brune qui semblait vouloir paniquer. Et toi ? Une pauvre petite rousse surnommée Poil de Carotte depuis des années, détestés, craintes, respectés, ou même inconnues. Un autre boulet. Polaris soupira, songeant, encore et toujours, tout en lançant des sorts plus ou moins réussis.
AVATAR : evan peters. PARCHEMINS : 437 AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas. PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant. PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.
Jagger D. Young
VIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Mer 8 Jan - 21:58
Très bien, surtout, on ne cède pas à la panique ! Jagger se retourna un instant vers... quel était son nom ? Emilie ? Non... Amelie ? Il était persuadé de l'avoir déjà vu quelque part. Oh, qu'importe, ils seraient tous morts dans quelques instants de toute manière. Il se contenta de poser sa main un instant sur son épaule lorsqu'elle finit par accepter qu'ils étaient véritablement tous dans la merde, comme compatissant de sa soudaine prise de conscience. Dans la sienne, tout n'était pas forcément très clair non plus. Il avait connu des fins de journées plutôt dures mais celle là, c'était véritablement un cauchemar. Et dans l'esprit de Jagger, il y avait une pyramide très définies des choses dont il souhaitait le moins au monde avoir à être confronté : les professeurs quand il se baladait au beau milieu de la nuit dans les couloirs, les préfets lors d'une fête clandestine. Et, bien naturellement, les squelettes puants revenant à la vie et marchant droit sur lui avait une place de choix dans cette catégorisation plutôt sélective. Mais il y avait quelque chose de pire que tout cela, que les squelettes puants revenant à la vie et marchant droit sur lui. Il y avait Abrasax Vanderclov, et son air supérieur. Abrasax Vanderclov et son petit ton de fils à papa. En somme, tout ce qui constituait Abrasax Vanderclov. J'ai peut-être une idée, on pourrait lancer un Priori Incantatum pour se protéger le temps de trouver autre ch... Pendant qu'il parlait, Jagger lanca un deuxième Impedimenta à la tête d'un squelette et fit mine de bailler bien en face d'Abrasax. ...deux personnes d'entre nous possèdent le même élément dans leur baguette. Pas de plume de phénix pour moi, marmonna-t'il, presque dérangé de devoir lui adresser la parole, même dans un cas aussi critique. Ventricule de dragon pour moi. Va falloir trouver une autre brillante idée, Vandercl... Il n'eut même pas le temps de finir sa phrase que Eurydice Johanson avait déjà commencé à parler. Une véritable chieuse, mais tellement bien roulée. Un moyen de les contourner... leur envoyer la tête de Jagger. Oh tiens vraiment, Eurydice. Il l'avait pas vu venir, celle là. Jagger força un rire appuyé et s'approcha bien d'elle. Toujours aussi drôle à ce que je vois. Je crois qu'on a demandé de BRILLANTES idées, et pas des sacrifices, Eurydice. Tu comprends, c'est pas la même chose. Il entreprit de bien articuler la moindre de ses paroles, puis se tourna vers la rouquine plutôt bien foutue qui tenta à son tour de proposer quelque chose. En fait, il fallait se rendre à l'évidence qu'ils étaient tous foutus et qu'il n'y avait plus rien à faire pour leur pauvres âmes. Il y a forcément une source. Ha ? Jagger détourna son regard de la horde de squelettes pour la dévisager. Enfin quelque chose d'intelligent, qui avait du sens et pas trop compliqué. Si on trouve quoi, on sait comment en finir. Ou du moins on peut essayer. Tu sais quoi ? Toi, je t'aime bien. C'est quoi ton petit nom ? Il secoua la tête un instant, comme pour rafraîchir ses propres idées, n'attendant même pas la réponse. Enfin, là n'est pas la question, on aura tout le temps d'en discuter une fois sortis d'affaire. Bref, faut se déplacer en groupe, pas d'autre solution, même si ça ne m'enchante pas. Il lança un coup d'oeil vers Abrasax. Peut-être que si on s'arrange pour que lorsqu'on marche, quelques uns d'entre nous utilisent un Protego sur l'ensemble, d'autres pourront attaquer en même temps, histoire d'éviter qu'on se fasse tous buter. Et on fait ça le temps de dégoter le fils de pute qui nous a envoyé ces macchabées ? Ca risquait d'être compliqué mais ça pouvait être faisable. Et il eut à peine le temps de finir sa phrase qu'un espèce de chandelier tomba à ses pieds, probablement balancé du haut des fenêtres du château. Déjà qu'ils n'étaient pas aidé, il ne manquait plus qu'un des étudiants n'assomme l'un d'entre eux.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Jeu 9 Jan - 19:46
« Impedimenta. » Les squelettes ne cessaient d'affluer par dizaines et son petit groupe allait bientôt se faire submerger. Il fallait bouger et vite. Cependant, malgré les épées pointées sur elle, Eurydice sentit sa peur diminuer peu à peu. Bien sûr ils étaient nombreux, armés, et animés par de violentes envies de meurtre mais c'était tout. Ou était les vrais sorciers ? Les sortilèges, les « avada kedavra » ? Quelque chose qui fasses réellement penser à un attaque, comme à Pré-au-lard. Tout ceci était extrêmement étrange et Eurydice ne put s'empêcher de penser que la véritable menace n'était pas encore arriver. « Toujours aussi drôle à ce que je vois. Je crois qu'on a demandé de BRILLANTES idées, et pas des sacrifices, Eurydice. Tu comprends, c'est pas la même chose. » Il venait d'envahir son espace vitale. Crétin. « Mais je suis toujours extrêmement drôle. Et l'un n'empêche pas l'autre, chéri. » Si Jagger n'était pas Jagger mais un simple corps franchement (très) bien gaulé, Eurydice n'aurait pas hésité à l'attirer dans son lit. Sauf que Jagger ne cessera jamais d'être Jagger. Irritant. Insupportable. Inutile. Le regard que la rousse lui lança agrandit encore un peu plus son sourire moqueur. Qu'est ce qu'elle lui voulait celle-là ? Une fille dont personne ne connaissait le nom devrait regarder ses pieds et ne pas s'octroyer le droit de porter des jugements. Après une minute d'intense réflexion qui sembla lui pomper la moitié de son cerveau, elle dit « Il y a forcément une source. » Naaaaaa, seriously ? Eurydice leva les yeux au ciel. La rousse avait raison, bien évidemment, mais loin d'elle l'idée de l'approuver à voie haute. « Il y a forcément quelqu'un ou quelque chose qui les crée. Si on trouve quoi, on sait comment en finir. Ou du moins, on peut essayer. » Ce qui n'était visiblement pas le cas de Jagger qui semblait être tomber dans une sorte d'extase devant l'intelligence hors norme de la Serpentarde. Qu'est ce qu'il foutait à Serdaigle, lui, déjà ? « Peut-être que si on s'arrange pour que lorsqu'on marche, quelques uns d'entre nous utilisent un Protego sur l'ensemble, d'autres pourront attaquer en même temps, histoire d'éviter qu'on se fasse tous buter. Et on fait ça le temps de dégoter le fils de pute qui nous a envoyé ces macchabées ? » Eurydice ne s'aperçut pas qu'un des squelettes l'avaient prise à revers et elle sentit la fine pointe d'une épée lui piquer les côtes. Le bruit d'une déchirure lui parvint aux oreilles et la jeune fille eut à peine le temps de se retourner qu'elle lui envoya son poing dans la figure. Simple réflexe de son enfance passé dans les rues dangereuses de Bristol. La puissance du choc se répercuta dans tout son corps et la douleur lui fit monter les larmes aux yeux mais plutôt mourir que de simplement le montrer. C'est pourquoi elle empoigna d'une main ferme mais tremblante, sa baguette magique et dit « Atakunto », envoyant rouler le squelette plusieurs mètres plus loin. Puis, elle se retourna et leva le menton dans une attitude de défi. Elle venait de repenser aux propositions émises successivement par Poil de Carotte et Jagger. « Vous êtes stupides ou vous le faites exprès ? Je sais pas, des sorciers qui réussissent à ressusciter les morts, ça court pas les rues. On aurait aucune chance de vaincre ce truc qui les contrôlent même en s'y mettant à dix, pour peu que l'un d'entre vous ne s'évanouissent pas à la simple idée d'un duel. Non, on se protège et on court jusqu'au château. C'est la meilleure solution. »
PARCHEMINS : 45 PATRONUS : un taïpan à tête noire, il est fourchelang il est évident qu'un serpent soit son patronus. PARTICULARITE(S) : il est fourchelang, très peu de gens sont au courant, mais c'est un bruit qui court sur lui et qui entraîne la crainte.
Abrasax Vanderclov
Some people just need a hug around the neck, with a rope.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Jeu 9 Jan - 20:57
Quelle putain de sale fin de journée. A croire qu'ils s'étaient tous concertés pour le faire chier aujourd'hui, les membres de la guilde, cette bande de crétins incapables de se rendre compte que son idée était la meilleure et ces stupides squelettes assoiffés de cervelle. Oui c'était bien vrai, ils faisaient tous chier. Et s'il n'avait pas eu cette idée idiote d'aller se griller une clope, il ne serait pas actuellement en train de se battre contre ces tas d'os, oui, en ce moment même il ne tenterait même pas de balancer des objets depuis les fenêtres. Il serait simplement et courageusement assis dans la salle commune des Serpentard lisant un des nombreux livres dont la bibliothèque regorge. Et le pire dans cette situation, c'était de devoir se trimbaler ce sombre idiot de Jagger, il préférait crever tout seul, que les yeux dans les yeux avec lui. Non, encore pire, il devait en plus l'écouter déballer ses inepties aux petites greluches qui leur tenaient compagnie, ouais Jagger, y-avait pas que son coeur qui était en fête, un putain de queutard déshérité. "Hé Youg, si tu pouvais arrêter de te concentrer sur ses atouts féminins et reprendre tes esprits le temps qu'on trouve une solution. A défaut d'être un sang impur, je te pensais un plus intelligent". Abrasax n'avait pu s'empêcher de le provoquer, même s'il savait que c'était ni les bonnes conditions, ni le bon jour, il avait été puéril mais Jagger lui sortait définitivement par les yeux, à croire qu'il voulait que tout le monde se fasse bouffer. Lançant quelques sorts, tentant de faire dégager un ou deux macchabées de son champ de vision, il écoute d'une oreille presque attentive les idées n'étaient pas mauvaises, mais rechercher la personne à l'origine de cette armée miniature, ça ne l'enchantait absolument pas, c'était du suicide pur et dur et la petite blonde Eurydice n'avait absolument pas tord, même si le ton dans sa voix laissait fortement à désirer. « Vous êtes stupides ou vous le faites exprès ? Je sais pas, des sorciers qui réussissent à ressusciter les morts, ça court pas les rues. On aurait aucune chance de vaincre ce truc qui les contrôlent même en s'y mettant à dix, pour peu que l'un d'entre vous ne s'évanouissent pas à la simple idée d'un duel. Non, on se protège et on court jusqu'au château. C'est la meilleure solution. » Au moins, elle partageait son aggacement envers Jagger. "L'idée n'est pas mauvaise, ce serait du suicide de chercher celui qui a envoyé ces morts vivants. Cependant, on ne peut pas partir tous en même temps, on ne parviendrait pas à se protéger correctement en leur tournant le dos." Abrasax ne parvenait pas à abréger ses phrases, tic habituel du langage, il était pédant et froid, comme s'il se considérait au dessus de tout. Et au final, ne l'était-il pas à côté de ces sangs souillés ? Nikolaz lui susurrait des mots, et cela rebondissait inexorablement dans sa tête. Il tenta de le chasser, il n'avait pas besoin de l'entendre aujourd'hui, mais il continuait, le poussant à la violence, le poussant à s'en aller comme un lâche et à les laisser en pâture à ces sales squelettes puants. Abrasax tentait de réfléchir, mais Nikolaz prenait de l'ampleur, son visage palissait de plus en plus. Il secoua la tête, le chassant cette fois pour de bon. "Petrificus totalus" finissait-il par dire alors qu'un mort se trouvait à quelques mètres de son visage, les os lancés vers l'avant prêts à le faucher. Quelle putain de sale journée.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Jeu 9 Jan - 21:57
Je levais les yeux au ciel, consternait par mes petits camarades qui préféraient se chamailler et s’envoyer des pics plutôt que s’activer à trouver une solution. Bon ok certains ont de bonnes idées quand même, mais cela n’empêche qu’ils ne semblent pas pouvoir s’empêcher de se critiquer et de s’envoyer des regards assassins. Pas besoin des squelettes, ils semblent tous vouloir se tuer entre eux ! Je n’en connaissais aucun, seulement de vue. Cette fille là, il me semble bien que son nom est étrange… Pauline, Polaroid. Ouais un truc dans l’genre. Et ce gars là avec ses petites bouclettes et son humour, il est super craquant et je crois l’avoir déjà croisé dans le grand hall ! La petite blonde me dit pas grand-chose, ni son petit air suffisant. Et l’autre là le grand dadet et ces grandes paroles, il a l’air d’une amabilité… Enfin ! On avait d’autres chats à fouetter, c’est le cas de le dire, mais eux trouver encore le temps de se quereller dans de pareilles circonstances, et ça commençait sérieusement à m’agacer. « Ok les comiques, on se concentre et on essaye de se sortir de c’merdier. » La jolie rousse parlait d’une source, pas bête, mais vraiment, je ne pense pas qu’on aura le temps de trouver ce bonhomme à moins qu’il se pointe devant nous bras ouverts, et j’en doute. « Vous êtes stupides ou vous le faites exprès ? Je sais pas, des sorciers qui réussissent à ressusciter les morts, ça court pas les rues. On aurait aucune chance de vaincre ce truc qui les contrôlent même en s'y mettant à dix, pour peu que l'un d'entre vous ne s'évanouissent pas à la simple idée d'un duel. Non, on se protège et on court jusqu'au château. C'est la meilleure solution. » « Je suis d’accord avec elle, la meilleure des solutions, bien que je doute qu’il existe une solution parfaite dans ce genre de situation, c’est de se grouper et de faire face à nos ennemis ensemble, même si on ne peut pas s’encadrer. » Je jetais un regard vers les deux garçons histoire qu’ils comprennent que leurs petites disputes n’allaient pas faire avancer la chose. Depuis le début, j’étais restée assez calme, dans mon coin, ce qui était assez surprenant de ma part, mais le fait que l’on reste bouche ouverte et qu’on tatillonne devant ces sacs d’os commençait sérieusement à me fatiguer, même si je n’avais pas fait preuve de brillantes idées jusqu’à maintenant, je l’avoue. Notre petit groupe semblait de plus en plus petit face à cette horde de squelette qui ne cessait de grossir. Les chandeliers, livres et autres lampes de nos amis bien au chaud à Poudlard n’y changeraient rien, pour l’instant on était coincé. « …on ne peut pas partir tous en même temps, on ne parviendrait pas à se protéger correctement en leur tournant le dos. » « On réunit nos forces, et on fait ce Protego. Avec un peu de chance, la puissance de toutes nos baguettes réunit immobilisera un tant nos copains les os au sol, et on pourra se rapprocher un peu plus du château. » C’était peut-être une connerie ce que je venais de dire, mais c’était la seule chose qui me venait à l’esprit, et ne rien tenter serait pire que mon idée.
AVATAR : evan peters. PARCHEMINS : 437 AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas. PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant. PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.
Jagger D. Young
VIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Jeu 9 Jan - 22:43
Mais je suis toujours extrêmement drôle. Et l'un n'empêche pas l'autre, chéri. Il se contenta de la regarder de haut en bas et de lui sourire d'un air hypocrite. Jagger n'aurait jamais cru avoir affaire à ce genre de situation. Il aurait tout fait pour que Seeley et Perceval soient avec lui... quoique, pas vraiment en fait. S'ils étaient en sécurité, c'était le principal. D'ailleurs, il se demandait bien ce qu'ils faisaient en ce moment même, s'ils étaient même au courant du bordel qui avait lieu dans le parc. Ce qui était sûr, c'est qu'il aurait tout fait pour être coincé avec quelqu'un d'autre que ce petit prétentieux de pseudo gentleman du diamant. Mes fesses. Ok, les comiques, on se concentre... Elle était mignonne de dire ça, et tout à fait dans le vrai, en vérité. Le truc, c'est que Jagger était incapable de réfléchir correctement et d'établir la moindre réflexion posée quand Abrasax était dans les parages. Il lui sortait par tous les trous. A défaut d'être un sang impur, je te pensais un peu plus intelligent. Jagger manqua de peu un squelette à l'entente de la réplique de Vanderclov, perdant un instant l'équilibre, faisant alors dos au Serpentard. Le petit fils de... Son sens de l'humour s'évapora aussi sec. Il prit une seconde pour attaquer deux-trois morts vivants et se retourna dans sa direction en lui pointant sa baguette droit vers sa laide petite personne. Je te jure que si on avait pas affaire en ce moment même à ces morts vivants, j'aurais fait couler un peu de ton sang si pur, comme tu aimes tant le répéter. Ce n'était certes pas le bon moment pour se prendre la tête sur un sujet pareil, mais Abrasax avait été assez idiot pour lancer une telle vacherie à l'instant. Il avait toujours le chic pour remettre sur le tapis le statut de ses putains de globules rouges. Décidemment, Abrasax réveillait en lui des pulsions qu'il ne se reconnaissait pas. Il avait beau être un petit con, Jagger était loin d'être violent, mais il lui aurait volontiers arracher la baguette de ses mains délicates et le laisser se faire bouffer par ces immondices, si ça ne tenait qu'à lui. Et si Eurydice n'avait pas été de sa maison et si bien foutue, elle aurait sûrement connu le même sort. Elle avait le culot de les qualifier d'idiots, et Jagger retint une réplique. Bizarrement, les deux étaient d'accords sur tout, ce qui le fit lever les yeux au ciel, l'air passablement irrité. L'idée n'est pas mauvaise, ce serait du suicide de chercher celui qui a envoyé ces morts vivants. Cependant, on ne peut pas partir tous en même temps... La fureur n'était toujours pas retombée, malgré qu'Amélia ait tenté vainement de diminuer la tension palpable, cependant il avait tout de même abaissé sa baguette et la tenait parée pour d'autres attaques. Mais simplement parce que la horde se rapprochait dangereusement. J'allais le proposer, s'exclama-t-'il avec dédain, avant de ricaner et de balancer un petrificus totalus presque à l'aveugle. La moitié se barre tranquillement pendant que l'autre se fait bouffer. C'est ça, la méthode Vanderclov, c'est comme ça que ça se passe dans les hautes familles sorcières ? Marrant comme des péteux de leur genre se pissaient soudainement dessus. A croire qu'ils avaient une panoplie de choix. On réunit nos forces et on fait ce Protego. Jagger soutint le regard vers Abrasax et finalement se tourna vers Amélia, hochant la tête pour montrer son accord. Il préférait faire semblant de se rallier à l'avis d'Amélia que d'admettre que Eurydice et l'autre coincé avaient dit. Et on reste ensemble. A l'évidence, déguerpir vers le château était la solution sur laquelle ils arrivaient à se mettre d'accord.
PARCHEMINS : 11 AMORTENTIA : tu préfères être accompagnée par le flou. PATRONUS : corneille ; tu t'envoles en pensée.
Aenid A. Abaddon
Let's kill some evil sons of bitches.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Ven 10 Jan - 18:34
t'as mis un moment à réaliser que ça gueulait à l'extérieur. tu demandais rien à personne ; t'avais simplement décider de profiter de la sortie du jour, et d'attaquer la fatigue à coup de sucre, de sucre et encore de sucre. alors tu chantonnais en rentrant, ton sac plein à craquer de confiseries, c'est même limite si tu semais pas des bonbons sur ton chemin, et t'as strictement rien calculé autour de toi. t'as marché les yeux fixés sur le bout de tes bottes, histoire d'être certaine de pas trébucher, pour une fois. une plume en sucre aux lèvres, avec des commentaires intérieurs qu'on pourrait résumer à "mmh" "oh c'est bon" "grmblblsed" et autres. manquait simplement la bave qui dégouline le long du menton. t'as avancé, avancé, avancé, sans trop faire attention aux bruits derrière toi, devant toi, un peu partout autour de toi. et puis tu finis par relever la tête en entendant des voix, et tu te retrouves incapable de retenir un oh bha merde. putain. tu clignes des yeux, saisis immédiatement ta baguette dans ta poche, et cours quelques minutes pour rattraper le groupe devant toi. d'ici t'as pas la moindre idée de qui il s'agit, mais quelque part ton instinct de survie te gueule que rester seule n'est peut-être pas la bonne solution. et pendant ce temps dans ta tête c'est la folie, ça tourne, ça parle et ça pique les yeux, t'en as même du mal à rester bien plantée sur tes deux pieds. t'atteints le groupe en balançant un immobilus ! sur le squelette le plus proche, stoppes en dérapant au milieu du groupe, manques de t'étaler avec autant de style que les cadavres touchés par les maléfices ; t'agrippes fermement comme tu peux au premier bras à ta portée. tu secoues la tête pour dégager les mèches de cheveux criards qui te bouchent la vue, lances un regard à ton sauveur forcé, et jures encore à voix haute, à son intention. le serpent du groupe évidemment. les visages que tu reconnais autour de toi t'apparaissent doubles, irréels, et tu te dis que les considérer comme des personnes à part entière consiste une perte du temps, au vu de la situation. quelque part, un vague 'pourquoi' atteint ton esprit, et effectivement, tu te demandes un peu ce que des trucs censés reposer dans des tombes depuis un moment déjà font ici, bien debout devant vous, et visiblement décidés à vous faire rejoindre ce putain d'état cadavérique. et armés par-dessus le marché. à cette idée t'as la gorge qui se noue un peu, avec une bonne pointe de jalousie, toi aussi t'aimerais bien une arme, l'idée t'es soufflée tu te sentirais bien plus rassurée avec une lame qui pende à ta ceinture, à saisir dans ta main pour tailler avec. tu te frottes les yeux de la main tenant ta baguette ; t'as pas la moindre idée de comment on utilise ce genre de trucs, et tu mets quelques instants à réaliser que c'est pas vraiment ton envie. alors tu grognes en direction du truc qui bouffe ton cerveau, tes nerfs, ta vie, mais n'est pourtant pas foutu de t'aider dans pareil moment. tu crispes fort tes mains, tellement que tu te demandes comment ta baguette peut être encore en vie, et tu te concentres, t'essayes de suivre la discussion. un source. mh. protego. mh. pas tous survivre. mh. effectivement. ça se mélange dans ta tête, et tu te demandes si en s'arrangeant pour que tous tes petits camarades trépassent, tu pourrais pas aller voir la fameuse source. "hey, on peut pas s'arranger ? j'suis avec toi, même si j'te connais pas" mh. tu réalises que t'as toujours pas lâché vanderclov, t'as même du bien attaquer son bras, aussi tu te dégages avec un regard noir 'tain, lâche-moi, abruti. tu recules. il est foutrement beau. tu regardes rapidement les autres. "et on reste ensemble". sans blague. sincèrement, sans ce fichu besoin que tu te sens de protéger un peu c'que tu peux, t'aurais déjà taillé la route pour tenter de contourner. alors tu les regardes, un peu bêtement. j'ai.. pas la moindre foutue idée, là. j'vous suis. si y'en a pas trop faudrait les tabasser jusqu'à c'que mort s'en s.. ah ouais, nan.. c'est con, mais c'est vrai. tu balances un stupefix par-dessus l'épaule de vanderclov - décidément -, secoues la tête pour essayer de clarifier ta vue et tes idées. non, c'est pas le bon moment. vraiment. intérieurement, tu cries à la dame blanche de se casser, et tentes de décider auquel du groupe tu vas te fier, pour ce coup-ci.
PARCHEMINS : 49 PATRONUS : Une tigre blanc. PARTICULARITE(S) : C'est une Crane ! C'est déjà une spécialité en soit !
Polaris Z. Crane
There is something on your face, oh nevermind it's just jealousy.
Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Ven 10 Jan - 18:58
because all suffering is sweet to me.
that one moment, when you know you're not a sad story. you are alive.
MAY THE ODDS BE IN YOUR FAVOR.
« Vous êtes stupides ou vous le faites exprès ? Je sais pas, des sorciers qui réussissent à ressusciter les morts, ça court pas les rues. On aurait aucune chance de vaincre ce truc qui les contrôlent même en s'y mettant à dix, pour peu que l'un d'entre vous ne s'évanouissent pas à la simple idée d'un duel. Non, on se protège et on court jusqu'au château. C'est la meilleure solution. » cette voix de fillette, cette voix hautaine l'énervait à un point inimaginable. Cette petite blonde qui se croyait si intelligente finirait aussi pitoyablement u'eux, et ça, Polaris se le promettait. « La blondasse, range-ton ego deux secondes, s'il te plaît, ferme-là et laisse-nous réfléchir. Ta chevelure t'empêche considérablement de nous traiter de stupide. » Polaris ne s'énervait pas, elle était calme, avec un léger sourire en coin qui était très voir trop ironique, et qui irriterait d'autant plus la jeune femme. « Et puis, je n'ai pas dit de le vaincre, contrairement à toi, je réfléchis au lieu d'incendier les gens de répliques cinglantes qui montrent au combien tu as besoin de rabaisser les autres pour être à leur niveau. Mais si on le déconcentre suffisamment, oh, et puis, débrouillez-vous. » cracha-t-elle, avant de jeter un nouveau sortilège, calme et détendue. Polaris n'était jamais vraiment énervée. Elle était souvent de mauvais poil, méchante, sarcastique, elle était la jumelle garce, disait-on, mais jamais la colérique, quoi qu'un peu impulsive. « Hé Youg, si tu pouvais arrêter de te concentrer sur ses atouts féminins et reprendre tes esprits le temps qu'on trouve une solution. A défaut d'être un sang impur, je te pensais un plus intelligent » Polaris crut s'étouffer. Elle s'en ficher complètement de Young, de Jagger, de la brune, de la blonde, ou même de ce petit fils à papa trop gâté pour savoir que l'on ne se regarde pas dans un miroir entouré d'or. Non, ce qui l'énervait, c'était ce culte éternel pour le sang. Elle était de sang-mêlés. Et pourtant ! Elle avait le sang le plus dangereux du monde magique, et sa famille en avait le secret depuis des générations ! Alors, pur ou impur, cela faisait-il une différence ? « Ce n'est pas ton pseudo sang-pur qui nous sauvera. » Un lança un bref regard vers Jagger,-le bouclé- et hocha doucement la tête presque imperceptiblement, pour lui montrer simplement qu'elle était de son pseudo-côté, ou plutôt qu'elle ne pouvait supporter les deux personnes qui semblait avoir quelques indifférences avec lui. « Cependant, on ne peut pas partir tous en même temps, on ne parviendrait pas à se protéger correctement en leur tournant le dos. » « Excellente idée ! Toi et la blonde, vous restez derrière, nous on court, et on revient vous chercher plus tard, d 'accord ? » La jeune rousse soupira, excédée par tant d'impolitesse, par tant de problème. Pourquoi en pouvait-elle pas être avec Clove ? Elle serait même prête à supporter ses amies. Elle pensait aux jours ou elle avait daignait refuser ses invitations pour traîner avec ses amies, et elle repensait à aujourd'hui. Pourquoi n'était-elle pas avec sa Clove ? Avec sa jumelle ? Oh, non. Elle devait-être avec eux, stupides personnes sans intérêt, malpoli et égocentrique. Plutôt se ranger du côté des squelettes. Alors, dans un excès de colère, et d'impulsivité, elle lança un « Expelliarmus ! » sans même voir que le manche de l'arme se détacha, pour venir traînasser vivement dans les chevilles d'un jeune garçon. Pas Jagger, l'autre. En le voyant sursauter sans doute de douleur, Polaris grimaça et se tourna à son opposé, en enfouissant sa tête dans son bonnet, peut-être pour essayer de disparaître.
désolée, je réponds mal et vite, je ne pourrais pas répondre ce weekend et je ne voulais pas être trop en retard. C'est trop médiocre :roll:RRRRrrrrrrrrr.
PARCHEMINS : 62
Durmstrang
CA VA SAIGNER MON KIKI.
Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Sam 11 Jan - 14:08
Pray for the dead and fight like hell for the living
intrigue I: may the odds be in your favor RIER PITTS, POLARIS CRANE, AENID ABBADON, EURYDICE JOHANSON, AMELIA PRICE, ABRASAX VANDERCLOV, DYLAN FISHER & JAGGER YOUNG
Il riait. Oui, il riait de la situation. Son corps presque aussi cadavérique que ces squelettes à qui il redonnait vie était secoué d'un rire guttural et effrayant. En plus d'être faibles, il semblerait que ces élèves furent stupides. Oui. Ils auraient dû penser à s'allier, à se soutenir mutuellement mais non. Ils préféraient se déchirer, se disputer. Tant mieux pour lui dans un sens. Cela ne faisait que rendre le spectacle encore plus divertissant. Mais il commençait quand même à s'ennuyer. Un peu. Il n'y avait pas assez de cris, de pleurs, de suppliques à cette horrible chose que les moldus appelés 'Dieu'. Non. Le Profanateur en voulait plus. Il voulait se gorger de leur terreur, se baigner plus tard dans leur sang et faire de cette chair tendre, ses futures marionnettes.
Alors ils les invoqua eux. Les moldus étaient des gens stupides. Ils leur donnaient des noms ridicules, les affabulaient de caractéristiques qui l'étaient tout autant - comment pouvait-on en devenir un par une simple morsure, vraiment la peur faisait vraiment des ravages sur les neurones - et ne comprenaient pas leur véritable beauté. Les Inferis. Ces merveilleux corps en décomposition, à la recherche d'une chair nouvelle pour se nourrir de la leur qui est décrépi. Soudainement, le sol se met à trembler. Il se met à trembler comme s'il était secoué par une vague sismique mais cela ne saurait être le cas. Car il ne tremble que sur une petite parcelle de territoire. Et soudainement, des bras décharnés jaillissent du sol et attrapent les chevilles de Jagger et Abrasax, commençant à les tirer à travers la terre, pour mieux les attirer. Pour mieux les dévorer. Une tête jaillit d'ailleurs et vient mordre la cheville de Polaris, arrachant un petit morceau de peau. Et finalement, ils sont là. Ils sont là en masse, ils sont là et s'approchent des élèves.
Sur terre, comme sous celle-ci. Des mains, des têtes, des pieds jaillissent tout autour du sol, projetant Eurydice et Amelia avec violence sur le sol. Dans leur vol, elle percute Rier et Aenid, et les quatre s'effondrent dans un méli-mélo de bras et de jambes, à la merci du groupe d'Inferis qui se rapproche de plus en plus d'eux, avec une seule idée en tête: les croquer.
Mais alors que les élèves sont dans la mouise, à l'entrée, une petite forme, seule contre toute une armée de monstre se dessine... Dylan Fisher. Pauvre âme esseulée qui doit se débrouiller pour rejoindre les autres, si elle ne veut pas finir sur le menu de ceux qui reviennent d'entre les morts, et qui ont décidé de faire des vivants leur dîner du jour.
Citation :
+Aux squelettes se rajoutent les inferis, aka les zombies du monde magique Ils jaillissent du sol aussi bien qu'ils arrivent face à vous, ils semblent arriver de toute part par centaine et vous ne pouvez toujours pas voir leur maître. + Votre personnage se retrouve clairement dans la mouise Jagger et Abrasax sont entrain d'être tirés par des bras de mort vivants pour se faire dévorer, Polaris s'est fait un peu manger la cheville, Eurydice et Amelia se sont pris des purées de coups de pieds zombies et ont volé jusqu'à Aenid et Rier, les projetant tous au sol et à la merci d'un groupe d'inferis, et Dylan se retrouve seule à l'entrée du parc et doit se débrouiller par elle-même pour rejoindre les autres. + merci de privilégier les réponses courtes Exceptionnellement pour le besoin de l'intrigue, vous pouvez ne pas dépasser les 500 mots lors de vos réponses. Vous pouvez aussi faire plus si vous êtes inspiré : il suffit juste de répondre rapidement. + Amortentia fera progresser l'intrigue mais vous pouvez vous aussi rajouter votre grain de sel. + amusez-vous et rendez vous ici pour flooder et décider de qui postera à la suite.
sloth., MARISSA. & Desdémone
PARCHEMINS : 45 PATRONUS : un taïpan à tête noire, il est fourchelang il est évident qu'un serpent soit son patronus. PARTICULARITE(S) : il est fourchelang, très peu de gens sont au courant, mais c'est un bruit qui court sur lui et qui entraîne la crainte.
Abrasax Vanderclov
Some people just need a hug around the neck, with a rope.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Sam 11 Jan - 22:41
Bordel de merde, la situation commençait réellement à tourner au vinaigre, plus les squelettes avançaient, plus ils s'engueulaient. C'était plutôt compliqué à gérer et Abrasax commençait à bouillir, Jagger lui tapait décidément sur le système et il en perdait tout contrôle de lui-même. Et l'autre petite écervelée touchée dans son égo de sang mêlée qui le défendait, le saoulait haut plus au point, mais il ne répondit rien à sa petite remarque sans intérêt. Il espérait vicieusement qu'ils se feraient tout les deux bouffer, ne souhaitant plus entendre leurs petits discours moralisateurs. "La moitié se barre tranquillement pendant que l'autre se fait bouffer. C'est ça, la méthode Vanderclov, c'est comme ça que ça se passe dans les hautes familles sorcières ?" Abrasax eu soudait envie de balancer son poing dans la gueule de ce crétin, il lui jeta un regard noir, sa baguette craquant presque sous sa poigne, il se contenait. "Dans les hautes familles sorcières, on possède l'honneur de notre sang et de notre rang. Deux valeurs qui ne t'ont visiblement pas été enseignées Young." Un rictus méprisant barra son visage, et il se reprit juste à temps, balançant un petrificus totalus à un tas d'os qui s'approchait bien trop prêt à son goût. Il souffla de soulagement, le visage barré par les cernes qui le caractérisaient, il était plus pâle qu'à l'habitude, il fallait se tirer rapidement d'ici. Un moment de répit de quelques foutues secondes se présenta enfin à lui, il allait en profiter pour retirer la mèche de cheveux qui lui troublait passablement la vue, cependant il sentit une main s'accrocher de toutes ses forces à son bras, il eu un sursaut pensant que c'était l'un de ces bouffeurs de cervelles qui était enfin parvenu à lui foutre le grappin dessus. Il tourna la tête, baguette en main, celle de la personne étrangère se tenant toujours à son bras. Second soulagement. Putain de merde, elle lui avait fichu une sacrée frousse, mais il ne laissa rien paraître. Plutôt mignonne d'ailleurs. Elle lui balance un : "'tain, lâche-moi, abruti." Il lui lança un regard interrogatif. Bon elle venait de l'insulter, et était complètement à la ramasse, mais franchement elle était séduisante. Elle lui lâcha enfin le bras et il aurait parié qu'il en garderait les séquelles, traces d'ongles enfoncés dans sa peau blanchâtre. Un véritable fantôme. Inquiet, il regardait cette armée morbide avancer vers eux, ils en avaient pourtant décimé quelques uns, mais ils revenaient toujours plus nombreux. Un sort passa aux ras de son cou, il en sentit la chaleur jusque dans ses entrailles, putain, qu'est-ce qu'elle foutait, elle voulait le tuer maintenant ? Il lui jeta un regard, et dans un sourire lui lança "C'est pas moi que t'es censée tuer, surtout si on doit se re...." Il n'eut pas le temps d'achever sa phrase. La terre trembla, il vacilla. Et ce qui apparut face à lui, fut l'une des pires choses qu'il avait vu jusqu'à présent. Du sol jaillirent d'autres squelettes, plus de squelettes et des sales fils d'inféris. C'est à cet instant précis qu'Abrasax comprit que s'il s'en sortait vivant c'était qu'il avait une putain de chance de cocu. Il se releva enfin, se demandant comment ils allaient bien pouvoir se démerder pour ne pas crever d'ici trente secondes. Il se tenait à côté de Jagger, reprenant son souffle. Il fut coupé, d'un geste sec et osseux il se sentit saisir par la cheville. D'autres mains se joignirent à la première, il osa enfin jeter un oeil inquiet à ceux qui venaient de le chopper. Cette fois, il commençait sérieusement à avoir la trouille. Des mains squelettiques sortant de terre l'avaient attrapé et elles possédaient une force inouïe, la faim et l'envie de chair les motivaient surement. Il se sentait irrésistiblement entraîné en direction du sous-sol, son pied traversant presque la terre. Il eu envie d'hurler, il se retint. Il regarda autour de lui tout en secouant violemment la cheville espérant désespérément se dégager de l'emprise qu'ils avaient sur son corps. Jagger était dans la même situation que lui, ils avaient l'air de deux pauvres cons morts de trouille. "Putain Young, je pensais que ce serait moi qui te tuerais, pas ces putains de sales connards."Il marqua une pause, tentant tout ce qui lui passait par la tête. " Stupefix". Quelques mains se stoppèrent, mais ne le lâchaient pas, les autres l’entraînaient sans remords dans les profondeurs. Il était sacrément dans la merde.
PARCHEMINS : 61 AMORTENTIA : Célibataire, mais mon coeur bat pour quelqu'un PATRONUS : Un panda PARTICULARITE(S) : Ta joie de vivre, ton optimisme et ta capacité à remonter le moral avec quelques farces ...
Dylan Fisher
I'LL WIN YOU WITH MY RAINBOW KISSES AND UNICORNS STICKERS.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Dim 12 Jan - 6:13
Apparemment, nous avons tous au moins l’un des sept péchés capitaux qui nous correspond. Pour moi, c’est sûr et certain que c’est la gourmandise. J’étais partie le plus tôt que je pouvais du château afin d’aller faire mes courses chez Honeydukes, la confiserie de Pré-au-lard et avait pris le plus grand soin de compter mon argent de poche et de prendre seulement le montant dont j’avais besoin pour faire mes emplettes. Je m’étais fait un budget et il fallait absolument que je m’y tienne. Cet été, j’avais gagné pour l’équivalent d’une centaine de gallions et il fallait que j’en conserve pour des choses plus importantes que des sucreries. Après tout, puisque mes parents ne me donnait plus le moindre sous, il fallait que je fasse attention à ce que mes paies de mon travail ne se dépensent pas d’un seul coup au Honeydukes – ce serait un véritable sacrilège ! Je revins donc, le sourire jusqu’aux oreilles avec plusieurs paquet de guimauves ainsi que du chocolat (mes deux péchés mignons, vous devez vous en douter). Maintenant il ne me restait plus qu’à traverser le parc, entrer dans le château et manger mes trouvailles devant le feu de cheminée de la salle commune des Poufsouffle, une véritable journée au paradis ! Je marche lentement, espérant ne rien faire tomber. J’aurais dû emmener un sac ou quelque chose afin de mieux les transporter au lieu de me les trimballer dans les bras. Ça aurait été intelligent, mais il fallait y penser … et disons que j’avais été préoccupée par d’autre chose … comme mon estomac. Je marche donc lorsque j’entends des cris stridents à m’en donner la chair de poule, qui proviennent du château. Pas du genre lorsque des amis se taquine entre eux, mais de vrais cris de terreur. Je lâche tout, mes paquets de guimauves se trouvant maintenant au sol et je me mets à courir dans la direction que je crois la plus appropriée : celle où j’ai entendu les cris. Soudain, quelque chose passe en coup de vent devant moi me faisant perdre pied et je m’écroule sur le sol de tout mon long, la figure dans le sentier de pierre. Je me relève douloureusement, je vais probablement avoir de sacrés bleus. Je commence à m’examiner pour voir si je ne saignerais pas quelque part lorsqu’un mouvement attire mon attention sur ma droite. Je lève la tête afin de voir si je ne connaîtrais pas la personne qui arrivait mais la chose que je vois est tout sauf humaine. Enfin … ça l’étais autrefois, mais aujourd’hui, ce n’étais plus qu’un squelette ambulant qui se dirige vers moi avec une épée ma foi … assez bien aiguisée ! Je me dépêche de prendre ma baguette qui se trouve dans le revers de ma cape et lance le premier sort qui me vient par la tête «Reducto !». Ayant visé l’arme de mon adversaire, celle-ci devint un tout petit couteau minuscule. Eh bien au moins maintenant, s’il réussissait à me toucher, ça ferait moins mal … Pendant ce temps-là, d’autres squelettes ainsi que des … inferis ! commençaient à affluer de tous bords tout côtés et je fis de mon mieux afin de les empêcher de m’approcher. Je lançais un Expelliarmus lorsque j’entendis des voix lointaines. Lorsque je regardai vers le château, je vis plusieurs silhouette qui se battaient elles aussi avec la même chose que moi. Eux au moins avaient la chance d’avoir de l’aide. Trois squelettes profita de mon moment d’inattention afin d’accourir vers moi et l’un deux réussi à me couper avec son épée au niveau de la cuisse. Lorsque je pris quelques secondes afin de regarder ma blessure, je pu voir qu’elle était seulement superficielle et donc, pas dangereuse. Par contre, je n’avais pas le moins du monde le temps afin d’empêcher le sang de couler. Je leur lançai un Incarcerem et les trois macchabés se retrouvèrent ligotés ensemble. Je regardai encore vers le château et espérant qu’ils réussissent à m’entendre :
- Hey ho ! Un coup de main ne serait pas de refus !
Spoiler:
Désoler c'est pas super =S C'est plus mon entrée en scène, mes autres posts seront mieux =P
AVATAR : evan peters. PARCHEMINS : 437 AMORTENTIA : ▪ véritable coureur de jupons, mais est en quelque sorte tombé sous le charme de la jolie cordélia lysaght. la seule meuf qui fallait pas. PATRONUS : ▪ un fennec, plus grand que la moyenne, un ours brun, auparavant. PARTICULARITE(S) : ▪ président des cœurs en fête ; demi-vélan ; paresseux surdoué ; dragueur invétéré ; fondateur et gérant d'un petit trafic d'objets interdits au sein de l'école ; véritable collectionneur d'heures de colle.
Jagger D. Young
VIEILLE PROSTITUÉE DES ANNÉES 80 SUR LE RETOUR A LA TOUFFE PEROXYDEE
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Dim 12 Jan - 11:15
C'était vraiment trop le bordel. Quand il pensait à ce qu'il pourrait faire en ce moment même. Être là haut au bord des fenêtres à balancer de simples chaises et en se disant simplement que ceux qui étaient en bas étaient carrément foutus. Parce que ce serait exactement ce qu'il penserait s'il n'était pas justement la chair à pâtée présente dans le parc. Mais non, il était en bas, avec toute la marmaille, à supporter un Serpentard complètement stupide. Dans les hautes familles sorcières, on possède l'honneur de notre sang et de notre rang. Deux valeurs qui ne t'ont visiblement pas été enseignées, Young. Ses yeux se plissèrent, et il ravala la réplique qui brûlait le bout de sa langue. C'est fou avec quelle aisance et quelle stupidité tu arrives à répéter exactement ce qu'on t'a dit de penser, Vanderclov. Ce qu'on lui avait appris à lui, c'était le respect des autres (oui bon ça se voyait pas tout de suite, surtout chez Jagger) et l'importance minime d'un quelconque rang, comme il se disait lui-même si bien. C'était certainement pas son rang si noble qui allaient les aider à les tirer de là de toute évidence. Il ne continua pas le débat, conscient qu'il n'allait faire que s'éterniser et que la situation n'était pas faite pour ce genre de dispute. Mais il laissa Polaris exprimer le propre fond de sa pensée, tout à fait similaire à la sienne. Ce n'est pas ton pseudo sang-pur qui nous sauvera. Jagger se contenta de combattre encore quelques squelettes qui s'approchaient toujours plus près, encore plus près, balançant des Impedimenta et Expelliarmus à tout va. Et quand une petite excentrique débarqua en se collant maladroitement à Abrasax (la pauvre), puis proposa qu'on les tabasse à mort, pour se contredire juste ensuite, un petit rire nerveux sortit du fond de sa gorge. Oui en effet, je pense pas qu'ils soient sensibles à ce genre de violence là. Et à peine son légendaire petit sourire s'était étalé sur son visage, qu'il disparut aussitôt. Le sol s'était mis à gronder, comme si un séisme s'était concentré sous leurs pieds. Il eut le temps de voir Abrasax vaciller, et jeta un coup d'oeil aux autres, l'air effaré. Ce tremblement ne pouvait rien signifier de bon. Qu'est-ce que... Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que déjà Jagger sentit sa cheville se faire attraper douloureusement. Le Serdaigle tenta de rester debout, un peu déséquilibré par le contact à la fois froid et brûlant de la prise qui s’exerçait sur son pied. Quand il baissa les yeux, il n'en crut pas ses yeux. Des Inféris semblaient avoir décider de l'avoir pour dîner. Putain de bordel de merde. Il secoua inutilement sa cheville, et la sentit se tordre douloureusement. Putain Young, je pensais que ce serait moi qui te tuerais, pas ces putains de sales connards. Jagger leva le regard vers Abrasax, l'air consterné. Il était étrangement grossier, tout à coup. On en parlera de ma mort plus tard si tu veux bien, d'accord ? hurla-t'il avec sarcasme, avant de lancer un Impedimenta, qui ne changea pratiquement rien à la situation actuelle, laquelle étant qu'il se sentait lentement attirer vers les profondeurs de la terre. Il entreprit alors de donner des coups de pieds sur les mains qui jaillissaient, alliant ses gestes avec un sortilège. Incendio ! Bizarrement, ce sort là semblait avoir plutôt bon effet, de nombreuses mains lâchèrent, mais il en résultait que son pantalon avait légèrement cramé et que sa peau le brûlait terriblement. C'était toujours mieux que de se bouffer... Puis il pensa avec effarement que les autres étaient tombés et étaient encerclés, et n'entendait que des cris plutôt indistincts.
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Dim 12 Jan - 15:14
Ils étaient vraiment dans la merde. Jusqu’au cou. Comment pouvaient-ils s’en sortir face à une armée de squelettes ? Amelia n’en revenait toujours pas, et tentait du mieux qu’elle le pouvait de les écarter de leur petit groupe à coup d’Expelliarmus, de Stupéfix et d’Immobilus. Petit groupe qui passait plus de temps à se disputer qu’à réellement s’unir pour battre ces putains de sacs d’os, et mettre fin à ce putain de calvaire. Mais bordel qu’est-ce-que les profs foutent ?? Personne ne semblait avoir pensé à eux, eux censés protéger leurs élèves dans toutes les circonstances. Mais apparemment, il ne faudrait pas compter sur eux pour se sortir de ce merdier. Amelia bouillonnait de l’intérieur, elle ne voyait aucune échappatoire à leur situation, ils finiraient en morceaux sous les coups de ces squelettes, c’était presque certain. La Gryffondor ne réfléchissait même plus, jetant des sorts à tout va pour tenter de sauver leurs peaux le plus longtemps possible. Rester en vie. Survivre. C’était tout ce à quoi la brunette pensait. L’une de ses plus grandes qualités était la fidélité, comme son patronus (un husky) pouvait en témoigner. Et bien que tous ses camarades commençaient sérieusement à l’énerver, force est de constater qu’Amelia ne les laisserait pas tomber. En envoyer à ces macchabées pour faire diversion ? Jamais cette idée ne traversa son esprit, contrairement à cette petite blonde qui se croyait drôle. « Dans les hautes familles sorcières, on possède l'honneur de notre sang et de notre rang. Deux valeurs qui ne t'ont visiblement pas été enseignées, Young. » Et cette histoire absurde de sang-pur évoquée par ce Serpentard ! Mais qu’est-ce-que ça avait avoir là-dedans ? « Ce n'est pas ton pseudo sang-pur qui nous sauvera. » Polaris laissa échapper le fond de sa pensée, et un large sourire moqueur se dessina sur le visage d’Amelia. Bien que ce sorcier imbu de sa personne ne lui inspirait aucune sympathie, voir même une certaine haine, elle qui était de sang-mêlé, Amelia ne put se résoudre à abandonner l’un des siens – un élève de Poudlard – pour sauver sa vie. Même s’il était fort probable que lui n’en ait rien à faire d’elle et des autres. « Garde ta salive pour quelque chose de plus utile, crétin. Une idée pour nous sortir de là par exemple, toi qui a l’air de tout savoir sur tout. » Elle n’avait pas pu s’en empêcher, bien qu’elle les maudissait pour leurs engueulades à répétition qui ne débouchaient sur rien. Mais putain qu’est-ce-qu’il pouvait dire comme conneries ce serpent, et ses mots sortir de la bouche d’Amelia avant même qu’elle ne puisse contrôler quoi que ce soit. Soudain, alors qu’elle regardait Abrasax d’un œil noir, une nouvelle fille arriva comme une tornade et s’aggripa à son bras. Amelia n’eut même pas le temps de s’attarder sur elle qu’un tremblement de terre d’une rare violence secoua tout le parc. Déstabilisée par le séisme, Amelia fut projetée au sol, puis rouée de coups de pieds. Elle eut beau en donner en retour, tout en se protégeant le visage avec ses bras, les squelettes ne se brisèrent pas sous ses coups. Tout simplement parce qu’il ne s’agissait pas de squelettes. Amelia, toujours emprise à de nombreuses violences, écarta légèrement ses mains de son visage, tombant nez à nez avec… un Inféri. La Gryffondor se mit à crier sous les coups de ces zombies avide de chair, avant qu’un dernier choc ne la fasse valser dans les airs, en même temps qu’Eurydice, jusqu’à Aenid et Rier. Elle lança un regard à la petite blonde, qui semblait tout autant amoché qu’elle. Des mains jaillissaient du sol, par centaine, d’autres arrivaient de nulle part. Amelia atterrit comme une vulgaire roche sur le sol, ensanglantée de partout, lorsqu’Eurydice s’effondra sur elle, provoquant chez la Gryffondor un puissant cri de douleur. C’était un véritable carnage.
PARCHEMINS : 49 PATRONUS : Une tigre blanc. PARTICULARITE(S) : C'est une Crane ! C'est déjà une spécialité en soit !
Polaris Z. Crane
There is something on your face, oh nevermind it's just jealousy.
Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Dim 12 Jan - 20:47
because all suffering is sweet to me.
that one moment, when you know you're not a sad story. you are alive.
MAY THE ODDS BE IN YOUR FAVOR.
En entendant Amélia, Polaris esquissa un sourire qui prouvait ô combien elle la soutenait dans ce débat puéril qui datait d'avant-guerre. Polaris n'était pas une personne qui s'avançait dans de quelconques débats, conférences et ne discutait que très peu avec des gens dans le seul but de partager son point de vue, mais force est d'avouer qu'elle se sentait vexée, pour le coup. Elle était une sang-mêlés, mais appartenait quand même à la plus grande famille d'empoisonneur de tous les temps. Famille de sang-mêlés noble et respectée. Alors, Polaris se contenta de fixer l'horizon, en lançant quelques sortilèges. Certains très inutiles, d'autres plutôt intéressants. Elle n'en connaissait que la moitié, le reste lui étant dicté par ces voix qu'elle entendait. Elle était folle, mais elle avait en elle une grande puissance. Polaris lança même un sort de chaînes enchantées autour d'un squelette qui s’apprêtait à lancer des flèches. Un sort qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam, si vous voulez mon avis. Mais le geste se fit seul, comme si ce n'était pas son poignet qui l'avait actionné. Après un court silence suivit de cri, la rêveuse comprit que le sol était en train de se mouver sou leur corps. Ils étaient faibles, et rien ni changerait. Le sol gronda, hurla des atrocités qu'aucun n'aurait pu comprendre. Mais avant toute chose, il les mettait en garde. Or, elle n'avait pas assez écouté, et sentit une brûlure atroce au niveau de sa cheville. Elle sentit son sang couler le long de sa jambe, et ses joues prendre une teinte coquelicot. Elle déglutit, et malgré ses mouvements, les dents n'arrêtaient pas d'arracher le plus de peau possible, quitte à ronger l'os. Polaris s'effondra vite au sol dans un cri de douleur, et manqua de se faire dévorer. Or, un sortilège d'auto-défense, la charge électrique s'enclencha, et toutes les mains, dents ou autres la lâchèrent, suite à la décharge électrique assez puissante qui venait de jaillir de son corps. C'était un sortilège mineur, qui n'avait même pas besoin d'être prononcé, bien heureusement. « Impedimenta ! » commence-t-elle doucement, pour en stopper quelques uns qui s’apprenaient à sortir de la terre. « Incarcerem ! » continue-t-elle, sur les squelettes qui arrivent. Puis, tournant la tête, elle vit Jagger et l'autre garçon, attrapé par des mains de je ne sais quelles bestioles. Polaris, tout en lançant quelques sortilèges, tourna encore la tête et vit Amelia sous la blonde. « Incendio ! » cria-t-elle, pour dégager le passage devant-elle. En trébuchant, en grognant de douleur et en boitant, la jeune femme arriva vers le deux filles, qui semblaient visiblement mal en point. « Vous allez bien ?! » Polaris jeta un regard vers la jeune brune, qui semblait souffrir le martyr. Si elle ne se levait pas vite, elle risquait de se faire bouffer le dos par une des créatures. « Il nous faut des balais. » Puis, se tournant vers un squelette, balançant un Incendio parfait, Polaris remarqua la brune au fond du parc, qui devait parcourir tout le champs de bataille pour les atteindre. « Y'a une fille, là-bas... » Polaris sut qui c'était, l'aillant déjà vu traîner dans le château. Et elle put vite comprendre qu'elle avait besoin d'aide.
Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Ven 17 Jan - 19:57
La tension dans le groupe monta d'un cran à l'évocation du sang impur de Jagger. Eurydice regarda le Serpentard d'un air intrigué, comme pour mieux évaluer son degré de sérieux. Cette manière de juger les autres sur leurs ancêtres était étrange pour la Serdaigle qui n'y avait jamais vraiment été confronté dans son enfance. Ses parents, pourtant de sang-pur, avaient bien d'autres chats à fouetter et elle-même avait été obligé de vivre parmi les moldus. Ce n'était pas dans sa nature de rabaisser les personnes sous prétexte qu'ils avaient une parenté avec eux. Et certes Jagger était tout sauf d'une pureté immaculé mais son sang... Et bien, il devait être comme tous les autres. C'était purement scientifique. Or, Eurydice était une scientifique. Elle décida de ne pas s'en mêler, comme toujours lorsque cela touchait à la nature du sang. Cependant, l'estime qu'elle portait au Serpentard baissa nettement d'un cran sans même qu'elle ne s'en rende compte. « Expelliarmus. » La rousse l'apostropha encore une fois et sa remarque sur la blondeur de ses cheveux l'a fit éclater d'un rire qui aurait pu terroriser les squelettes s'ils avaient possédé des oreilles. Bon dieu, les Serpentards étaient-ils tous aussi antipathiques ? Non, Azraël n'était pas ainsi, pas avec elle. Car c'était cela qui l'irritait le plus. Peu lui importait qui les autres insultaient, méprisaient et rabaissaient tant que ce n'était pas elle qu'ils avaient dans leur viseur. Eurydice pouvait être amie avec la plus grande crapule qui soit, tant que celle-ci lui gardait tout son respect et son amitié. C'était toujours ainsi, une sorte de troc tacite : son attention contre son indifférence à elle. Tout du moins, le pensait-elle. La Serdaigle lui lança un regard faussement maternel qui exprimait toute la pitié qu'elle éprouvait pour cette fille. « Et on reste ensemble. » Eurydice hocha la tête. Elle était d'accord avec Jagger bien qu'il n'avait fait que répéter ce qu'elle avait déclaré plus tôt. La pression qu'exerçait les squelettes sur leur groupe diminua légèrement mais la jeune fille ne s'en rendit pas compte, trop occupé qu'elle était à se retenir de lancer un sort à cette carotte sur pattes et sa détestable voix. Ta gueule. C'est alors que la terre trembla violemment, presque aussi fort que les jambes de la Serdaigle lorsqu'apparut des mains, des pieds, des bras décharnés de toute part. Et puis soudain, les Inferis jaillirent par dizaine du sol. Des Inferis. Non. Non, non. Plus que le courage, ce fut sa fierté qui empêcha Eurydice de crier à plein poumon. Sa raison, également, car à quoi pouvait bien lui servir de s'époumoner si ce n'était pas pour mieux attirer l'attention sur elle. Des membres sortis de nulle part s'enroulèrent autour de ses jambes à la manière d'horribles serpents et la secouèrent dans tous les sens sans qu'elle ne puisses rien faire. Elle fut projeter par une force irascible vers deux petites silhouettes se tenant à l'écart et tous s’empêtrèrent comme jamais. « Poussez-vous, bon sang ! ». Une personne lui marcha sur la jambe, puis sur le bras avec sa chaussure et Eurydice sentit qu'elle ne s'en sortirait pas sans d'énormes bleus sur tout le corps. Encore pire qu'après son premier cours de Vol. Elle se releva brièvement avant qu'une nouvelle secousse ne la fasses s'étaler à nouveau sur la Gryffondor qui poussa un petit cri de douleur. La rousse arriva vers elle en boitant et Eurydice ne put s'empêcher d'éprouver un vague sentiment de satisfaction à la vue de sa grimace. Pauvre chou.« Vous allez bien ?! » Un rire nerveux s'échappa de sa bouche. « Sincèrement, j'ai jamais été aussi heureuse de toute ma vie. Qui n'a jamais rêvé de voir des Inferis en vrai ? » Eurydice se releva péniblement, tendant sa main à la Gryffondor pour l'aider à se relever. Il fallait se serrer les coudes, bien que cela lui coûtait énormément d'effort. C'est alors qu'elle aperçut une forme humaine loin derrière les Inferis, qui agitait les bras pour tenter de se dépatouiller des cadavres ambulants qui l'entouraient. « Dylan ? », murmura-t-elle d'une voix tremblante. Eurydice n'en croyait pas ses yeux. « C'est pas vrai. » Qu'est ce qu'elle foutait là-bas ? Ne pouvait-elle pas avoir rejoint le château lorsqu'il en était encore temps ? Eurydice ne réfléchit pas plus avant, ses disputes avec la pouffsouffle, le soudain mépris que la brune avait éprouvé pour elle, tout, elle oublia tout. Un plan s'était déjà formé dans sa tête, elle allait la ramener coûte que coûte. Lancer un sort, un incendio avec... Ses mains farfouillèrent dans sa cape, ses bottes, ses poches mais elle ne la trouva pas. Elle ne trouvait pas sa baguette. Elle avait perdu sa baguette. Sa baguette... Son cœur s'arrêta pendant une demi seconde, une demi seconde de pure panique, avant de repartir à tout rompre. Ses yeux parcoururent l'herbe autour d'elle jusqu'à ce qu'elle l'aperçoives un peu plus loin, près de Jagger qu'elle ne pouvait atteindre. Réfléchis, réfléchis. Sa gorge était si sèche qu'elle n'avait même plus la force de crier alors que des Inferis les encerclaient et s'accrochaient à ses vêtements. Regarde tes pieds, regarde, regarde !
PARCHEMINS : 62
Durmstrang
CA VA SAIGNER MON KIKI.
Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living. Mar 4 Fév - 22:25
Les Âmes Vengeresses a écrit:
Pray for the dead and fight like hell for the living
intrigue I: may the odds be in your favor RIER PITTS, POLARIS CRANE, AENID ABBADON, EURYDICE JOHANSON, AMELIA PRICE, ABRASAX VANDERCLOV & JAGGER YOUNG
Les morts se font de plus en plus nombreux et les élèves sont de plus en plus en difficulté. Tous sont blessés. Leurs sangs teintent de rouge l'herbe verte de la plaine et bientôt, tout espoir semble perdu. Tous tombent à genoux d'épuisement. C'est trop. Trop pour eux. Et bientôt ces cadavres et squelettes vont les croquer. Ils entendent déjà leurs dents claquer. C'est fini. Ils n'attendent plus d'aide, plus rien. Du moins, jusqu'à ce que soudainement, leurs camarades et les professeurs sortent du château, baguette à la main, bien décidés finalement à sauver les leurs. Poudlard est une famille et ils semblent enfin se le rappeler. Rapidement, entourés par d'autres élèves les protégeant du mieux qu'ils le peuvent, ils sont tous ramener à l'intérieur alors qu'une lutte féroce se déroule autour d'eux. Mais ils n'entendent plus rien. Ils ne voient plus rien alors que tous s'évanouissent dans ces bras inconnus et pourtant si familiers et qu'ils sont emmenés de toute urgence à l'infirmerie, leurs corps nécessitant des soins de toute urgence. Ils sont vivants, mais à peine...
sloth., MARISSA. & Desdémone
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Sujet: Re: INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living.
INTRIGUE I ✤ Pray for the dead and fight like hell for the living.