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❝ cercei ✤ boulevard of broken dreams. ❞

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H. Cercei Stonem
PARCHEMINS : 278
AMORTENTIA : COOOOOOORDELIA (achille aussi, mais cordélia quoi.)
PATRONUS : un cygne.
PARTICULARITE(S) : badass.

H. Cercei Stonem
DARK SISSI, BITCH.


TON RAPPELTOUT
QUATRE CENT ANS AVANT:
RELATIONS:
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MessageSujet: cercei ✤ boulevard of broken dreams.   cercei ✤ boulevard of broken dreams. EmptyMer 18 Déc - 19:37


Cercei Haylin Stonem
“At some point, you have to stop running and turn around and face whoever wants you dead. The hard thing is finding the courage to do it.”
Ros Askarov ∆ fragile ∆ gentille ∆ pleine de vie ∆ mélancolique ∆ loufoque ∆ gaffeuse ∆ boudeuse ∆ de confiance ∆ délicate ∆ peu embêtante ∆ courageuse ∆ de bons conseils ∆ toujours là pour ses proches ∆ bavarde ∆ souriante ∆ juste ∆ patiente ∆ pleine de bonté et de volonté ∆ déterminée ∆ imaginative ∆ agréable ∆ studieuse ∆ observatrice ∆ maladroite ∆ innocente ∆ mature ∆ généreuse ∆  loyale ∆ bordélique ∆ timide ∆ introvertie ∆ pudique ∆ amicale ∆  elle était du genre à manger pour quatre sans prendre un kilos ∆ elle aimait lire et pouvait passer beaucoup de temps à la bibliothèque juste pour le plaisir de s'instruire ∆ doté d'un caractère plutôt discret, Ros n'aimait pas être mise en avant ∆ elle avait toujours de très bonnes notes aux examens et pouvait étudier pendant des heures ∆ elle s'attachait très vite aux personnes qu'elle rencontrait et s's’inquiétait toujours pour ses amis ∆ elle n'a été amoureuse qu'une seule fois ∆ elle détestait qu'on lui dise qu'elle n'est pas capable de faire quelque chose ∆ elle passait le plus clair de son temps à rêver, elle aimait se faire des films ∆  

Cercei Stonem  ∆ dix-neuf ans  ∆ poufsouffle  ∆  sixième année  ∆ célibataire ∆ bisexuelle  ∆ grande gueule à l'extrême  ∆ indépendante  ∆ loyale comme pas deux  ∆ un brin fofolle  ∆ provocatrice  ∆ joueuse  ∆ un peu vulgaire dans sa manière de s'exprimer, putain, bâtard et mal-baisé(e) sont ses mots favoris ∆ courageuse  ∆ orgueilleuse  ∆ feignante  ∆ amicale  ∆ agressive  ∆ bagarreuse  ∆ insoumise  ∆ incorruptible  ∆ déterminée  ∆ sans gêne  ∆ colérique  ∆ protectrice, prend toujours la défense des plus faibles, c'est une vraie justicière ∆  si elle n'aime pas quelqu'un, ça se voit  ∆ farceuse ∆ peu sérieuse sauf pour les sujets graves  ∆ pas susceptible pour un sou, elle rigole de tout  ∆ pleine d'assurance ∆ si tu touches à ses amis, fais tes prières ∆ très câline  ∆ fonceuse  ∆ juste  ∆ un peu trop curieuse ∆  pleine de bonne volonté ∆ cercei voue un culte à sa meilleure amie cordélia, c'est sa meilleure, mais encore bien plus que ça encore, l'amour de sa vie  ∆  elle partage une relation malsaine avec Achille à laquelle elle aimerait mettre un terme sans succès  ∆ sinon elle s'envoie en l'air avec jagger pour se sentir vivante  ∆ elle a des réactions surprenantes  ∆ elle déteste la bibliothèque et préfère enfreindre le règlement  
Ros Askarov, 16 ans au début de la guerre, 23 ans à la fin, durmstrang ✤ Ros est la fille unique d'une des plus proches conseillères de Freya Romanov, la directrice de Durmstrang. Elle passe le plus clair de son temps avec Sofia, son coup de foudre amical pour ne pas dire sa moitié. Elles se sont également liées d'amitié avec Natalia formant un trio que toutes les autres filles envient à Durmstrang. Malheureusement les beaux jours furent de courte durée. La guerre éclate et Natalia choisi son camp. Sans scrupule elle fait tomber à l'eau le plan de Sofia et Ros en fait les frais. Elle est retenue prisonnière des slaves et vie un calvaire à cause de la cruauté de son fiancé, Igor Hristov. Le pouvoir l'a littéralement transformé, elle-même a du mal à le reconnaître. Il prend un malin plaisir à lui faire subir ses changements d'humeur malgré tout l'amour qu'il lui porte, il l'a détruit sans une once de culpabilité. En plus d'être sa prisonnière, elle est esclave de ses sentiments. Ros n'arrive pas à lui en vouloir, fragile, elle n'arrive pas à lui tenir tête non plus. Comme un puzzle qui perd toutes ses pièces, au fur et à mesure des jours qui passent, elle perd des morceaux d'elle-même. Heureusement grâce à l'aide précieuse d'une rencontre imprévue, Briséis, les proches de Sofia vinrent l'a sauver de son cauchemar infernale. Le visage d'Igor complètement transformé par le pouvoir ne cesse de l'a tourmenter. L'arrivé à Poudlard fut difficile. Le cauchemar de Ros continu lorsqu'elle apprend que sa meilleure amie Sofia, qu'elle vient juste de retrouver, est en fait un Horcruxe. Une nouvelle accablante suivi d'une autre qui concerne son ancien geôlier. Malgré tout le mal qu'il lui a fait et toutes les humiliations subit, malgré qu'il l'ait brisé autant qu'il l'ait aimé, l'annonce de son décès n'a en rien soulagé la peine de Ros. Au contraire. Le sort s'acharne sur elle. Elle perd son grand amour et en plus elle risque de perdre son âme soeur. Elle a essayé de remonter à la surface, mais rien. Elle s'est noyé dans un tourbillon qui l'a faite touché le fond. La folie, la tristesse, le désespoir ont  eu raison d'elle. Après de nombreuses tentatives de suicides, le décès de son ami Nathaniel quelques heures plus tôt lui fut insupportable, insurmontable et injuste. C'est Sofia, qui, dans un dernier acte d'amitié voir même d'amour envers elle a mis un terme à ses souffrances.  De plus, Sofia étant condamnée à une mort certaine, Ros ne pouvais pas s'imaginer tout simplement devoir vivre sans elle.  
Cercei Stonem, née-moldue, dix-neuf ans - sixième année, Poudlard ✤ Cercei est la fille d'une ancienne prostituée et d'un avocat. Autant dire c'est un mélange plutôt intéressent qui en est ressortit de cette improbable union. Elle n'est pas née avec une cuillère en argent dans la bouche et sait les vraies valeurs fondamentales de la vie. C'est la première sorcière de sa famille, autant dire qu'elle fut surprise lorsqu'elle a reçu sa lettre pour rejoindre l'école Poudlard. Cercei sait s'adapter vite au changement et pour cause, elle n'est pas passé inaperçu au château. Ne gardant rarement sa langue dans sa poche, elle exprime clairement tout ce qui lui passe par l'esprit. Bon ou mauvais, c'est à prendre ou à laisser. Une vraie tornade qui bouscule tout sur son passage. Cercei est allé de surprise en surprise, en commençant par la rencontre plutôt incroyable avec Cordélia. La jeune femme lui a lancé un sort qui lui a fait raviver un tas de souvenirs l'a concernant. Des souvenirs d'une vie qu'elle aurait vécue il y a quatre siècles. Forcément, il y a de quoi se poser des questions. Un lien fort l'a lie à Cordélia. Les deux jeunes femmes ne se quittent pas d'une semelle et forme un quatuor détonnant avec Seeley et Téonard. Les quatre amis se contentent de vivre au jour le jour et vivent des aventures plus folles les unes des autres. Particulièrement attaché à ses amis qu'elle considère comme sa famille, elle tuerait quiconque oserait toucher à un seul de leur cheveux. Une vraie justicière la Cercei, elle ne supporte pas l'injustice. Vaut mieux l'avoir amie qu'en ennemie.
comment se passe ta scolarité à poudlard? très bien, je me sens comme un poisson dans l'eau. je ne suis pas une élève exceptionnel, mais j'ai des amis exceptionnels. c'est comme une deuxième maison sauf qu'on vit avec nos copains non stop. le rêve. ta famille ne te manque pas trop, t'as emmené des frères ou des soeurs avec toi? je suis née-moldue et en plus de cela, je suis fille unique. disons qu'au début ce n'était pas facile, j'étais perdu. Doucement, mais surement, je me suis laissé embarqué par cet univers incroyable. j'aurais aimé que mes parents aient vécus cette expérience. et les amis ça s'passe comment, t'as des face de scrout à pétards que tu voudrais bien déglinguer? je ne me souviens même pas du nombre exacts de petites pétasses et de petits cons que j'ai remis à leur place, mais j'aime bien faire le ménage de temps à autre. j'ai aussi ma bande copains attitré, les meilleurs amis du monde, le fourthome de la mort qui tue. impossible de nous dissocier. mon amour de cordélia et moi-même sommes de vrais inséparables depuis la première année. allez, fais pas ton troll, je t'ai grillé, parle moi de l'élu(e) de ton coeur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien? la blague. disons que c'est (très) compliqué. cercei n'est pas engagé officiellement dans une relation, mais il y a bien un garçon qui sort du lot. d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi? un immense bordel. t'es bon en quoi, t'es mauvais en quoi camarade? les potions et les sortilèges c'est tout ce qui m'intéresse pour le reste j'ai cordélia et théodore. t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie? j'aimerais travailler dans la justice magique, ça me plairais de travailler au sein du ministère de la magie et de recadrer les crapules à ma façon. hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde? FAIT ATTENTION CERCEI, DES JOURS SOMBRES T'ATTENDENT....
DERRIÈRE LE MIROIR MAGIQUE :


Dernière édition par H. Cercei Stonem le Lun 10 Fév - 12:03, édité 15 fois
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H. Cercei Stonem
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MessageSujet: Re: cercei ✤ boulevard of broken dreams.   cercei ✤ boulevard of broken dreams. EmptyMer 18 Déc - 19:40


we might fall
listen to me, there´s only one thing you cannot see, everytime you talk.
millions of things, there´s only one that you cannot see, everytime you talk,
you can, stop the cloks forever,
listen to what i say, stop the clocks for you and me,
listen to me again, stop the clocks, forever.

Avant la guerre, chambre de Ros - Igor Hristov et Ros Askarov.
Ros. Elle a de longs cheveux bruns et de grands yeux bleu. C'est une fille introvertie et timide qui n'a pas conscience qu'elle gagne à être connue. Pourtant lorsqu'on perce sa carapace, on découvre une fille qui se montre bavarde, loufoque et un brin maladroite. Elle sourit constamment peut importe la situation, un sourire qui a le don vous apaiser, mais aussi de vous rassurer même dans les moments les plus sombres. Elle se montre également serviable, pleine de bonté et de bonne volonté. Bordélique ou arrangé à sa façon, débordé d'imagination, il est impossible de s'ennuyer à ses côtés. Il y a Ros, mais de l'autre côté il y a Igor. Tous les deux se connaissent depuis leur tendre enfance. Il est le filleule de Freya Romanov alors forcément ils ont été amenés à rapidement se fréquenter. Il l'a toujours impressionné même si plutôt mourir que lui faire cette confession. Ils ont sept années d'écart, c'est beaucoup sept ans pour certains, mais pour eux ce n'est qu'un détail parmi tant d'autres. Quand il l'agace, quand il l'a rend complètement folle ou encore qu'ils se réconcilient, au final ce ne sont pas les années qui comptent mais l'instant présent. Elle s'observe dans le miroir tournoyant sur elle-même pour voir sa robe sous tous les angles. « Cette robe...  » « Cette robe est époustouflante, tu vas toutes les rendre jalouse Ros. » Elle rougit et se sent flattée. C'est vrai qu'elle est belle cette robe, mais comme toujours elle se rabaisse. Ros se dit qu'elle irait mieux à sa meilleure amie Sofia. Tout lui va à Sofia, c'est pas pour rien qu'elle est la plus belle fille de Durmstrang. « Te fais surtout dire des bêtises.  »  Un bal est organisé en l'honneur de la directrice, sa mère a pris le soin de lui choisir une robe digne d'elle. Elle est longue, blanche et on peut voir au niveau de la broderie que les couturières ont passé du temps la rendre unique. Un cygne, elle ressemble à un cygne. Igor s'approche de Ros, il est derrière elle et l'observe dans le miroir. On voit dans ses yeux que la vue est plutôt agréable, il est fasciné par sa beauté et le rendue de la robe sur elle. Le regard du jeune slave en dit beaucoup même s'il n'exprime totalement le fond de sa pensée. Il lui glisse à son oreille :  « Tout ce que je vois c'est que je vais avoir la plus belle des cavalières. »  Ros ne savait pas qu'il l'avait choisit pour être sa cavalière. Elle comptait simplement se pointer au bal et espérer qu'on l'a remarque. Elle rougit davantage et essaye de se ressaisir. Plus les jours passent et plus ils se rapprochent, Ros n'est pas habitué qu'on lui accorde autant d'attention et surtout qu'on lui dise autant de compliments. Sofia est la seule à faire cela, depuis toujours, c'est la seule à lui donner confiance en elle. En réalité, il ne devrait pas être ici. Igor devrait être avec ses amis en train de se préparer plutôt que de perdre son temps ici pensait-elle. Elle se retourne pour être face à lui. Leurs visages ne sont qu'à quelques centimètres l'un de l'autre, elle peut sentir son souffle effleurer sa peau et même l'entendre respiré. Une proximité dont Ros est habitué, mais là elle sent que c'est différent. Les battements de son coeur s'intensifient au fur et à mesure que les secondes défilent. Elle regarde ses lèvres et lui ses yeux. Elle ne ressent plus l'envie de le chercher pour mieux se chamailler, non elle ressent du désir et l'envie de goûter à ces lèvres. Il s'éloigne d'elle, il fait seulement quelques pas en arrière, se penche légèrement et lui tend sa main.  « M'accorderiez-vous cette danse, mademoiselle Askarov ? » Aucune musique en fond, aucune raison de donner lieu à une telle invitation. C'est juste Igor et Ros pour donner un sens à sa question.  Elle est déçu qu'il ait brisé cette proximité entre eux et en même temps, elle ne peut pas se sentir plus proche de lui qu'à cet instant. Elle prend son courage à deux main pour affronter sa timidité et saisit sa main. « Avec plaisir monsieur Hristov.  » Volontairement, il mène la danse. Leurs yeux sont plantés l'un dans l'autre. Dans un premier temps Ros se sent gênée puis dans un second temps, elle réussi à maintenir son regard de manière assurée. Il l'a fait tournoyer puis l'attire encore plus près de lui.  Le tambourinement de son coeur est si fort qu'elle se demande s'il peut le sentir battre contre son corps. Ils dansent ainsi pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'il rompt leur instant. Elle se demande si malencontreusement elle lui a marché sur les pieds sans s'en rendre compte, si elle a fait quelque de mal parce qu'en réalité elle ne sait même pas si elle est doué pour cela.  « Igor...  » Elle ne sait pas pourquoi son prénom est sortit de sa bouche parce qu'elle ne compte même pas lui dire quelque chose en particulier. Il saisi son visage et vient coller ses lèvres contre les siennes. Il ne lui demande pas son avis, un baiser qu'elle rend et qu'elle apprécie bien plus qu'elle aurait pu l'imaginer. Ils ont grandit, lui plus qu'elle. Il n'est plus ce garçon qui lui tirait ses nattes et elle celle qui le dénonçait auprès de sa mère pour des choses qu'il n'avait pas faites. Non. Quelque chose de spécial est en train de se passer. Ce qu'elle ressent à cet instant, jamais, elle ne l'a ressentit pour quelqu'un d'autre. En fait, mise à part Igor, il n'y avait personne. Le plus fort c'est qu'elle n'a jamais rien attendu de sa part et maintenant, elle regretterait presque de n'avoir pas été aussi capricieuse. Les lèvres d'Igor sont brûlantes et douce à la fois, elle aurait voulu que ce baiser s'éternalise. Ils se détachent l'un de l'autre mettant fin à ce baiser passionné. Il laisse ses mains autour de son visage et colle son front contre le sien. Elle a cet impression que ses mains l'a possède depuis bien plus longtemps qu'elle ne le pensait. « Ne dit rien. Il fallait que je vois ce que je ressens pour toi. » Elle n'ose pas lui demander ce qu'il en a conclu. Elle espère seulement que les sentiments sont partagés.  « Rien ne t'empêche de rattraper le temps perdu. »   Il sourit, ce qui l'a rassure un petit peu. «Tu as raison. »

Avant la guerre, durmstrang - Sofia Romanov et Ros Askarov.
Ros déambule dans les couloirs de Durmstrang, bras dessus, bras dessous, en compagnie de sa  meilleure amie Sofia Romanov. Le sourire aux lèvres, les deux jeunes femmes se dirigent vers l'extérieur. Tout le monde est habitué à ce qu'elles affichent une certaine affection l'une envers l'autre. Ros et Sofia sont connues pour être les meilleures amies du monde depuis qu'elles sont jeunes pour ne pas dire toujours. Il serait étonnant de les voir se chamailler ou marcher simplement l'une à côté de l'autre sans qu'une prenne le bras ou la main de l'autre, sans qu'elles s'échangent un regard complice. Elles sont très démonstrative concernant leurs sentiments et il est impossible pour Ros ne pas montrer son amour publiquement pour Sofia. Elle dit souvent que c'est la soeur qu'elle n'a jamais eu, sa "soeur de coeur" est le terme qu'elle utilise pour qualifier sa relation avec la jolie brune. Elle a su combler le vide, ce manque permanent qui subsistait dans la vie de Ros. Être fille unique n'a pas été facile à vivre pour elle en sachant que presque tous ses amis avaient des frères et soeurs. Dès le premier regard, elle su qu'elle et Sofia feraient de grandes choses ensemble. Elles savent qu'elles peuvent compter l'une sur l'autre et c'est tout ce qui lui importe. La confiance n'est pas quelque chose qu'elle donne facilement. En observant les autres, elles sont l'une des rares amitiés à avoir survécu aussi longtemps. Une amitié qui s'amplifie au fur et à mesure des jours qui passent, indestructible et intouchable. Elle n'a pas besoin de quelqu'un d'autre. Elle a juste besoin de Sofia. Une fois arrivée à l'extérieur, elles s'installent sur un des bancs qui se présentent à elles. Certains en passant les regardent bizarrement, Ros le sens au regard qu'ils leurs adressent, qu'ils les prennent pour des folles. En même temps, il s'agit du pire hiver que le pays ait connu depuis des centaines d'années. Le froid glaciale est capable de vous pétrifiez si vous restez un peu trop longtemps à l'extérieur et les tempêtes de neiges s’enchaînent sans qu'ils n'aient eu le temps de se remettre de la précédente. Ros se blottis contre sa meilleure amie emmitouflée dans sa fourrure qui fait le tour du col de son immense manteau noir corbeau. Elle pose sa tête naturellement sur son épaule et Sofia la sienne sur celle de Ros. Leurs regards est fixé sur le paysage qui s'offre à elles, un paysage blanc et flou.  « J'aimerais voyager. Je voudrais pouvoir partir loin et me sentir libre, être aussi libre qu'un oiseau. » dit-elle en se confiant innocemment. Cette neige lui inspire un sentiment d'évasion, non pas qu'elle soit malheureuse ici, au contraire. Ros rêve constamment de voyager, elle aimerait faire le tour du monde et apprendre des autres cultures.  La France est tout en haut de sa liste, elle aimerait qu'un échange existe entre l'école beaux-bâtons et durmstrang.  « Dès que l'occasion se présentera je t'embarquerais avec moi et nous vivrons de folles aventures. Je te le jure. »  dit-elle sincèrement, ce qui l'a touche particulièrement. Partir avec Sofia. N'importe où. N'importe quand. Ros lui confierait sa vie s'il le fallait. Elle a une confiance aveugle en sa meilleure amie et si un jour elle venait à perdre la vue, elle se laisserait guider sans problème par Sofia. Elle est complètement congelé de la tête aux pieds, elle sent que ses lèvres se battent pour ne pas saigner et que son corps tout entier lutte pour ne pas l'a lâcher. Et même dans ces moments-là, elle trouve encore le moyen de pousser un peu plus loin son rêve en y ajoutant la personne qui compte à ses yeux. Comme elle le dit souvent : il n'y pas d'endroit pour rêver. « Toi et moi, contre le monde entier. » « Toujours. » C'est en partit pour des moments comme celui-ci que personne ne pouvais arriver à leur cheville. Il n'y a pas de mots à mettre sur leur amitié, pour la simple et bonne raison, qu'elles sont indéfinissables. « Sofia, Ros, vous êtes folles ma parole ! Venez nous rejoindre à l'intérieur, vous allez mourir de froid ! » Elles forment un duo, mais également un trio avec Natalia Solberg. Elle est arrivé récemment et a su gagner la confiance de Sofia et Ros. Les trois jeunes femmes se racontent tout, au début il était difficile d'accepter Natalia parce qu'elle a toujours été habitué à ne jurer que par Sofia. Elles deux et personne d'autre. Mais au fur et à mesure du temps, elle a su endormir sa méfiance et se faire sa propre place.


Dernière édition par H. Cercei Stonem le Dim 2 Fév - 14:26, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: cercei ✤ boulevard of broken dreams.   cercei ✤ boulevard of broken dreams. EmptyMer 18 Déc - 19:40


it's so quiet here and i feel so cold this house no longer feels like home
I'm falling apart, I'm barely breathing with a broken heart that's still beating.
In the pain is there is healing, in your name I find meaning.
So I'm holdin' on, I'm holdin' on, I'm holdin' on, I'm barely holdin' on to you.

Pendant la guerre, cellule de Ros - Igor Hristov et Ros Askarov
Elle se bat pour rester en vie. La haine présente dans les yeux d'Igor, envers elle, est complètement incompréhensible. Elle ne cesse d'aimer son fiancé même s'il l'a rend malheureuse, ce qui est aussi incompréhensible. Parce qu'à chaque fois qu'elle le voit, c'est leur belle histoire qu'elle retient. Alors pour tenir le coup, elle s'accroche à ses souvenirs. Le plus fort d'entre tous est celui où Igor l'a embrassé pour la première fois. Elle est courageuse Ros. Elle essaye de trouver de l'espoir là où les autres abandonnent, elle essaye tant bien que mal de faire briller cette lumière dans ses yeux qui s'affaiblie au fur et à mesure des jours qui passent. La cellule où elle est retenue captive est petite et sale pour ne pas dire insalubre. Elle se demande chaque jours ce qu'elle a fait de mal pour mériter tant de douleurs. Elle souffre Ros, elle ne le montre pas, mais elle brûle à l'intérieur et se consume. Il abîme son cœur autant qu'il l’abîme physiquement et mentalement. Elle se demande chaque jour s'il ressent toujours quelque chose pour elle, ne serait-ce qu'un sentiment de pitié ou mieux, de culpabilité. Ros pense connaître la réponse à sa question, mais refuse d'y croire. Elle refuse de croire qu'il ait pu se transformer en ce monstre qu'elle côtoie tous les jours, elle refuse de croire qu'il ait oublié tout ce qu'ils ont vécus ensemble et elle refuse surtout de croire qu'il puisse l'a haïr plus qu'il ne l'ai aimé. Les genoux de Ros sont écorchés. Ce matin, Igor voulait montrer son trophée aux autres geôliers et malheureusement elle n'avait pas la force de tenir sur ses deux jambes. Elle regarde lentement le sang couler et tinter contre la boue repensant aux éclats de rires qu'elle avait dû essuyer. Il prend un malin plaisir à l'humilier et à l'afficher un peu plus faible à chaque fois. Elle aimerait pouvoir lui dire "stop", le regarder dans les yeux et lui demander d'arrêter. Mais c'est impossible, Ros lui appartient. Esclave de ses sentiments, mais surtout de lui.  « Igor, Igor... Je peux avoir un peu d'eau s'il te plait ?  » Deux jours qu'il ne lui a rien donné, pas un bout de pain, ni même de quoi s'hydrater. Elle soigne ses plais avec la boue dans laquelle elle est assise, mais rien pour tenir le coup. Il s'avance vers elle, s'accroupi pour être à sa hauteur et s'approche des barreaux afin de lui faire face. Il l'observe pendant quelques secondes et Ros ne peut s'empêcher de remarquer que mise à part du dégoût, elle ne voit rien dans ses yeux. Ces yeux qui autrefois lui disait tout et qui maintenant ne disent rien. « Ros ne croit pas que je vais te faire une faveur vis-à-vis des autres. Tu n'es pas la seule à avoir soif, tu peux encore tenir quelques heures ainsi, pas vrai ? Tu vois que j'ai raison et puis... Tu as de l'eau dans ta cellule. » De la boue. Encore une fois, Igor l'a rabaisse plus bas que terre. Ros n'a plus la force de pleurer pour lui dire qu'il a gagné. Ce n'est pas une victoire qu'il veut, il le sait qu'il n'a pas besoin de ça pour comprendre qu'il est le seul des deux à jouer dans cette histoire. Il se lève et emporte avec lui un petit bout de Ros. Il ne reste pas grand chose de son puzzle, il lui a quasiment tout pris. Malgré tout penser à ces moments heureux avec Igor ne suffit pas.. Le monstre qu'il est devenu est bien trop réel pour pouvoir encore s'accrocher aux branches. Alors elle pense à Sofia. Elle seule est capable de l'a maintenir en vie même à des milliers de kilomètres. Elle repense à ce moment sous la neige où elles parlaient de partir loin. Ros sait qu'elle est encore en vie, elle sent. C'est comme si avec le temps, une connexion entre elles deux s'était construite. Ne pas fermer les yeux, rester en vie. Elle espère que Natalia paye actuellement pour sa trahison parce que tout est de sa faute, elle espère que Sofia est toujours avec Gabriel et qu'il l'a protège. Toute cette souffrance, toute cette peine. Quand Ros pense à Natalia, c'est tout son corps qui réagit. Comment peut-on faire semblant à ce point  ? Pendant plusieurs mois, Sofia et Ros l'avaient considéré comme une des leurs, elles lui ont confier des choses très personnels et elle... Elle se contentait de penser à son plan machiavélique. Traîtresse. Elle prie tous les jours pour que ses mousquetaires s'en sortent tant bien que mal et savoir qu'elle puisse être dans les parages l'a rend malade.

Pendant la guerre, cellule de Ros - Briseis Peyredragon et Ros Askarov
La solitude. Elle gratte une nouvelle fois le mur de sa cellule, elle essaye de faire une sorte de barre. Chaque barre représente un jour de captivité et il faut dire qu'elles commencent à s'accumuler. Le comportement d'Igor ne s'est pas arrangé, il ne répond même plus aux questions vitales de Ros. En général, il entre dans sa cellule, l'a martyrise et s'en va sans dire un mot. Et s'il dit quelque chose, il l'insulte ou lui crache des reproches qui n'ont pas lieux d'être. Mentalement, Ros est perdue. Elle tient le coup, mais elle ne sait pas combien de temps elle va pouvoir tenir ainsi. La jeune femme n'ose même plus regarder son corps meurtrit.  Elle n'essaye même plus de soigner ses blessures, ne demande plus rien et attend. Elle ne se laisse pas mourir pour autant, elle a compris que si elle attendait, le châtiment serait moins lourd. Rare sont les moments où il se contente de la regarder et lorsque c'est le cas, c'est pour admirer son chef d'oeuvre. La veille Igor s'est exhibé avec une autre femme à son bras, Ros a essayé de faire comme si ça ne l'atteignait pas, elle est resté forte devant lui. Lorsqu'il est partit, elle a éclaté en sanglot. Elle s'est sentie humilié, comme si elle était un jouet qu'il présente à l’occasion. Après avoir inscrit au mur "la date du jour", elle s'allonge sur le sol humide. C'est comme si plus rien autour d'elle n'existait. Le contact de l'eau boueuse contre sa peau lui fait du bien. Alors qu'elle commence à perde cet espoir qu'elle tenait tant à conserver quelqu'un pénètre dans cellule. Pour une fois, ce n'est pas son geôlier.  Non, il s'agit d'une femme. Elle n'a pas l'air de faire partie de celles qui viennent admirer les prisonniers pour exhiber leur pouvoir, elle a l'air justement d'être une prisonnière.  «  Il faut soigner tes blessures, elles vont s'infecter sinon. »  Ros aimerait pouvoir lui poser beaucoup de questions, elle aimerait savoir comment elle a fait pour pouvoir la rejoindre, mais ne dit rien. Par manque de force. La chaîne qui l'a retient à ces murs coupe littéralement la cheville de la jeune femme. C'est surement l'une de ses plus grandes blessures puisqu'elle n'a jamais le temps de se guérir. Au début Ros tirait dessus pour tenter de s'en défaire jusqu'à ce qu'elle finisse par en souffrir et qu'elle ne puisse plus tirer dessus. « Qui es-tu ?  » dit-elle faiblement, dans son regard on peut observer qu'elle a peur. Même si elle a l'air d'être retenue en captivité comme elle, Ros a retenue de bonnes leçons par rapport a la situation avec Natalia.  «  Ton amie, ton allié, comme tu veux. Rassure-toi, je suis dans ton camp. » Elle montre ses bleus à Ros et finalement elle décide lui faire confiance. Ros ne peut pas se montrer aussi stricte dans un lieu pareil, tant pis s'il y a des conséquences. Pour la jeune femme rien ne peut être pire que ce qu'elle est en train de vivre vis-à-vis d'Igor.  « Tu t'appelles comment ? »  «  Briseis. » C'est un beau prénom pensait-elle. Pour la première fois depuis le début, Ros ferme les yeux. Elle laisse Briseis prendre soin d'elle peut importe ce qu'elle lui ferait, pour le moment elle arrive à soulager ses douleurs. Elle vient de trouver en Briséis une vraie allié. A chaque fois qu'elles sont seules elles essayent de se retrouver. La prisonnière peut parler ouvertement à Briséis sans avoir peur de l'offenser. Au départ, elle a eu du mal à s'ouvrir à elle parce qu'elle avait toujours cette crainte de dire quelque chose de travers et qu'au final elle finisse par lever la main sur elle. Ces dans ce moments-là qu'on se rend-compte qu'elle est brisé Ros. Le slave l'a changé malgré lui. Elle reprend peu à peu goût à la vie et son visage est plus lumineux. Elle n'aurait jamais pensé se sentir mieux dans cet endroit horrible. « Il faut qu'on parte Ros, c'est le moment ! » Briseis  arrive en courant vers Ros. Elle l'a prend de court même si elle était au courant qu'à tout moment le plan de Briseis pouvait s'enclencher. Elle ne pensait pas être aussi faible et bien qu'elle y met toutes ses forces pour aider Briseis à la détacher, elle sait qu'il n'y aucune chance pour que ça fonctionne. Igor avait pris le soin de bien la maintenir sous sa garde, afin qu'elle ne puisse pas s'en aller aussi facilement. Finalement il n'y avait aucuns moyen pour elle de s'échapper. Elle le sait et elle se rend-compte que son amie perd son temps. Il faut qu'elle parte, maintenant, sinon il sera trop tard. « Va t-en, tu m'entend ? Il faut que tu partes Briseis, je t'en supplie, laisse-moi et sauve- toi ! » Ros essaye de faire en sorte que la jeune femme abandonne, elle sait que ce n'est pas un choix facile à faire. En sachant que c'est la deuxième fois qu'un plan tombe à l'eau pour la prisonnière. « Part. »  A contre-coeur, Briseis lâche la cheville de Ros. Elle regarde d'un air entendue cette dernière et lui dit :  « Je ne t'abandonne pas. Je vais te faire sortir d'ici d'accord ? On va venir te sauver. Je te le promet. » Ros veut croire à la promesse son amie de toutes ses forces, mais c'est compliqué. Elle l'a serre une dernière fois dans ses bras et l'a regarde partir emportant avec elle aussi, une pièce de son puzzle.

Pendant la guerre, cellule de Ros - Igor Hristov et Ros Askarov (+ les mousquetaires)
Il lui colle une gifle et saisi son menton, afin qu'elle le regarde droit dans les yeux. « Ros, ma chère Ros. J'aimerais que tu me regarde quand je te parle. » Elle s'est accroché aux branches,  pendant tout ce temps elle a pensé fortement à Sofia et à la promesse de Briseis. Elle aurait voulu pouvoir penser à ses sentiments envers Igor pour pouvoir tenir le coup. Au fond, elle croit toujours qu'il l'aime. Parfois il s'adoucit lorsqu'il lui fait un peu trop mal que ce soit verbalement ou physiquement.  Malheureusement, il y a trop peu de moments où elle a l'impression de le retrouver. Igor a multiplié les humiliations, les violences et a bien fait comprendre à Ros qu'elle n'avait pas intérêt à lui échapper. Il se sent tout puissant au point d'en oublier réellement qu'il est. Igor est un meneur, il a toujours été de ceux qui sont mis en avant et il est mauvais perdant. Pour lui, c'est gagner ou rien. Ros le connait par coeur, connaissais par coeur. « Je vais m'absenter quelques jours, je veux te voir en vie à mon retour. » Il s'inquiète. Il croit qu'elle est  capable de se laisser mourir pour lui échapper. Si seulement c'était si facile, si seulement elle pouvait réussir à le détester et éviter de lui chercher des excuses. Il colle avec force ses lèvres contres les siennes puis lorsqu'il se détache, il se met à cracher à côté. Forcément, elle est loin d'avoir pris un bain ce matin. Elle prend cela pour de la provocation et si une de ses conquêtes l'attendais derrière les barreaux, elle se sentirait humiliée.  « Tu pourrais au moins m'accorder un sourire, ce serait la moindre des choses. » Elle n'a pas la force de lui montrer quoi que ce soit. Un sourire dans ces conditions, c'est comme lui demander de marcher jusqu'à la sortie. Elle sait que si elle veut ne pas le contrarier, elle doit se plier à ses exigences. Sourire, est une exigence à cet instant précis. Elle essaye au mieux de bouger ses lèvres afin de dessiner un demi arc de cercle. Ros essaye vraiment. « Ce n'est pas parfait, mais je m'en contenterais. Prépare-toi à faire mieux quand je reviendrais. »  Igor se lève et observe longuement Ros. Une dernière fois, cela sonnait comme des adieux, mais pour Igor il était inenvisageable de ne pas revenir auprès de sa Ros. C'est un monstre, mais comme tous les monstres, il masque son point faible du mieux qu'il peut. La marche du sud, il ne doit penser qu'à cela, mais ça ne veut pas dire qu'Igor ne pense pas à Ros. Il sort de sa cellule et comme toujours elle doit faire le tri dans sa tête. Interpréter d'une autre façon ce qui s'est passé à l'instant. Ros incite son esprit a trouver du positif dans ce qui est mauvais. Elle imagine en fait qu'il ne l'a pas embrassé de force, qu'il ne lui a pas demandé de sourire, que tout ce qui s'est déroulé était naturel et normal. Elle joue sur son imagination pour l'aider à avoir de meilleurs souvenirs. Le restant de la journée n'était pas bien différente des dernières passées sans Briseis. Elle aimerait que Sofia soit là pour lui raconter ses aventures aussi intéressantes les unes des autres, qu'elle l'a prenne dans ses bras et qu'elle lui dise "ne t'en fais pas, ça va aller" pour la rassurer. Quand Ros se sent terriblement seule, elle repense au son de la voix de Sofia juste pour l'apaiser et à son visage histoire de se sentir proche d'elle même d'aussi loin. Ros ne pense pas à sa mère ou n'y pense plus. Elle sait que Freya a dû se débarrasser d'elle dès que l'occasion s'en était présenté. Elle préfère se dire qu'au moins, si elle arrivait à se sortir d'ici un jour, qu'elle n'aurait pas a voir dans quelles conditions ils ont retenus sa fille. Elle a trop souffert de la perte de son mari, pour souffrir de l'état de sa fille. Ros ferme les yeux pour s'endormir sans avoir la crainte qu'Igor ne vienne l'a réveiller, les autres geôliers ne sont pas aussi cruels et laissent un peu plus de répits aux prisonniers. Elle réussi à dormir ainsi pendant deux longues heures.   « Ros, Ros, réveille-toi je t'en supplie. » faiblement, elle ouvre les yeux. Ros ne sait pas si la présence de Gabriel dans sa cellule est le fruit de son imagination ou qu'un miracle vient de se produire. « Ga... Gabriel ? »  « Oui. » elle aimerait se pincer, mais rien que le fait de bouger le petit doigt lui demande un effort intense et exceptionnel. « Tu ne peux pas me détacher, Briseis... » Elle regarde sa cheville, une cheville qui semble déjà moins peser et surtout qui est maintenant libéré.  « Briséis nous a avertit, c'est grâce à elle que nous sommes là. C'est fini Ros, on est là pour toi et nous allons tous partir en direction de Poudlard. Tu es libre. »  Ros est libéré de toute emprise sur elle, Ros est libre de ses choix et de ses mouvements, Ros est libre. Elle ne semble pas y croire, en fait elle croit encore qu'à tout moment quelque chose va venir interrompre ce nouveau plan. Gabriel l'a soulève et l'a porte dans ses bras sans difficulté. Il faut dire qu'elle a perdue beaucoup de poids et qu'elle est presque devenue méconnaissable. Elle ne dit plus rien et laisse le plan agir. Elle passe ses bras autour de son cou et espère de tout son coeur qu'enfin elle va pouvoir revoir sa Sofia.

Pendant la guerre, Poudlard - Nathaniel Prewett et Ros Askarov.
Ros marche dans les couloirs du château, d'un pas plutôt lent et pas vraiment assuré. Souvent son nouvel ami, Nathaniel, l'aide lorsqu'elle trébuche ou qu'elle manque de tomber dans les escaliers. Elle essaye de trouver ses marques et de se faire une petite place, mais retourner à la vie "normale" est très difficile pour la jeune femme. Elle ne supporte pas de se retrouver enfermée, elle se met à suffoquer ou lorsque les lumières s'éteignent, elle se met à crier le prénom de Sofia. Ros est effrayé tout le temps.   « Ne t'inquiète pas, je suis là, d'accord ? » Nathaniel tient son bras et soutient son regard pour l'a rassurer. Il est gentil et attentionné, Ros n'aurait pas pu trouver de meilleur personne avec qui traîner lorsque Sofia n'est pas dans les parages. En général, ils se retrouvent à la bibliothèque pour qu'il lui apprenne la langue anglaise qu'elle ne maîtrise pas totalement. Il s'est porté tout de suite volontaire lorsqu'elle dû faire un discours et que la plus part se sont moqués à cause de son accent. « D'accord. »  Elle lui adresse un sourire qu'il lui rend automatiquement. Il préfère maintenant l'accompagner puisque la dernière fois elle a failli se casser la cheville dans les escaliers. Nathaniel pousse la porte de la bibliothèque et laisse passer Ros devant lui. L'endroit est presque désert, en fait ce n'est pas le genre de lieux où les gens traînent en ces temps de guerre. Ils prennent place au centre de la pièce, ils ont presque leur propre table attitré juste à côté des livres de traduction. « On révise la grammaire ? » Ros est perdue dans ses pensées. Elle revoit le visage d'Igor et ne peux s'empêcher de penser à lui. Elle ressent beaucoup de choses à son égard, un mélange de colère et de peine, elle n'attend qu'une seule chose c'est de le voir franchir cette porte. Ros se met toujours face aux différentes sorties qui se présente à elle. Cela semble peut-être stupide, mais elle espère à chaque fois le voir franchir le seuil d'une de ces entrées et qu'il vienne l'a prendre dans ses bras. Elle serait capable de tout mettre de côté rien que pour retrouver l'ancien Igor. . « Ros ? » « Oui, la grammaire c'est parfait. J'ai un peu révisé ce qu'on a fait la dernière fois. Attend-toi à être surpris. » Ce qu'elle ne sait pas c'est que quand ses pensées vont vers le slave, celles de Nathaniel se portent pour elle.

Pendant la guerre, Poudlard - Ros Askarov.
(à modifier) « Sofia est un horcruxe. » Ros écoute une conversation qu'elle n'aurait surement pas dû entendre. C'est cruel. Tout d'un coup elle suffoque, l'annonce est trop douloureuse pour elle. Elle s'enfui et court aussi vite qu'elle peut. Comme si elle était poursuivit. Les larmes coulent comme jamais elles n'avaient coulés auparavant. Les pertes sont trop lourdes à encaisser et les mauvaises nouvelles ne cessent de tomber. Ros se retrouve à l'extérieur du château. Elle continue de courir avant de finalement se laisser glisser contre un arbre. Sofia un horcruxe, c'est comme dire directement qu'elle est condamné à tout jamais. La phrase résonne dans sa tête, elle met ses mains contre sa tête comme si elle avait besoin de la tenir pour qu'elle ne tombe pas. Elle ne peut pas le croire, elle ne veut pas y croire. Pourtant son corps tout entier se sent obligé de réagir à sa place. Ros tremble, pleure et son coeur souffre. Il saigne, se noue et bat à une vitesse incroyable. Cette nouvelle l'a rend malade. Elle se met à crier, un cri strident, un cri de souffrance. Ros cri au point de ne plus pouvoir parler, elle a besoin d'extérioriser toute cette peine accumulé. Les heures qui suivent, elle reste calme et  regarde droit devant elle d'un regard vide le paysage. Ros semble ne plus être présente, la tristesse est bien trop grande pour qu'elle puisse accepter qu'un jour sa meilleure amie ne sera plus à ses côtés. Elles qui viennent tout juste de se retrouver, c'est injuste. Elles doivent être maudite ou on doit les détester. Pour Ros, c'est trop. Igor est décédé sur les champs de bataille et elle a du mal à combler ce vide qu'il a laissé dans son coeur.  La folie s'est emparé de son corps, le désespoir de son esprit. Ros attend clairement la mort, elle veut la voir en face. Parce qu'imaginer vivre sans Sofia lui est impossible. L'une ne peut vivre sans l'autre. Elle ne veut pas surmonter ça. Elle veut juste en finir une bonne fois pour toute. Clairement, si elle reste en vie c'est pour elle parce qu'elle ne veut pas lui faire mal. Sofia et Ros, c'est un tout. Tous les jours, elle attend le retour d'Igor. Elle espère qu'il viendra l'a serrer dans ses bras, qu'il lui demandera d'oublier son comportement et de lui pardonner. Elle lui répondrait naturellement que l'important c'est qu'il soit là. Avoir créé cette image dans sa tête est difficile en sachant qu'il n'aura pas l'occasion de lui demander son pardon. Non. Il n'a même pas eu l'occasion de lui faire ses adieux. Ros a besoin de Sofia autant que Sofia a besoin d'elle. Elle ne sait pas quoi faire, elle remet les mains sur sa tête et la secoue. Plusieurs fois, elle a tenté de mettre fin à ses jours. En plus des nombreuses marques qu'elle a un peu partout sur le corps, elle a en rajouté sur son poignet. Elle a essayé, mais n'est jamais allé jusqu'au bout. La petite voix de Sofia résonnait à chaque fois à son esprit. Qui sera là pour l'a sauver, si elle part ? Ros n'a plus de raison de vivre. Elle a l'impression que des petites aiguilles viennent piquer chaque parcelles de sa peau. Le vent caressant la nuque lui donne des frissons. La jeune femme s'allonge et attend paisiblement que la douleur passe même si... Il faudrait plus qu'un miracle pour que ce soit le cas.




Dernière édition par H. Cercei Stonem le Mar 24 Déc - 15:20, édité 1 fois
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PARCHEMINS : 278
AMORTENTIA : COOOOOOORDELIA (achille aussi, mais cordélia quoi.)
PATRONUS : un cygne.
PARTICULARITE(S) : badass.

H. Cercei Stonem
DARK SISSI, BITCH.


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MessageSujet: Re: cercei ✤ boulevard of broken dreams.   cercei ✤ boulevard of broken dreams. EmptySam 21 Déc - 0:40


YOU'RE THE KING AND I'M A LIONHEART
LIKE SHIPS IN THE NIGHT, YOU KEEP PASSING ME BY. WE'RE JUST WASTING TIME TRYING TO PROVE WHO'S RIGHT AND IF IT ALL GOES CRASHING INTO THE SEA. IF IT'S JUST YOU AND ME TRYING TO FIND THE LIGHT.


Il vous faudra coller cette partie dans un second post pour pouvoir nous raconter l'histoire de votre personnage. Un minimum de 1000 mots est demandé. Nous vous demandons également d'introduire sa vie passée au cours de l'histoire. Vous pouvez bien évidemment réserver autant de posts que vous le désirez pour écrire.


Dernière édition par H. Cercei Stonem le Sam 21 Déc - 1:16, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: cercei ✤ boulevard of broken dreams.   cercei ✤ boulevard of broken dreams. EmptySam 21 Déc - 0:41


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